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EAN : 9782702432952
338 pages
Le Masque (14/11/2007)
3.44/5   99 notes
Résumé :
L'existence sans histoires de Violette, dix-sept ans, est chamboulée le jour où les médias annoncent la mort accidentelle de l'acteur français Pierre Vasseur. Sa mère, Henriette, lui apprend brutalement que son géniteur n'est autre que ce comédien reconnu, déjà père de trois enfants. Sans attendre, Violette se manifeste auprès de la famille Vasseur, qu'elle rêve d'intégrer. Il faut dire que l'adolescente, qui ne s'entend guère avec sa mère, souffre d'un terrible man... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Grandeur et décadence, c'est ce que j'ai pensé à la lecture de ce livre. Un peu comme quand j'ai lu L'instinct maternel, du reste.
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S'il est vrai qu'on ne choisit pas sa famille, c'est encore plus frappant quand on découvre celle-ci par hasard sous une frite, à 17 ans.
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Violette, adolescente au physique ingrat, vit seule avec sa mère, laquelle ne peut plus se déplacer qu'en fauteuil roulant, à cause d'un surpoids associé à un sévère diabète.
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La gamine n'a aucun ami et sa mère, qui n'a jamais été tendre avec elle, l'astreint à lui faire ses piqûres d'insuline trois fois par jour, ce qui laisse peu de latitude pour prendre du temps pour soi.
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Depuis sa plus tendre enfance, Violette imagine un père dont elle ignore tout. C'est forcément un héros, un roi, un prince... jusqu'au jour où les journaux annoncent le décès de Pierre Vasseur, acteur très célèbre.
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Ainsi, l'auteur lève le rideau sur la matrone disant à la gamine : "Misère de couillon ! Ton père est mort !"
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Notre Violette ne désire plus qu'une chose : faire connaissance avec cette famille dont elle a été privée jusque là, et elle ne va pas être déçue.
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La famille Vasseur, à la tête de laquelle trône Leila, séduisante veuve qui a toujours mené son monde à la baguette, n'est pas vraiment prête à accueillir ce nouveau membre, déjà que c'est loin d'être l'entente cordiale parmi ceux existant déjà.
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J'ai plongé facilement dans ce récit dramatique, plein de suspense et addictif, guidée par la jolie plume de Barbara Abel.
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On passe un très agréable moment, même si le récit est un chouïa tiré par les cheveux, voire grand-guignolesque sur la seconde moitié du livre.
C'est simple, je l'ai fini hier soir et j'en rigole encore.
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Illustre Inconnu - Rediffusion

Livre belge ( 2007 ). Réalisation : Barbara Abel. Durée : 340 pages.

Avec : Pierre Vasseur ( dans son propre rôle ), Leïla Vasseur ( son épouse ), Bastien et Amélie ( leurs enfants ), Igor ( fils d'un premier mariage ), Violette ( sa fille illégitime ) et Henriette ( son coup d'un soir et la mère de Violette )

Comédie dramatique.
Deux femmes que tout oppose s'affrontent en un duel psychologique sans merci.

Résumé :
Flash info. L'illustre acteur Pierre Vasseur, monument du cinéma français, est mort dans un accident de la route.
En entendant cela, Henriette, vieille femme aigrie, annonce à sa fille de 17 ans Violette que cette célébrité décédée était son père. L'adolescente élevée depuis toujours au sein de cette famille monoparentale apprend ainsi que ses gênes disgracieux proviennent du côté paternel, et qu'au final son père est tout sauf inconnu.
De son côté le clan Vasseur, mené de main de maître par Leïla, la veuve éplorée, gère tant bien que mal la succession et de nombreuses querelles internes. Leïla a à coeur de maintenir intacte l'image et la réputation de feu son époux. Elle ne vit d'ailleurs que pour les apparences comme en témoigne son corps encore parfait à soixante ans, préservé par la chirurgie esthétique.
Comment réagira-t-elle quand elle apprendra que son mari l'a trompée dix-huit ans plus tôt, laissant pour preuve une fille illégitime ?
Henriette, avec la disparition de l'acteur, a vu sa poule aux yeux d'or disparaître. Pierre Vasseur lui faisait en effet parvenir un petit pécule tous les mois pour que leur secret reste bien gardé. Elle envoie donc sa fille en mission, pour faire chanter le clan Vasseur et demander sa part d'un héritage conséquent.
Cependant, l'intention de Violette est tout autre. Elle voudrait appartenir à cette famille à part entière, faire connaissance de ses demi - frères et de sa demi - soeur, avoir une chambre pour elle toute seule, profiter quotidiennement de cette vie de rêve et de luxe.

L'avis de la rédaction :
Dernière réalisation de Barbara Abel avec le producteur "Le masque", souvent associé au genre policier, Illustre inconnu se rapproche pourtant surtout du drame familial à l'humour noir.
Impossible d'anticiper les réactions des protagonistes ou des intervenants extérieurs ( qui est cette femme en guenilles qui harcèle Leïla ? ).
Si ce dernier film avec Pierre Vasseur s'essouffle un peu en début de seconde partie, c'est pour mieux repartir ensuite avec une conclusion magistralement amenée. Au programme : non-dits, quiproquos, enlèvements et rebondissements. Avec ironie, le style unique de la réalisatrice met à mal la vision de la famille parfaite. On sourit et on grince des dents en découvrant toutes ses dysfonctions, jusqu'à leur apogée.

Bande annonce :
- "Il y a cette fille qui se radine la bouche en coeur et la tronche enfarinée, qui réclame sa part du gâteau et veut faire partie du club des nantis dégénérés"
- "Et comme elle le disait si bien, il était plus facile pour un homme d'avoir un enfant que pour un enfant d'avoir un père."
- "Elle prit conscience qu'elle possédait une arme dont la virulence était inversement proportionnelle aux faiblesses de ses ennemis.
Faiblesses qui avaient pour nom "rumeurs", "fastes", "clinquant" ,"apparat".
Ou encore "simulacres", "convenance", "étiquette".
Mais aussi "mensonges", "dissimulation" ... Et surtout "secrets".

A noter :
Barbara Abel semble avoir un compte à régler avec le diabète. Dans Illustre inconnu, c'est la mère de Violette qui en souffre et qui a même été amputée d'un pied. Dans son court-métrage "Au bout du monde, au bout de la ligne", une femme tuera son père en vidant la seringue de son insuline avant la piqûre. Et dans son récent blockbuster Je sais pas, cette maladie héréditaire caractérise également deux des principaux personnages.
 
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En général, avec Barbara Abel, je passe un bon moment. J'ai lu "Illustre inconnu "en deux jours, emportée par cette histoire qui aurait pu faire les beaux jours de la presse à scandales. Dans la découverte d'un enfant illégitime au décès d'une personnalité, il n'y a rien d'inédit, me direz-vous, mais à travers le personnage de Leila, la veuve de Pierre Vasseur, célèbre acteur décédé dans un accident de la route, c'est carrément l'âme du Diable cachée derrière les traits d'un ange que l'auteur a mise en scène. Prête à tout pour sauver les apparences d'une famille unie, elle a parfaitement réussi jusqu'à présent à épargner leur vie privée. Et ce n'est pas l'apparition de Violette, qui se déclare être la fille cachée de Pierre quelques semaines après sa mort, qui va réussir à ternir cette image de la perfection.

De la même façon qu'elle joue souvent sur l'opposition dans ses titres, parmi ceux que j'ai lus, "L'innocence des bourreaux", "Duelle" ou évidemment "Illustre inconnu", Barbara Abel a construit son roman sur l'antagonisme de deux mondes, richesse/ misère et vie privée/ vie publique. On se laisse porter par le style fluide de l'auteure et l'originalité du scénario où alternent par exemple des interviews de l'acteur décédé. Peut-être pourrait-on reprocher à Barbara Abel de s'être laissée conduire par le diabolisme de son personnage au point d'en dépasser les limites du vraisemblable et de terminer rapidement par un "happy-end" entre Violette et sa mère un peu incongru ? J'accorde un 14/20 à cette histoire imaginée mais qui nous remet en mémoire des faits similaires bien réels ceux-là. Il n'est pas toujours aisé d'être "le fils ou la fille de".
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Barbara Abel est une romancière que je suis depuis 2012 et que j'apprécie énormément. J'aime son style, ses descriptions fouillées de la psychologie des personnages et son sens de l'intrigue à rebondissements. 
Certains écrivains nous séduisent par la qualité de leur style, d'autres avec un récit bien ficelé, une intrigue prenante, et, pour moi, Barbara Abel possède tout. 
J'aime sa façon de semer le trouble et de mettre en scène des anonymes dont la vie bascule à un moment donné.

Avec "Illustre inconnu", l'auteure nous emmène dans les milieux du cinéma. Mais, pas de paillettes, de glamour ou de tournage au programme, c'est une vie de famille tourmentée qu'elle nous livre une fois de plus. 
L'héroïne de ce roman, Violette, 17 ans, découvre en effet brutalement, le jour de la mort de Pierre Vasseur, comédien français célèbre et reconnu, qu'il est son père. Elle décide immédiatement de faire connaissance avec la famille, et notamment sa "belle-mère". Mais son rêve va vite tourner au cauchemar...

L'auteure nous donne le sentiment de découvrir une tranche de vie, alors qu'en fait elle nous plonge dans un suspense glaçant, dans un véritable thriller psychologique. Elle nous manipule discrètement, nous amène où elle le désire, transforme des évidences en mauvaises pistes, et nous achève avec une fin inattendue. 

J'ai apprécié l'ambiance du livre, faite de violence difficilement contenue, et le fait que la romancière, avec son originalité habituelle, parsème le récit de quelques réflexions d'inconnus, face aux événements people de la vie des "stars".

Et pourtant, je n'ai pas été totalement séduite. Je suis restée avec un sentiment de "trop" : trop de pathos dans la vie des personnages, trop de machiavélisme de leur part, trop de pistes soulevées,... 
Il y a des rendez-vous manqués et ce roman en fera partie pour moi...
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Pierre Vasseur, le célèbre acteur français est mort.
Le cinéma français a perdu un de ses plus grands acteurs. Leila, elle, a perdu l'amour de sa vie.
Pour la splendide et arrogante veuve, c'est tout un monde qui s'effondre: un écrin de perfection qu'elle a construit pendant 3 décennies, une vie privée qu'elle s'est toujours évertuée à préserver de la presse et des ragots populaires.
Maintenant que Pierre n'est plus, Leila craint de voir l'image de feu son mari ternie par les querelles intestines qui déchirent son clan car Pierre était également le patriarche d'une famille recomposée, le garant de l'unité familiale.
Un clan familial qui est loin d'être une fratrie unie. Déjà rudement mise à l'épreuve par le décès de Pierre, un évènement inattendu va faire irruption dans leur vie sous les traits de Violette qui se revendique comme étant la fille naturelle de l'acteur, fruit d'une liaison d'un soir.

Pour Violette, une ado de 17 ans, mal dans sa peau et en manque d'amour, la révélation de l'identité de son père est l'occasion rêvée d'intégrer la famille idéale. A défaut d'avoir connu son père, elle compte bien revendiquer sa place qu'elle estime légitime auprès des Vasseur.
Mais la famille ne l'entend pas de cette oreille et c'est dans un contexte de plus en plus délétère que les vieilles rancoeurs vont ressurgir avec coups bas et trahisons au rendez-vous.

C'est toujours avec grand plaisir que je retrouve Barbara Abel au sommet de son art avec ce thriller psychologique intense.
Derrière le miroir des apparences, on trouve souvent une vérité qui n'est pas toujours belle à voir.
Le roman m'a tenu en haleine de la première à la dernière page. Une fois les éléments mis en place, le thriller fait monter l'adrénaline jusqu'à son apogée avec une fin à la hauteur des espérances et totalement surprenante.
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Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
Depuis toujours, Leïla a deux ennemis mortels : le temps, c'est une évidence, mais aussi la vérité, du moins celle qui ne lui convient pas. Littéralement shootée aux apparences et aux images, image de marque, image de soi, Leïla est dominée par l'obligation de paraître au mieux de sa forme, physique et morale, le devoir d'exposer - à tous et surtout aux médias - sa beauté, son bonheur, le destin hors du commun qui est le sien. D'ailleurs, on pourrait également lui adjoindre un troisième ennemi mortel : le quelconque, le banal, l'ordinaire. C'est une tyrannie qui ne lui laisse aucun répit, c'est une seconde nature, c'est maladif.
C'est un instinct de survie.
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Christine avait suivi la naissance de l'étoile et s'en était sincèrement félicitée. Sans toutefois s'empêcher de penser que réussir au cinéma n'avait pas la noblesse d'une reconnaissance de la part du milieu théâtral, fût-elle confidentielle.
- Le cinéma, c'est du théâtre en conserve ! clamait-elle haut et fort à qui voulait l'entendre.
Puis, pour faire taire toute mauvaise langue susceptible de penser qu'elle pouvait être jalouse du succès de son frère, elle ajoutait dans un gloussement :
- Ce n'est pas de moi, c'est de Jouvet !
Si c'était de Jouvet, alors...
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- Ce qui me désole, vois tu, explique Leïla dans un trémolo de sanglots étouffés, ce qui me dévaste littéralement, c'est qu'il soit mort...
- Bien sûr, c'est normal... acquiesce aussitôt Cécile.
- ...Et que je ne puisse moi-même le tuer de mes propres mains, achève-t-elle les traits durcis par la colère.
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Leïla est là, devant elle, fidèle à l'image qu'elle projette sur papier glacé : la cinquantaine éblouissante que nombre de jeunes filles ne parviennent pas à égaler, cheveux mi-longs alliant élégance et négligence dans un splendide enchevêtrement de mèches folles, un visage d'une parfaite symétrie que l'outrage du temps a miraculeusement épargné, une taille fine, pieds menus, mollets fuselés, cuisses galbées, fessier rebondi... Elle est là, superbe au milieu des clichés étincelants de sa vie, témoins de sa réussite, ses joies, sa fierté.
(...) Leïla fait partie de ces femmes qui semblent avoir signé un pacte avec le Diable et même, l'avoir berné en beauté. Justement.
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À propos de souvenirs…
Il y a ceux qui ressurgissent en vrac et s’altèrent d’un voile d’amertume, les phrases prononcées longtemps auparavant qui résonnent en écho avant de dénaturer la signification qu’on leur avait donnée, et puis les mots qui se doublent d’un sens perverti par la douleur. Il y a aussi cette image qui s’impose chaque fois que l’on ferme les yeux, celle de deux corps enlacés dont l’intimité de l’un se fond avec l’étrangeté de l’autre, comme un dessin insolite sur lequel l’auteur aurait délibérément introduit une erreur. Enfin surtout, il y a cette impossibilité infernale de demander des explications, d’exiger réparation, d’exhiber au coupable le mal qui ronge, les braises de la haine dont chaque étincelle consume le cœur et l’âme, la chair et l’esprit, jusqu’à la démence de ne pouvoir trouver le baume réparateur. En sachant qu’il n’existe plus.Qu’il est mort et enterré.
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Videos de Barbara Abel (53) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Barbara Abel
Découvrez l'émission intégrale ici : https://www.web-tv-culture.com/emission/niko-tackian-la-lisiere-53718.html Les études de droit et d'histoire de l'art peuvent mener à l'écriture de roman noir. La preuve ! C'est en tout cas le chemin pris par Niko Tackian pour arriver en librairie au rayon des romans qui font peur…
On l'a aussi connu journaliste, auteur de BD, metteur en scène et scénariste. On lui doit d'ailleurs la série télé « Alex Hugo » écrite en collaboration avec Franck Thilliez.
Mais aujourd'hui, c'est avant tout de l'auteur de thrillers que je veux vous parler, lui qui, en quelques titres, est devenu un incontournable. Il fait d'ailleurs partie du collectif « La ligue de l'imaginaire » aux côtés de Bernard Minier, Olivier Norek, Bernard Werber ou Barbara Abel.
Dans l'univers du thriller, Niko Tackian fait ses armes avec « Quelque part avant l'enfer », un premier titre primé au festival de Cognac. Rapidement les succès vont s'enchainer au rythme d'un livre par an.
Et si vous n'avez pas encore lu « Avalanche hôtel », « Celle qui pleurait sous l'eau » ou « Repère », allez-y ! Vous allez adorer avoir peur ! Dans ses romans, Niko Takian aime décortiquer la psychologie de ses personnages, les mettre face à des situations toutes plus angoissantes les unes que les autres et, à chaque fois, son histoire prend place dans un paysage différent, sorte de huis-clos naturel qui joue un rôle dans le déroulé de l'intrigue.
Avec « La lisière », le nouveau thriller de Niko Tackian, nous voici en Bretagne. Mais pas la Bretagne de bord de mer, riante et touristique. Non, nous sommes ici au coeur de la Bretagne, celle des monts d'Arrée, rugueuse et austère, pétrie de légendes autour des elfes, du chien noir et de l'Ankou, le serviteur de la mort.
Ce soir-là, Vivian est en voiture avec son mari Hadrien, au volant et leur fils Tom à l'arrière. Il fait nuit, le crachin masque la visibilité, le vent s'engouffre dans ses paysages tortueux des monts d'Arrée. Tout à coup, une forme surgit devant la voiture obligeant le conducteur à s'arrêter précipitamment. Hadrien descend du véhicule pour vérifier que tout est en ordre. le petit Tom descend aussi pour soulager un besoin pressant. Une minute passe, puis deux… Vivian sort à son tour de voiture. Personne. Son fils et son mari ont disparu, elle est seule dans cette lande bretonne battue par le vent et la pluie.
Voilà le point de départ de cette histoire à vous empêcher de dormir. Une petite famille bien ordinaire embarquée dans une intrigue sinistre à souhait.
L'écriture est vive, rythmée, addictive. Les situations angoissantes s'enchainent, les chausses trappes abondent et le lecteur de suivre frénétiquement les soubresauts de l'enquête et d'accompagner Vivian dans sa quête de la vérité. Que sont devenus sont fils et son mari ?
Un thriller impeccablement réussi que vous allez dévorer jusqu'à la dernière page avec une conclusion terrifiante que vous n'aurez pas vue venir. Et cerise sur le gâteau, Niko Takian vous offre aussi un chapitre supplémentaire grâce à un QR code en fin de roman qui vient compléter le plaisir de lecture.
Vous qui aimez avoir peur, vous allez vous régaler.
« La lisière » de Niko Takian est publié chez Calmann Lévy.
+ Lire la suite
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