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EAN : 9782266329187
528 pages
Pocket (16/02/2023)
3.7/5   10 notes
Résumé :
" Le roman des classiques ". Il existe incontestablement dans notre pays un art d'écrire que ce soit en roman, théâtre, politique, essais, poésie et philosophie. Comment ont été réalisés écrits les chefs d'ouvre hexagonaux, les rares ouvrages qui ont été sans cesse réédités depuis leur parution pour accéder au rang de classiques ? Accompagné d'une rédaction prestigieuse, Sébastien Le Fol raconte -pour la vingtaine qu'il a retenu- comment les auteurs ont pensé, écri... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
"Sur une racine de la bruyère, une corneille boit l'eau de la fontaine Molière" tout le monde connaît ce moyen mnémotechnique pour se souvenir des auteurs français du XVIIe siècle. Alors je me risque, avec modestie, avec les livres abordés dans cet ouvrage :

"À la recherche du temps perdu, j'ai ouvert les pages de ce livre de Sébastien le Fol, et me suis perdu dans un Voyage au bout de la nuit pour dévorer les pages de ce livre. Faisant appel à la mémoire de mes lectures pour certaines ce fut un peu les Mémoires d'Hadrien tant il faut remonter à mes souvenirs de collégien ou de lycéen (pas Mémoires d'outre-tombe car ce sont des ouvrages que l'on n'oublie pas, ni des Mémoires de guerre, car à ma connaissance il n'a pas fallut que je me batte pour les lire ou que je me me décide à les fuir comme la Peste). Loin de moi l'idée que cette critique soit élevée tel le Mémorial de Sainte-Hélène.

Alors je me suis plongé dans ce livre, direction Vingt mille lieues sous les mers, qui parle de livres, de classiques, de chefs-d'oeuvre de la littérature. J'aurais pu vous dire que je n'y ai vu que deux couleurs : le Rouge et le Noir. Mais j'y ai croisé pendant ces rêves le Mariage de Figaro, où brillait Splendeurs et misères des courtisanes, Madame Bovary, Les Trois Mousquetaires qui erraient comme Les Misérables en discutant de la démocratie en Amérique, Gargantua qui faisait fi de la Physiologie du goût et du Contrat Social...
Loin des Fables, il m'aura fallu plusieurs Essais pour y arriver, et vous livrer mes Pensées

Mais trêve d'exercice d'écriture revenons à nos moutons (de Panurge), où plutôt a quelque chose de plus conventionnel.

Sébastien le Fol nous le précise dès son introduction car on pourrait lui reprocher certains choix, voire certains non-choix :

"La conscience nationale a été façonnée par ses chefs-d'oeuvre. Chacun d'entre eux peint un des traits hexagonaux, comme le montre encore Slama : Rabelais la truculence, Molière le sens critique, Montaigne et Hugo l'universalisme, La Fontaine l'épicurisme, Pascal la soif d'absolu, Rousseau la passion démocratique, Chateaubriand le narcissisme, Balzac, Dumas et Jules Verne l'imagination, Stendhal l'insolence, Flaubert la colère, Proust le psychologisme, Céline le cynisme…La France, en littérature, c'est le jardin d'Éden. Il suffit de se baisser pour récolter une plante rare, une essence extraordinaire. Comment autant d'oeuvres aussi puissantes ont-elles pu pousser sur cette étrange portion de terre labourée par les conflits et qui a pourtant fini par faire une patrie ? Y régnerait-il un microclimat propice à l'éclosion du génie littéraire ? Notre vieux pays est une corne d'abondance. Comment faire son choix parmi cette multitude luxuriante ? La place étant limitée par essence dans cet ouvrage, il nous a fallu nous en tenir à une bonne vingtaine d'élus. Autant dire un défi quasi impossible à relever quand les aspirants légitimes se comptent par centaines."

Au delà de ces considérations, "Choisir, c'est renoncer", affirmait André Gide. C'est bien ce qu'a fait Sébastien le Fol en choisissant 23 classiques alors dans son cas « Choisir, c'est trier » parmi la masse littéraire que nous ont laissé ou léguée les auteurs, « Choisir, c'est sélectionner » un thème, une anecdote, une mise en confrontation d'une oeuvre avec son époque, « Choisir, c'est retenir » un écrivain plutôt qu'un autre, « Choisir, c'est définir » un parti pris littéraire, « Choisir, c'est hiérarchiser » et donc éliminer…

Et les choix sont, à mon humble avis parfaits, car c'est une plongée passionnante dans les petits et grands secrets des oeuvre qui nous est proposé dans ce livre. Et des surprises en pagaille :

Que les Misérables devaient s'appeler les Misères. Que Staline fut renvoyé du séminaire parce qu'il avait été surpris en train les Misérables. Et lorsque l'unique maison d'édition de Gaza fut dévastée par un bombardement israélien, que découvrit-on ? Qu'après le Coran, son livre le plus vendu était Les Misérables traduits en arabe. Indira Gandhi dira avoir découvert la misère dans les Misérables.

Que Céline corrige, réécrit, « repeigne » chaque page d'innombrables fois avant d'arriver au résultat final. « Pour dire la vérité, 400 pages imprimées font 80 000 pages à la main. le lecteur n'est pas forcé de le savoir. Il ne doit même pas le savoir. C'est l'affaire de l'auteur à effacer le travail. Vous mettez le lecteur dans un paquebot. Tout doit être délicieux. Ce qui se passe dans les soutes, ça ne le regarde pas. Il doit jouir des paysages, de la mer, du cocktail, de la valse, de la fraîcheur des vents. Tout ce qui est mécanique, ou servitude, ou service, ne le regarde pas du tout », dira-t-il.

Que Verne a lancé à l'abordage de ses dix-huit romans ouvertement « maritimes » (sur les trente-cinq qu'il écrira au final) pas moins de deux cent cinquante-neuf bateaux, bricks, steamers, goélettes, canots, gabares. Son sous marin le plus célèbre de la littérature avec son dessin futuriste, accueille dans ses flancs toutes les nostalgies du monde et quelques incongruités en prime. Jugez plutôt : un bibliothèque de 12 000 volumes, une madone de Raphaël, une vierge de Vinci, une femme du Titien, etc...

Que le capitaine Nemo est son personnage qui lui a demandé le plus de travail : "Si Phileas Fogg incarnait le besoin de vitesse, Michel Strogoff le goût du devoir, Mathias Sandorf l'esprit de justice, Robur le Conquérant le nihilisme à l'état pur, Nemo ambitionne un projet beaucoup plus global et incertain. Si difficile à définir qu'il est, on l'aura noté, « sans nom » (nemo, en latin)". Un peu comme Ulysse qui face au Cyclope devient Personne.

Que Las Cases au sujet du Mémorial de Sainte-Hélène avait aussi imaginé un « produit dérivé », sous forme d'« une carte de Sainte-Hélène, soignée de manière à être encadrée » remise avec le dernier volume, mais pouvant aussi être vendue séparément pour trois francs. Annoncé par un prospectus distribué à 16 000 exemplaires, à Paris, en province et à L'étranger. du marketing avant l'heure

Qu'au sujet de Molière en 1664, "Tartuffe tombe mal parce qu'il tombe trop bien. En génial analyste des moeurs de son temps, il a bien saisi l'intérêt de critiquer les faux dévots, très ostensiblement pâmés devant Dieu pour mieux manipuler les naïfs. Après L'École des maris (1661) et L'École des femmes (1662), où il représentait avec succès de nouvelles manières de vivre, comment n'aurait-il pas touché au religieux dans une époque baignée de religion ?"

Que Stendhal avait la bougeotte car il avait pris l'habitude s'éclipser quand paraissaient ses livres. Pour l'Histoire de la peinture en Italie, en 1817, il avait mis le cap sur Londres. Pour sa Vie de Rossini en 1823, il avait pris le chemin de sa chère Italie. Pour Armance, édité en 1827, l'Italie encore. L'orgueil de l'absent, ou l'impérieux besoin de tourner la page ?

Que Brillat-Savarin remonte à la Genèse pour légitimer son propos : « La cuisine est le plus ancien des arts ; car Adam naquit à jeun. » Imparable ! On lui doit également la fameuse maxime : « Dis-moi ce que tu manges, je te dirai qui tu es. ». Avec son livre, il glorifie les sens et l'essence. Jusqu'alors, il y avait le coeur et la tête. Avec lui, l'estomac entre enfin en scène. "Le goût se fait respectable ; il quitte l'office pour monter au salon, gagnant de plain-pied le monde de l'art et des idées."

Que Charles de Gaulle peut être comparé à Vitruve pour qui une structure devait présenter les trois qualités de firmitas, utilitas et venustas – solidité, utilité et beauté. "Les trois volumes sont comme une cathédrale, ou plutôt comme les fondations d'une cathédrale en construction. Une cathédrale qui sera la France nouvelle telle que de Gaulle l'a voulue et rêvée depuis des décennies et dont l'épreuve de la guerre l'a fait l'architecte."

Que les Fables recèlent Il a une infinité de façons d'embarquer qui le lit, qui l'écoute. Suggestions, allusions, analogies, personnifications, hyperboles, métaphores, il met à contribution toutes les figures de rhétorique par lesquelles il établit un système de connivences avec ses lecteurs, tissu d'émotions personnellement vécues, d'histoires entendues, de souvenirs livresques, une méthode où priment les dialogues, les clins d'oeil, les sourires toujours au bord des lèvres, si bien que se plonger dans les Fables, c'est se retrouver soi-même.

Que Proust à écrit sa première page à dix ans, et 30 ans d'attente pour qu'il se mette à l'écriture. Dans la déclaration finale dans Le Temps retrouvé, il écrira  :

"Ainsi toute ma vie jusqu'à ce jour aurait pu et n'aurait pas pu être résumée sous ce titre : Une vocation. Elle ne l'aurait pas pu en ce sens que la littérature n'avait joué aucun rôle dans ma vie. Elle l'aurait pu en ce que cette vie, les souvenirs de ses tristesses, de ses joies formaient une réserve pareille à cet albumen qui est logé dans l'ovule des plantes et dans lequel celui-ci puise sa nourriture pour se transformer en graine."

" « La littérature n'avait joué aucun rôle dans ma vie. » Voilà des paroles que Marcel Proust n'aurait pas pu prononcer. Sa vie dessine, au contraire, la courbe d'une présence constante à l'écriture : la genèse de la Recherche est en cela bien différente de la genèse présentée dans La Recherche."

Que" Les Lumières admettent le tragique de l'existence humaine sans pour autant s'y résigner. C'est là notre « jardin imparfait » dont parlait déjà un autre grand humaniste, dont Voltaire se pose ici en héritier : Montaigne dans ses Essais"

"Que l'on songe à ces trois dates. 1532 : publication du Pantagruel ; 1533 : naissance de Michel de Montaigne ; 1539 : ordonnance de Villers-Cotterêts faisant du français la langue officielle du royaume. Sept ans. Comme dans les histoires écrites par Dieu. Sept ans pour fournir à la langue française un premier chef-d'oeuvre, un premier avenir, une première garantie. Cher vieux Rabelais ! À peine sait-on ce qu'on lui doit. « Science sans conscience n'est que ruine de l'âme » ? C'est lui. « Manger son blé en herbe » ? Encore lui. « Faute d'argent, c'est douleur sans non pareille », « Tout vient à point à qui sait attendre », « Adieu panier, vendanges sont faites » ? Toujours lui. Ses farces hantent nos vies, ses images nos phrases, ses rêves nos appétits.

Rabelais est un hôte délicat. À sa table, il laisse du pain pour des siècles de littérature. La Fontaine, Diderot, Balzac, Victor Hugo, Léon Daudet et Céline sauront s'en souvenir."

La Boucle est bouclée...

Et puis il y a ces querelles d'éditeurs, qui refusent des manuscrits et s'en mordent les doigts, ou qui font tout pour récupérer l'auteur à leur concurrent.

Des histoires de droit d'auteur. D'ailleurs, c'est Beaumarchais qui en demandant une rémunération par représentation, invente la notion de droit d'auteur. Et, par là même, la reconnaissance du travail intellectuel.

L'auteur de nous rappeler que les Mémoires d'outre-tombe "sont aussi l'odyssée du temps. Temps de la narration qui se superposent : présent, passés simple et composé, imparfait. Mais, au-delà des conjugaisons, l'or et le plomb du temps. Ce temps est une mythologie et une religion. L'instant et l'éternité. La virgule du moment présent et les points de suspension de l'avenir menacé."

Je pense que c'est une belle phrase pour conclure ma critique, des points de suspension, comme une transmission à d'autres lecteurs... 
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Un essai vraiment intéressant pour qui s'intéresse à la littérature, celle qui laisse des traces dans notre patrimoine culturel. de la création à la réception lors de l publication.
Une sélection de 23 oeuvres qui ont contribué à façonner la conscience de notre pays et qui se lit au gré des centres d' intérêt des lecteurs.
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Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Longtemps, le roman de Marcel Proust a essuyé toutes sortes d’objections : trop long, trop snob, trop je… Elles se sont effondrées une à une à mesure qu’À la recherche du temps perdu apparaissait, dans le genre romanesque, comme un monument et comme une aube.La fabrique de ce chef-d’œuvre occupa toute la vie de son auteur : des premières nouvelles aux articles les plus tardifs qu’il publia dans Le Figaro, chacun de ses écrits fut une étape dans sa quête d’un sujet, d’une forme et, surtout, d’une patrie intérieure.Cette vérité, cependant, n’a rien d’une évidence. Il y a eu, autour de la personnalité de Marcel Proust, une légende persistante selon laquelle la première partie de sa vie, passée dans le monde, n’aurait rien eu à voir avec la seconde, consacrée à La Recherche. Rien n’est plus inexact ; mais pour qu’on s’en rende compte, il a fallu le choc de plusieurs manuscrits découverts au fur et à mesure de la seconde moitié du XXe siècle : Jean Santeuil, le Contre Sainte-Beuve ou, plus récemment, Les Soixante-Quinze Feuillets. À eux seuls, ils prouvent, comme l’écrivait Bernard de Fallois, éminent proustien qui fut à l’origine de nombre de ces découvertes, que « l’histoire d’un roman est un roman ».

À la recherche du temps perdu de Marcel Proust (1913-1927)
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À son origine, un redoutable problème : celui du mal, scandale pour les croyants et folie pour les savants.
Si, pour les premiers, le mal est scandaleux, c’est que son existence met en péril celle de Dieu ; car comment un Dieu bon, tout-puissant et omniscient a-t-il pu créer un monde empli de tant de maux aussi bien physiques (la souffrance), moraux (le péché) que métaphysiques (l’imperfection humaine) ?
D’où l’énigme : Si deus est unde malum : si Dieu existe, d’où vient le mal ? Et si le mal existe, que fait Dieu ? Dilemme que Voltaire résumera en ces termes dans son Poème sur le tremblement de terre de Lisbonne. [...]
Du côté des savants, le mal est une insulte à la raison, car n’est-ce pas briser la chaîne des causes et des effets que d’imaginer, entre elles, quelque intention maligne ? Croire au mal, c’est un peu raisonner comme un enfant qui dirait : « Elle est méchante, la pluie, qui m’empêche d’aller jouer dehors. » La connaissance exacte se doit d’examiner sans juger ; ni le bien ni le mal n’y ont leur place.
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C'est ...[une] amie et voisine ... qui révèle la chose, un soir ... Par quel miracle .... s'est il soudain lancé dans une telle entreprise ? Jusqu'à sa mort, l'écrivain avancera imperturbablement la même justification "alimentaire" : "je suis né à une époque où on avait peur du terme ! Ça me fera un appartement et je n'aurais plus l'emmerdement du terme !"

Autrement dit, à l'écouter c'est parce que le docteur Destouches en avait assez de payer un loyer que Louis-Ferdinand Céline aurait révolutionné la littérature du XXe siècle.

L'explication est évidemment fallacieuse, dictée par la pudeur orgueilleuse de celui qui aurait préféré mourir plutôt que d'être considéré comme un banal écrivain.
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Nul ne peut imaginer ce que fut l'impact de Monte-Cristo, le formidable engouement que ce roman provoqua.

Roman - le mot est d'ailleurs bien faible - : il faudrait, pour prendre aujourd'hui l'exacte dimension de ce phénomène, faire la synthèse des succès que peuvent remporter un film comme "Les Dents de la mer", une bande dessinée à mi-chemin de Tintin et de Corto Maltese, une série télévisée comme Dallas, un essai comme le "Toujours plus" de François de Closet, un spectacle de Robert Hossein, un numéro particulièrement croustillant du canard enchaîné, un libelle dénonçant une erreur judiciaire et la publication d'un rapport confidentiel sur les perversions de la haute société.

Le Comte de Monte-Cristo fut tout cela à la fois.
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Seul le roi a pris la mesure du danger. Il n'a pu en empêcher la représentation. Quelques années suffiront à rendre les spectateurs ou les lecteurs plus lucides que les autres contemporains : Danton déclarera peu de temps après la prise de la Bastille que "Figaro a tué la noblesse", et à sa suite Napoléon résumera l'affaire : "Figaro, c'est déjà la révolution en marche."
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