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EAN : 9782705655587
341 pages
Hermann (01/04/1986)
3.88/5   4 notes
Résumé :
Empruntant à Gaston Bachelard la notion et le terme de mutation intellectuelle, Alexandre Koyré décrit et analyse la transformation grâce à laquelle des notions, péniblement « inventées » par les plus grands génies, deviennent non seulement accessibles, mais encore faciles, évidentes pour les écoliers. Ce livre considérable, chef-d'oeuvre du plus illustre représentant de l'histoire des sciences en France au début de ce siècle, aussi unanimement apprécié à l'étranger... >Voir plus
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Remarquons, en passant, qu'il ne s'agit là nullement du problème de la certitude - aucun aristotélicien n'a jamais mis en doute la certitude des démonstrations géométriques --, mais de celui de la réalité ; et qu'il ne s'agit pas même de l'emploi des mathématiques dans la science physique - aucun aristotélicien ne s'est jamais refusé à mesurer ce qui est mesurable et à compter ce qui est nombrable --, mais de son rôle dans et pour la structure même de la science ; c'est- à-dire, nécessairement, de la réalité elle-même.
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Vidéo de Alexandre Koyré
Karim Benyekhlef - Directeur du Laboratoire de cyberjustice
Karim Benyekhlef est professeur à la Faculté de droit de l'Université de Montréal depuis 1989. Il est détaché au Centre de recherche en droit public depuis 1990 et en a assuré la direction de 2006 à 2014. Il a assuré la direction du Regroupement stratégique Droit, changements et gouvernance, regroupant une cinquantaine de chercheurs, de 2006 à 2014. Il fut aussi directeur scientifique du Centre d'études et de recherches internationales de l'Université de Montréal (CÉRIUM) de 2009 à 2012. Il assure actuellement la direction du Laboratoire de cyberjustice, qu'il a fondé en 2010. le Laboratoire de cyberjustice a obtenu en 2015 le Prix Mérite Innovation du Barreau du Québec. Il est titulaire de la Chaire de recherche LexUM en information juridique depuis octobre 2014. Il a reçu en 2016 la distinction Advocatus Emeritus (Avocat émérite) du Barreau du Québec. Il a été le titulaire 2019-2020 de la Chaire d'excellence Alexandre Koyré. Il est co-responsable de l'Axe Droit, cyberjustice et cybersécurité à l'OBVIA (Observatoire international sur les impacts sociétaux de l'IA et du numérique). Il dirige maintenant le projet «Autonomisation des acteurs judiciaires par la cyberjustice et l'intelligence artificielle» (Projet AJC) dans le cadre du programme de partenariat du CRSH (2018-2025). Ce projet vise à mettre l'intelligence artificielle (IA) au service des justiciables et des acteurs judiciaires afin d'accroître l'accès à la justice. AJC réunit, pour 7 ans, une équipe multidisciplinaire et internationale composée de plus de 50 chercheurs et de 42 partenaires représentant des centres de recherche, des institutions publiques, des professionnels du droit, des représentants de la société civile et des acteurs du secteur privé.
Conférence : Existe-t-il un juste usage et une réelle utilité de l'IA en justice ? Jeudi 5 mai 2022, 10h45 - 11h30 — Amphi mauve
Les promesses de l'IA sont nombreuses et relèvent parfois plus du marketing (économie de la promesse) que de la réalité. Qu'en est-il de l'apport de l'IA dans le champ de la justice? L'expression «intelligence augmentée» apparaît plus juste dans le champ de la justice. En effet, il s'agit plus d'assister le justiciable ou le professionnel que de se substituer aux décideurs, ainsi que l'illustre l'image chimérique et absurde du juge-robot. Les outils numériques peuvent contribuer à un meilleur accès au droit par des agents conversationnels, par exemple, et à faciliter, dans certains cas, l'accès à la justice, en particulier par le biais des plateformes de résolution en ligne des conflits. Dans tous ces cas, la tâche est difficile car le droit ne se laisse pas facilement encapsuler dans des formules algorithmiques. La sensibilité du droit au contexte socio-économique, voire politique, le rend évolutif et parfois difficilement saisissable et ces caractéristiques sont loin d'être des défauts. Une fois ces caractéristiques prises en compte et soupesées, l'intelligence augmentée peut contribuer à l'accès au droit et à la justice et ainsi faire oeuvre utile.
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