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EAN : 9791025102978
French Pulp Éditions (29/09/2017)
3.42/5   12 notes
Résumé :
L’Italie des années de plomb. Tandis que les brigades rouges mettent le pays à feu et à sang, Marco, un jeune idéaliste, se compromet dans un braquage qui tourne mal. La suite sera une longue fuite qui, de la Corse à Paris en passant par Bourges, l’amènera à fréquenter tout ce que la France compte de groupuscules révolutionnaires… et les flics qui les infiltrent !
France, de nos jours. A la recherche de ce père pas comme les autres, Kloé va devoir se plonger... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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D'abord merci à Babelio (Masse critique octobre 2017) et aux éditions French Pulp. Un livre de plus que je vais m'empresser de laisser dans une boîte à livres à deux pas de chez moi.

Intéressons-nous à French Pulp, une maison d'édition qui croit dans une nouvelle société participative... et qui s'engage à reverser une partie des bénéfices engendrés par la publication de chaque ouvrage à une association choisie par le parrain dudit livre. Cette approche me plaît énormément. Je souscris à ce credo de toute mon âme. Un rayon de soleil dans un monde de brute... Privé d'origine n'avait pas de parrain. Mais je leur souhaite -néanmoins- de plantureux bénéfices.

Voilà, je pourrais conclure ma critique ici... Et le livre? hurlent en choeur tous les Babéliotes babas bobos gauchos...

Vous voulez vraiment? Soit.

Masquées par une écriture sèche comme un vieux pain jeté aux pigeons (toute ressemblance entre le volatile et la personne ayant acheté le livre est purement fortuite, oeuf corse), l'intrigue et la structure du livre sont d'un indélébile classicisme. Un chapitre dans le présent (2014) et un chapitre dans le passé (1982 le plus souvent). Les récits s'entrecroisent, s'entrechoquent, se télescopent.

Le présent: une punkette née sous X qui joue de la basse dans un groupe de rock. A 32 ans, avec quelques économies, elle a décidé de trouver qui sont ses parents biologiques. Je redis bien 32 ans... car l'auteur se prend parfois les pieds dans le tapis et nous parle d'une "jeune fille" (p.14) ou laisse entendre qu'elle est dans la vingtaine (p.303 et d'autres). Je ne suis pas psychologue, mais cela me semble un peu tard pour décider de retrouver ses parents. Le seul fait d'avoir enfin un peu d'argent de côté n'explique pas tout. Mais le livre est truffé de ce genre de justfications un peu rapides et simplistes. Y compris dans la théorie du complot (qui permet de faire croire au lecteur que lorsqu'un état d'urgence est décrété au niveau régional par le préfet, on peut étouffer une prise d'otages dans un hôpital bondé et pris d'assaut par le GIGN, même en 1982...) et la manière dont l'auteur boucle sont récit. Je ne rentre pas trop dans le détail, mais je garde tout cela sous le coude si cela vous intéresse.

Le passé... un terroriste italien qui tue lors de sa première mission et est exfiltré en France. Il s'y fait oublier, acquiert une nouvelle identité et remet le pied à l'étrier dans l'ombre des groupuscules gauchistes, écologistes durs qui vont voir le jour fin des années 70.

Cela pourrait être sympa. Revisiter ces années noires, d'Ulrike Meinhof aux Brigades rouges. Quand l'action armée semblait être la seule option. Quand la société semblait ne laisser que cette échappatoire. Cela pourrait. Mais l'écriture sèche laisse en fait la place à trop d'approximations dans le récit. C'est haché, cela coince aux entournures. Par contre, on peut sans doute faire confiance à l'auteur pour avoir bien fait gaffe aux dates et à la succession des événements dans le passé (j'ai quand même de sérieux doutes, mais il faudrait relire le livre pour tout vérifier, et je ne suis pas maso à ce point-là).

Pourquoi tant de haine... Je me le demande aussi. Sans doute parce que j'ai été rapidement perturbé par les coquilles qui émaillent le livre. OK, il est noté "EPREUVE SERVICE PRESSE" sur la couverture. Les exemplaires destinés à la presse ne sont-ils donc pas relus? En effet, le livre que j'ai reçu était une épreuve non corrigée. Je ne pense pas que cela était mentionné dans l'opération Masse critique. Car je connais mes limites: quand je commence à compter et relever les coquilles, c'est que le roman va à vau-l'eau. Au-delà des coquilles, il faut bien être clair, c'est l'ensemble qui fait naufrage.

Je passerai donc sous silence les coquilles... pour ne pas lasser les aimables personnes qui m'ont lu jusqu'ici, comme de nombreux accords de participes passés loupés, un usage immodéré pour "à" au lieu de "a" et vice versa (dès la page 11)... A deux-trois semaines de la publication finale, je reste consterné par l'ampleur des coquilles, et leur nature. J'espère aussi que les mélanges de prénoms à répétition dans le chapitre 16 seront corrigés , idem pour les incohérences, par exemple où l'auteur en page 206 contredit une info donnée en page 89..., le fait qu'une punkette trouve un terroriste en planque là où les RG n'ont pas réussi, et (summum du summum pour un Belge...) Brel supposé chanter "Avec le temps, va, tout s'en va"... en page 152. (Alors que tout le monde sait que c'est Michel Sardou... humour, hein! c'est pour voir si quelqu'un lit toujours cette très longue chronique.)

Il est alors clair que ma note ne reflète pas la vraie valeur du livre, mais celle de l'exemplaire reçu... Mais ces coquilles n'expliquent pas tout. Globalement, je pense que le problème majeur réside dans une certaine indécision dans le choix de l'optique d'écriture... en clair, on passe très souvent du narrateur omniscient à un narrateur qui ne sait que ce que les personnages savent... On pourrait admettre ce genre de transitions, mais il faudrait sans doute mieux les gérer, car c'est complexe à mettre en place et clairement très risqué comme option. Rares sont les auteurs, même chevronnés, qui s'y risquent (et y arrivent).

Dommage, dommage, dommage. Ma déception est à l'image de ce que ce roman aurait pu être.
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La Kronik d'Eppy Fanny
Ce roman attendait sagement son tour dans ma PAL depuis quasi deux ans. Heureusement le roman est moins dissipé que son auteur. J'ai découvert Jérémy au 1er salon de Plaine Haute organisé par Jean-Marc le Faoué. Nous avions très longuement échangé et son univers, multiple, m'a fascinée. Ce type est un touche-à-tout, passionné et donc passionnant.
Vive les gens qui n'entrent pas dans les cases.
Ce roman nous entraîne de 1979 à nos jours.
Italie 1979 – Les Brigades Rouges y font la une qu'elles éclaboussent de sang.
Un commissaire est appelé sur les lieux du braquage d'une bijouterie. Cinq individus sont entrés dans la boutique et, en plus des blessés, le bijoutier est là, étendu raide mort. Que s'est-il passé ? Les brigadistes ne tuent pas habituellement. Ils sont très organisés. Dans les 5 hommes cagoulés il y avait Tony dont c'était la première mission. Il devait juste faire le guet mais le bijoutier ne s'est pas laissé faire. Un coup de feu blesse gravement Tony et lui, par réflexe, tire à son tour.
Tony, une fois remis, doit quitter l'Italie. Ce sera la Corse grâce aux réseaux brigadistes. Car il ne pourra jamais revenir dans son pays. C'est une condamnation par contumace qui l'attend. Il va devoir se construire une autre vie et oublier les siens. Tony va devenir Marco.
Le voilà en France, confié aux bons soins de Pépé, imprimeur, révolutionnaire et faussaire de génie. Tony apprend auprès de lui le métier d'imprimeur. Il doit se faire oublier. Puis une annonce dans un journal, un RDV avec un nouveau contact. Pépé l'envoie sur place pour s'assurer que le contact est fiable. C'est que des flics pourraient infiltrer leur organisation. La lutte armée va pouvoir reprendre ! Enfin.


2014 – Kloé Seize, une star du rock, connue sous le nom de Vynille, la bassiste du groupe Vynille Rondelle. Kloé, son moteur c'est les excès : l'alcool, la drogue, et le meilleur de tous, la scène. Mieux qu'un orgasme. Tous ces anonymes qui hurlent son nom et tendent les bras vers elle. Mais Kloé a une part d'ombre qui la hante : son enfance volée. Ses parents inconnus qu'elle recherche depuis deux ans. Elle est orpheline. Jasper Zenderro, pas un vrai privé, juste un type taiseux qui rend des services, l'aide dans sa quête.
Zenderro a retrouvé trace de la maternité où Kloé est née. Née sous X dans le département de l'Isère. Une lettre de sa mère à son nom « Chloé » et pas Kloé. Maigre prise. Pas d'information sur l'identité de sa génitrice et des mots qui font mal. Qu'il est dur de savoir que l'on n'a jamais été désirée. Pour son père un cul-de-sac là aussi. Dès que Zenderro et ses contacts dans la police tentent de creuser, ils se heurtent à un mur. Tout ce qui le concerne est classé. Pourquoi ? par qui ? Seule certitude : son père est recherché et impliqué dans une affaire de meurtre et de terrorisme.
Kloé a besoin de savoir d'où elle vient. Qui elle est. Quel est son héritage. Comment se construire lorsque l'on n'a pas de racines ? Elle contacte un journaliste ami, réfléchit à un article. Hésite, mais déjà des fuites. Un homme veut la rencontrer. Il dit avoir des informations sur ses parents. Elle va aller à la rencontre de cet inconnu. Philippe. Un flic.
Mais parfois il est dangereux de réveiller le passé et ses secrets, surtout lorsque des secrets d'État s'entremêlent avec sa propre histoire.
Ce roman nous renvoie aux sombres années des Brigades rouges. Nous replonge dans les années 80, en France, sous Mitterrand. Nous parle d'amitiés et de trahisons. Et de racines.
Un roman sombre et fascinant où les mots font mouche. Un excellent moment de lecture.
Merci Jrmy Bouquin pour ce voyage dans ton univers.
Lien : https://wp.me/p5JsZv-cOe
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Privé d'origine

Titre prémonitoire s'il en est puisque d'origine, c'est une jeune femme qui en est privée. L'auteur Jeremy Bouquin nous est présenté comme « un touche à tout auto-éduqué (…) », ce qui correspond très bien au ton général de ce polar au style vif plombé par une orthographe et une syntaxe catastrophiques.
Passons sur les innombrables recours aux yeux vissés ou rivés, sur les approximations d'un auteur qui n'a pas pris le temps de s'informer en profondeur sur son sujet (les brigades rouges et les groupuscules français, qui constituent un excellent support dramatique).
A forcer son style, J. Bouquin s'emmêle les pinceaux et commet bourde sur bourde, multiplie les invraisemblances et se trompe même en nommant ses personnages. A dessein je ne souhaite pas relever ici toutes les notes que j'ai prises au cours de ma lecture pour laisser à d'autres le soin de s'attacher à l'intrigue confuse et embrouillée.
Assurément, J. Bouquin connait mieux le milieu du rock que celui des révolutionnaires ; le premier chapitre en est un bon exemple qui est aussi le mieux écrit de tout l'ouvrage. Comme quoi, mieux vaut parler de ce qu'on connait plutôt que d'inventer sur ce qu'on ne sait pas.
Dommage car il me semble que cet auteur qui n'a pas connu l'époque dont il parle a un véritable potentiel pour peu qu'il ou qu'on le relise et qu'on l'assiste .
Merci à l'Editeur et à Masse critique pour cet envoi.
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Jérémy Bouquin revient ici avec deux personnages forts.
Tony, l'italien, qui voit sa vie complètement réduite à néant suite à ce casse qui a mal tourné. On va assister à sa reconstruction à force de courage et de persévérance. Tony va devoir oublier sa famille et ses rêves.
A travers lui, nous revivons cette époque fin 70 – début 80, alors que les Brigades Rouges, groupe extrême de gauche, fait couler le sang en Italie, mais aussi en France. C'est aussi une époque difficile au niveau économique et politique : les derniers colons d'Afrique du Nord sont rentrés en métropole, Giscard se nie dans le scandale des diamants, Mitterrand brigue la présidence. La génération baby boom découvre le chômage et la tension monte dans tout l'hexagone. L'auteur nous repeint ce contexte avec brio au travers de Tony, devenu Marco.
‘'L'Italie est en pleine tourmente, une « guérilla civile » disent même certains. Dix ans que cela dure, déjà. Depuis 1969 les brigades rouges et maintenant les « Prima Linea » posent des bombes, kidnappent. On ne parle que de cela. Attentat de la place Fontana à Rome, attaques de trains, braquages de banques…
Le chaos. La stratégie de la tension.
La police est sur les dents.
C'est le bordel.''
Kloé, elle, fait partie d'un groupe Rock qui vient de terminer une tournée triomphale. Mais depuis toute petite, sa seule obsession reste de retrouver ses parents biologiques. Sa quête d'identité la conduit à utiliser les services d'un détective privé qui essaiera de la persuader d'arrêter ses recherches quand il découvre que le père de Kloé est un terroriste recherché par Interpol.
‘'L'enquête est colossale, compliquée. Torturée.
Le privé avait tout de même réussi à trouver quelques pistes. Il avait rencontré des dizaines de personnes pour croiser les informations…
Il a même fait une recherche générale dans les faits divers des journaux de l'époque. le jour de la naissance de Kloé, l'hôpital avait été le théâtre d'un fait divers. Un e agression. On n'en savait pas plus.
Etrange, une page vide. Rien. Puis un entrefilet d'un journal. Juste un acte de naissance dans le quotidien local du coin.
Le Dauphiné libéré. Kloé est née dans le département de l'Isère. Pas loin de la tour du Pin (la sous-préfecture) en 1983, le 8 décembre.
Cette manchette, elle l'a déjà vue.''
Kloé est un personnage fort et déterminé. Une femme hors normes, comme souvent dans les romans de l'auteur.

Mais au-delà de ses personnages et de ces deux histoires, Jérémy Bouquin revient surtout avec un style qui m'a séduite dès le premier roman que j'ai lu de lui. Un style haché menu, ultra percutant, un peu comme un script de scénario. Des phrases très courtes, parfois même juste un mot. C'est très rythmé. Il a l'art de s'adapter à ses personnages et de savoir se renouveler sans cesse. Je vous conseille de lire « Une femme de ménage » paru également chez French Pulp en Mai. Un roman décalé mais d'une originalité rare.
Jérémy maîtrise tous les styles et il le prouve ici avec ce polar passionnant.

Lien : http://www.evadez-moi.com/ar..
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Kloé, avril 2014. Elle est bassiste dans le groupe de rock Vynille Rondelle. Après des mois de tournée, le groupe est enfin récompensé de succès. Il n'y a qu'à entendre les vivats du public du printemps de Bourges, qui en redemande ! du vrai punk ! En sortant de scène, elle a un message. Jasper Zenderro lui annonce qu'il a des informations sur son père. Cela fait deux ans maintenant qu'elle est partie à la recherche de ses origines, elle qui est une enfant abandonnée à la naissance.

Rota, avril 1979. Depuis 1969, les brigades rouges sèment la terreur en Italie. le commissaire Rota est appelé sur une scène de crime, le casse d'une bijouterie qui a mal tourné, puisque le propriétaire a été abattu. Si les armes utilisées fait penser à l'organisation d'extrême gauche, Rota pense que le bijoutier a voulu se défendre avec une arme et l'a payé de sa vie. La présence de sang sur le trottoir laisse à penser qu'un des voleurs a été blessé.

KLoé, avril 2014. Elle prend rendez- vous avec Zenderro, dans un petit bar de Mehun-sur-Yèvre. Il annonce avoir cherché du coté de l'hôpital où Kloé est née. Elle voit son vrai prénom écrit : Chloé. Zenderro n'en sait pas plus sur sa mère. En ce qui concerne sa mère, des amis « bien placés » lui ont conseillé d'abandonner. Ils ont été tellement persuasifs qu'il a décidé d'abandonner l'affaire, qui flirte avec des dossiers de terrorisme international.

Tony Marretti, avril 1979. Après le casse manqué, les camarades ont porté Tony, blessé, dans la voiture. Tony a perdu beaucoup de sang ; Giuseppe lui tient la main, lui parle. Il plonge dans le coma, se réveille sur un bateau, replonge, puis se retrouve en Corse chez un docteur … enfin, un vétérinaire, Peyo. Tony va devoir tout abandonner, sa vie, son identité, et fuir pour éviter de se retrouver en prison.

J'ai plutôt l'habitude de retrouver Jérémy Bouquin dans des intrigues bien ancrées dans notre quotidien. Il a l'habitude de prendre des personnages marginaux, et de grossir le trait dans un style direct et redoutablement évocateur. Et dans tous les cas, on retrouve sa patte, sa façon de peindre les décors et d'éviter les morales à deux balles pour offrir du vrai bon polar populaire (dans le bon sens du terme).

Quelle ne fut pas ma surprise quand j'ai ouvert ce roman ! La narration fait des allers retours entre aujourd'hui et les années 80. Entre la recherche de Kloé sur ses racines et les groupes terroristes d'il y a 30 ans, on a droit à la fois à des moments d'émotion pure, d'action, de mystère, et de découvertes. Jérémy Bouquin s'est surpassé pour nous fournir un roman plein, documenté juste comme il faut pour ne pas alourdir l'histoire, et des rebondissements qui vont nous retourner jusqu'à la dernière page (ou au moins jusqu'au dernier chapitre).

Avec ce roman là, Jérémy Bouquin a densifié ses personnages, qu'ils soient au premier plan ou pas, les a multipliés aussi, s'est évertué à construire une grande intrigue, en prenant son temps tout en restant passionnant. Il n'est pas question de juger les uns ou les autres, juste de se mettre au service de l'histoire. Jérémy Bouquin n'a pas monté une marche, il a grimpé un étage d'un coup, et a écrit avec ce roman son meilleur à ce jour. Enfin, c'est mon avis. J'ai adoré.
Lien : https://blacknovel1.wordpres..
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Marco souffle. C’est reparti ! Il sent ses vieux réflexes de soldat de la lutte remonter. Merde ! Il se réveille alors doucement. L’italien est d’abord impressionné, il commence maintenant à percuter : cette étrange habitude qu’a le vieux à décoder les articles de la presse quotidienne nationale avec autant de minutie. Pépé ne dormait jamais, il veillait. Une guerre de l’ombre. Ses codes, ses informations, ses transmissions. »
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Marco souffle. C’est reparti ! Il sent ses vieux réflexes de soldat de la lutte remonter. Merde ! Il se réveille alors doucement. L’italien est d’abord impressionné, il commence maintenant à percuter : cette étrange habitude qu’a le vieux à décoder les articles de la presse quotidienne nationale avec autant de minutie. Pépé ne dormait jamais, il veillait. Une guerre de l’ombre. Ses codes, ses informations, ses transmissions.
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Babette et Joseph, des gens géniaux. Des parents extras. Une éducation parfaite, un réconfort permanent, une attention de tous les jours et pourtant… Kloé n’a que des questions… Elle est comme vide. Kloé Seize est en quête. Son enfance. Elle cherche ses racines, comprendre, pourquoi ? Pourquoi elle n’a pas été aimée comme les autres… Juste savoir qui sont ses parents… Des questions sans réponse ! Des tonnes.
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Depuis, Jasper Zenderro avait enquêté. Plus exactement remué la merde. Il remontait de temps en temps à la surface avec quelques éléments.
Maigre.
Mais là, il avait du lourd, du neuf!
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Le groupe de cinq individus est entré dans la boutique. Tous cagoulés, certains avaient même des brassards. Rouges. Des révolutionnaires.
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Vidéo de Jérémy Bouquin
Jérémy Bouquin, "Sois belle et t'es toi !", Editions Lajouanie, 20 mai 2016
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