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EAN : 9782020495189
224 pages
Seuil (17/10/2003)
3.94/5   357 notes
Résumé :
" Titi a choisi de vivre avec moi. C'est un petit chat gris, à la tête ronde, au regard doré et au poil court et laineux. Avec lui, je m'abandonne, sans peur, ni jeu ni séduction.

Il est le premier de mes chats de hasard. "
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Critiques, Analyses et Avis (69) Voir plus Ajouter une critique
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Comme pour Anny Duperey, mes chats m'ont toujours choisi et ce n'est pas faute d'avoir essayé de le faire moi-même. Au plus loin où je peux remonter dans mes souvenirs d'enfant, ces petits tigres de salon ont toujours fait l'effort de venir à moi pour m'apprivoiser. de ma première petite boule noire surgit d'un gros tas de bois qui répondait au doux nom de Minne jusqu' au jeune chat tigré Fripouille, scotché à moi durant plus de 30 minutes et sauvé ainsi de la solitude de la Spa…

J'ai découvert les chats de Hasard grâce au superbe billet de mon amie Francine (@afriqueah) et je ne regrette en rien cette belle et émouvante lecture. Car pour être émouvant, ce petit roman autobiographique l'est surement au point de vous sortir de temps en temps, les larmes des yeux. C'est un melting pot entre les bons souvenirs qu'on a pu avoir avec nos félins comme les moments plus tristes où on a dû leur faire nos adieux après une belle vie de partage.

Anny Duperey mérite d'être lue. Elle possède un style et une prose agréable. Elle a le don de respecter le lecteur, ce qui est devenu assez rare aujourd'hui. Elle nous prend par la main et nous accompagne tout du long des 224 pages de son roman ailurophile. Sans heurter l'opinion des uns et des autres, elle nous présente sa passion des chats d'une façon simple mais assurée. Cette belle sincérité transparaît à travers les mots qu'elle utilise. Cette sensibilité à fleur de mots ne touchera pas les réfractaires à l'amour que possèdent certains hommes pour leurs animaux, mais cela leur permettra au moins de mieux comprendre cette relation encore étrangère pour eux.

Si la femme-actrice m'avait laissé un peu sur ma faim, la femme-écrivain a su me subjuguer. Son extrême simplicité donne une force exceptionnelle à son amitié pour la gente féline. Il lui faut beaucoup d'humilité dans ses propos pour ne pas tomber dans la caricature voire le ridicule. Anny Duperey sait nous parler vrai et sans ambages de ses chats. Vous aurez comme moi l'impression de vous retrouver pleinement dans ses affirmations en vous sentant moins esseulé dans la relation quotidienne que vous entretenez avec votre petit compagnon aux grandes moustaches. Vous pourrez continuer à miauler avec lui en partageant vos repas, vos peines, votre lit, votre vie sans honte ni gêne.

Merci Anny d'avoir su partager avec nous ces grands moments de bonheur et parfois de tristesse. Vous l'avez fait avec beaucoup de pudeur et de retenue. le parallèle entre la mort d'un être cher et la perte d'un animal adoré qui n'était pas chose aisée et même rarement accepté de tous, permettra j'en suis sûr de mieux comprendre l'importance que l'on peut donner à ces petits êtres jamais assez aimés mais toujours trop regrettés…

« Ce qui est merveilleux avec un chat c'est qu'il n'y a rien à faire quand il vient à vous, qu'à le regarder. »
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Me voilà à nouveau démunie, incapable de savoir si je vais vous toucher et vous entrainer à lire ce livre si émouvant, si sage, si profond, si franc.
Inutile de vous dire qu'il m'a émue à un point inimaginable. Peut-être parce que j'ai un chat, moi aussi ? Et que depuis mon enfance, ces êtres silencieux au regard paisible m'ont accompagnée ?


En tout cas, j'ai accompagné Anny Duperey dans son lent dévoilement d'elle-même, dans sa lente transformation vers la sérénité, vers l'acceptation du drame vécu dans son enfance, la découverte de ses parents morts alors qu'elle avait 8 ans. Non, ce livre n'est pas une redite du « Voile noir », mais plutôt une plongée dans sa vie intérieure qu'elle a effectuée à l'aide de 2 de ses petits compagnons, ses « chats de hasard » comme elle les appelle, car ils sont arrivés à elle de façon tout à fait impromptue.


« Un petit animal gris, mine de rien, sans que je me méfie, était entré dans ma solitude et allait, le premier, ouvrir une brèche dans ma force, commencer à me marcher sur le coeur avec des pattes de velours... »
Et puis
« Missoui était là, avec moi, tour à tour ma mère, mon amie, ma compagne d'écriture, ma petite soeur, ma démunie de mots, ma très sage. »


Non, ce livre n'est pas triste ! Il mène à une vérité intime, qui est celle de tout être humain osant s'arrêter, osant se retirer quelquefois hors du tumulte de la vie et se regarder, tel qu'il était enfant, plein de rêves et innocent.
Et puis ce livre fourmille d'anecdotes. Il est plein d'enfants et de chats. Il est plein d'oiseaux, d'arbres, de fleurs. La campagne éclate à chaque coin de page.


L'écriture. le métier de comédienne. L'amour. Les enfants. le coeur. Les chats. La vie, simple et tranquille.


Je me retire sur la pointe des pieds.


« Je ne connais rien de comparable au silence pensif des chats. Il remplit l'atmosphère d'une qualité très particulière. Pour peu que l'on veuille bien s'arrêter un moment pour être à l'unisson avec lui, ce silence devient contagieux. On le voit, lui, le chat, éveillé et ailleurs, son beau regard fixé devant lui. le temps soudain suspendu, on se prend, l'oeil perdu dans le vague, à laisser errer son esprit, doucement. Puis tout à coup, un blanc, une bulle de néant vous a saisi et vous ne savez plus combien de minutes vous êtes resté là, et où vos pensées sont allées divaguer sans contrôle. Puis on revient à la réalité, celle du temps compté, de l'ordre, du raisonnement, on s'éveille comme d'un petit voyage. Où était-on ? On ne saura pas dans quelle part de soi informulée, inconnue, le rêve du chat nous a entraînés... »

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L'arrivée imprévue d'un petit chat, alors qu'Anny Duperey s'est isolée à la campagne pour écrire, la bouleverse au point de lui faire revivre son enfance avec les chats de sa grand mère, en plus de lui communiquer toute la tendresse d'un petit nez qui vient se loger dans son cou.
Revivre son enfance est pourtant ce qu'elle volontairement oublié, la mort de ses parents quand elle avait huit ans l'ayant précipitée dans le déni, pour ne pas tomber dans une douleur inguérissable. le chat, et les autres chats de hasard, représente donc non pas un hasard, mais au contraire un signe, une sorte de destin qui la guide vers la conscience, car c'est lui qui fait les premiers pas, qui inspecte,qui s'installe, qui la choisit, et l'aide par sa présence à grandir.
Elle qui s'est volontairement endormie dans les fêtes, pour oublier le drame, ressent la chaleur et le bien être au contact de cette petite boule de poils.
Une autre chatte arrive chez eux, alors qu'elle vit avec Bernard Giraudeau et a deux enfants de lui, et, qu'elle veut écrire sur les chats après avoir écrit « le voile noir » : au contact de cette chatte limite énervante, qui se pointe chaque jour devant son cahier, ne joue pas avec son stylo, et assiste, pénétrée, à l'écriture, elle découvre la proximité entre un écrivain et un chat: ils constituent le couple parfait.
L'émotion qu'elle éprouve à prendre en charge la vie d'un petit animal, Anny Duperey la transmet avec un phrasé tout affectif : « Un petit animal gris, mine de rien, sans que je me méfie, était entré dans ma solitude et allait, le premier, ouvrir une brèche dans ma force, commencer à me marcher sur le coeur avec des pattes de velours.. »
Le chat la decadenasse , la fait grandir, lui fait accepter la mort.
Magnifique livre sur le rapport entre elle et les chats, avec le portrait de la dernière, qui se croit humaine, et apporte toute la sérénité possible à la famille, puis qui meurt en acceptant sa mort.
Si Anny Duperey avait épuisé de nombreuses boites de kleenex en écrivant le voile noir, elle nous laisse parfois au bord des larmes par le récit de son réveil entremêlé de réflexions sur le caractère des chats.
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Magnifique récit écrit par une grande amoureuse des chats. Coup de coeur! Texte rempli d'émotion. A conseiller à toutes les personnes qui ont vécu des moments privilégiés avec des petits félins. Si on aime les chats on ne peut qu'adorer ce livre, si sensible, si bien écrit.
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Avec beaucoup de tendresse et de pudeur, Anny Duperey raconte sa vie au travers des chats qui ont fait un bout de chemin avec elle et qui l'ont marquée à jamais.

Après avoir été touchée par les billets de @Afriqueah et @Patlancien, j'ai ressenti une énorme envie de le lire à nouveau, après une quinzaine d'années. Et à nouveau mon coeur s'est empli de joie et gonflé de larmes. Les confessions intimes d'Anny et la vie au côté de deux chats particulièrement, Titi et Missoui, m'ont chamboulée. Ces chats qu'elle nomme « de hasard » car ils l'ont choisie, elle et non l'inverse.

Grâce à Titi et Missoui, elle a vécu des moments intenses et privilégiés. Ils l'ont aidée à affronter un passé bien cruel, à évoluer, à s'ouvrir à la vie et à faire son deuil après de nombreuses années de silence et de reflux.

Un récit merveilleux et bouleversant qui s'adresse à tous les passionnés de petits félins, comme moi, amoureuse inconditionnelle de ces petites boules de poils qui ont des caractères, des ressentis et des intuitions bien plus complexes que ce qu'on imagine. Anny Duperey nous en fait la démonstration sans sombrer dans l'anthropomorphisme.

L'immense affection et la reconnaissance d'Anny pour ces petites boules de poils transcendent chaque page de ce livre et en font une petite pépite.
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Citations et extraits (80) Voir plus Ajouter une citation
Les gens qui aiment les chats évitent les rapports de force. Ils répugnent à donner des ordres et craignent ceux qui élèvent la voix,qui osent faire des scandales. Ils rêvent d'un monde tranquille et doux où tous vivraient harmonieusement ensemble. Ils voudraient être ce qu'ils sont sans que personne ne leur reproche rien.

Les gens qui aiment les chats sont habiles à fuir les conflits et se défendent fort mal quand on les agresse. Ils préfèrent se taire, quitte à paraître lâches. Ils ont tendance au repli sur soi, à la dévotion. Ils sont fidèles à des rêves d'enfant qu'ils n'osent dire à personne. Ils n'ont pas du tout peur du silence. Ils ne s'arrangent pas trop mal avec le temps qui passe,leur songe intérieur estompe les repères,arrondit les angles des années.

Les gens qui aiment les chats adorent cette indépendance qu'ils ont,car cela garantit leur propre liberté. Ils ne supportent pas les entraves ni pour eux-mêmes ni pour les autres. Ils ont cet orgueil de vouloir être choisis chaque jour par ceux qui les aiment et qui pourraient partir librement, sans porte fermée, sans laisse, sans marchandage. Et rêvent bien sûr que l'amour aille de soi,sans effort, et qu'on ne les quitte jamais. Ils ne veulent pas obtenir les choses par force et voudraient que tout soit donné.

Les gens qui aiment les chats,avec infiniment de respect et de tendresse,auraient envie d'être aimés de la même manière -qu'on les trouve beaux et doux,toujours, qu'on les caresse souvent, qu'on les prenne tels qu'ils sont, avec leur paresse, leur égoïsme, et que leur présence soit un cadeau.

Dans le doute de pouvoir obtenir pour eux-mêmes un tel amour,ils le donnent aux chats. Ainsi cela existe, cela console.

Les gens qui aiment les chats font une confiance parfois excessive à l'intuition. L'instinct prime la réflexion. Ils sont portés vers l'irrationnel, les sciences occultes. Ils mettent au-dessus de tout l'individu et ses dons personnels et sont assez peu enclins à la politique. Les tendances générales, les grands courants, les mouvements d'opinion, les embrasements de foule les laissent aussi circonspects que leur animal devant un plat douteux. Et si leur conviction les pousse à s'engager, une part d'eux-mêmes reste toujours observatrice, prête au repli dans son territoire intime et idéaliste, toujours à la frange, comme leurs compagnons, d'un pacte avec la société et d'un retour vers une vie sauvage dans l'imaginaire.

Les gens qui aiment les chats sont souvent frileux. Ils ont grand besoin d'être consolés. De tout. Ils font semblant d'être adultes et gardent secrètement une envie de ne pas grandir. Ils préservent jalousement leur enfance et s'y réfugient en secret derrière leurs paupières mi closes, un chat sur les genoux.
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Mais les chats...
Les gens qui aiment les chats évitent les rapports de force. Ils répugnent à donner des ordres et craignent ceux qui élèvent la voix, qui osent faire des scandales. Ils rêvent d'un monde tranquille et doux ou tous vivraient harmonieusement ensemble. Ils voudraient être ce qu'ils sont sans que personne ne leur reproche rien.
Les gens qui aiment les chats sont habiles à fuir les conflits et se défendent fort mal quand on les agresse. Ils préfèrent se taire, quitte à paraître lâches. Ils ont tendance au repli sur soi, à la dévotion. Ils sont fidèles à des rêves d'enfant qu'ils n'osent dire à personne.
Ils n'ont pas du tout peur du silence. Ils ne s'arrangent pas trop mal avec le temps qui passe, leur songe intérieur estompe les repères, arrondit les angles des années.
Les gens qui aiment les chats adorent cette indépendance qu'ils ont, car cela garantit leur propre liberté. Ils ne supportent pas les entraves ni pour eux-mêmes, ni pour les autres.
Ils ont cet orgueil de vouloir être choisis chaque jour par ceux qui les aiment et qui pourraient partir librement sans porte fermée, sans laisse, sans marchandage. Et rêvent bien sûr que l'amour aille de soi, sans effort, et qu'on ne les quitte jamais. Ils ne veulent pas obtenir les choses par force et voudraient que tout soit donné.
Les gens qui aiment les chats, avec infiniment de respect et de tendresse, auraient envie d'être aimés de la même manière - qu'on les trouve beaux et doux, toujours, qu'on les caresse souvent, qu'on les prenne tels qu'ils sont, avec leur paresse, leur égoïsme, et que leur seule présence soit un cadeau. Dans le doute de pouvoir obtenir pour eux-mêmes un tel amour, ils le donnent aux chats. Ainsi cela existe. Ca console.
Les gens qui aiment les chats, font une confiance parfois excessive à l'intuition. L'instinct prime la réflexion. Ils sont portés vers l'irrationnel, les sciences occultes. Ils mettent au-dessus de tout l'individu et ses dons personnels et son assez peu enclins à la politique. Les tendances générales,les grands courants, les mouvements d'opinion, les embrasements de foule les laissent aussi circonspects que leur animal devant un plat douteux. Et si leur conviction les pousse à s'engager, une part d'eux-mêmes reste toujours observatrices, prête au repli dans son territoire intime et idéaliste, toujours à la frange, comme leur compagnons, d'un pacte avec la société et d'un retour vers une vie sauvage dans l'imaginaire.
Les gens qui aiment les chats, sont souvent frileux. Ils ont grand besoin d'être consolés. De tout. Ils font semblant d'être adultes et gardent secrètement une envie de ne pas grandir.
Ils préservent jalousement leur enfance et s'y réfugient en secret derrière leurs paupière mi-closes, un chat sur les genoux.
Enfin j'ai cru remarquer que les gens qui aiment les chats étaient souvent ainsi....... J'AIME LES CHATS.
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Les gens qui aiment les chats sont habiles à fuir les conflits et se défendent fort mal quand on les agresse. Ils préfèrent se taire, quitte à paraître lâches. Ils ont tendance au repli sur soi, à la dévotion. Ils sont fidèles à des rêves d'enfant qu'ils n'osent dire à personne. Ils n'ont pas du tout peur du silence. Ils ne s'arrangent pas trop mal avec le temps qui passe, leur songe intérieur estompe les repères, arrondit les angles des années.
Les gens qui aiment les chats adorent cette indépendance qu'ils ont, car cela garantit leur propre liberté. Ils ne supportent pas les entraves ni pour eux-mêmes ni pour les autres. Ils ont cet orgueil de vouloir être choisis chaque jour par ceux qui les aiment et qui pourraient partir librement, sans porte fermée, sans laisse, sans marchandage. Et rêvent bien sûr que l'amour aille de soi, sans effort, et qu'on ne les quitte jamais. Ils ne veulent pas obtenir les choses par force et voudraient que tout soit donné.
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Ils étaient acceptés, aimés, et le bonheur rend beau. La peur tue la beauté, la méfiance rend fuyant et agressif - il en est de même pour les hommes, je crois.
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Je ne connais rien de comparable au silence pensif des chats. Il emplit l'atmosphère d'une qualité très particulière. Pour peu que l'on veuille bien s'arrêter un moment pour être à l'unisson avec lui, ce silence devient contagieux. On le voit, lui, le chat, éveillé et ailleurs, son beau regard fixé devant lui. On s'assoit là, la main posée sur son dos. Le temps soudain suspendu, on se prend, l'œil perdu dans la vague, à laisser errer son esprit, doucement. Puis, tout à coup, un blanc, une bulle de néant vous a saisi et vous ne savez plus combien de minutes vous êtes resté là, et où vos pensées sont allées divaguer sans contrôle. Puis on revient à la réalité, celle du temps compté, de l'ordre, du raisonnement, on s'éveille comme d'un petit voyage. Où était-on ? On ne saura pas dans quelle part de soi informulée, inconnue, le rêve du chat nous a entraîné... (p. 56).
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