Lui surtout qui finalement ne fréquentait, ne savait faire dialoguer et ne se plaisait à mettre en scène que deux personnages : "Je" et "Moi".(...) Il était insensiblement passé de l'idée humaniste, énoncée par Montaigne que, tout homme porte en lui la forme entière de l'humaine condition, tout ce que vit pense, ressent un individu est susceptible d'avoir un écho chez tous les autres, à l'idée, sensiblement différente, qu'il n'avait pas lieu de s'intéresser à un autre qu'à lui-même.
S'il suffisait pour être Victor Hugo de courir après tout ce qui porte jupon, le Panthéon aurait affiché complet bien avant 1885.
Il est un des rares, très rares, trop rares journalistes dont on peut écrire, sans risque d’être démenti, qu’il a du talent, des idées et du courage. Qu’il a toujours préféré ses opinions à son confort, ses convictions à sa réputation. Rencontre avec un journaliste libre, tout simplement libre. www.revue-medias.com