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Les roses de Guernesey tome 2 sur 3

Corinne Tresca (Traducteur)
EAN : 9782290355688
350 pages
J'ai lu (07/08/2006)
3.71/5   19 notes
Résumé :
" [Béatrice] s'inséra naturellement dans le bonheur tranquille qui l'environnait. Elle puisait dans la chaleur sereine de Frédéric, s'en nourrissait et sentit qu'elle commençait à pouvoir en donner en retour. Les plaies, peu à peu, se refermaient."
En cette année 1956, Béatrice goûtait de nouveau la joie de vivre que la guerre lui avait ôtée. Mais il était dit que ce bonheur serait éphémère.
Hélène, la femme de l'officier allemand qui avait occupé sa m... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Le tome 1 m'avait détendue de façon agréable, sans plus...le tome 2 m'a ennuyée. Après la lecture d'un Joyce Carol Oates assez noir (la plupart le sont, c'est vrai), je recherchais un peu de douceur et de lecture facile. Mais c'est juré, je n'y reviendrais plus.
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Si je devais choisir un mot pour résumer ce livre ce serait REVELATIONS
A lire pour en savoir plus ;)
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On retrouve Franca, Béatrice et Hélène à Guernesey. Ce n'est toujours pas, une histoire coup de coeur, mais des événements tragiques arrivent sur l'île et aident Béatrice à exorciser ses démons. Avec la retrouvaille d'une personne qu'elle ne pensait plus revoir. L'écriture est fluide, un bon moment à passer, mais sans plus.
Lien : http://liseuse66.skyrock.com..
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Il se demanda s'il parviendrait jamais à renoncer à l'alcool pour se consoler de ses malheurs.
Une saleté de remède...pire que le mal, songea-t-il en se frottant les yeux. Ça vous bousille, vous en êtes parfaitement conscient et, malgré tout, vous ne pouvez pas arrêter.
Il fit le point sur lui-même sans complaisance, sans l'indulgence qu'il était toujours prêt à accorder aux autres. Qu'était-il ? Un homme de quarante-trois ans (...), un homme fatigué au visage marqué par des années d'excès d'alcool. Il avait des poches sous les yeux, le teint blême, les pores dilatés. Il était toujours séduisant, mais il avait atteint la limite au-delà de laquelle il ne pourrait plus donner le change. S'il perdait pied et basculait du mauvais côté , cinq ans plus tard il aurait les traits ravagés d'un vieil alcoolique. Il pouvait cependant inverser le cours des choses, il était encore temps. Il était encore suffisamment jeune pour retrouver sa pleine santé. Il pouvait encore faire disparaître les stigmates de l'alcoolisme. Il avait encore une chance.

Chapitre 3
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Béatrice avait mis des années à comprendre, ou plutôt à accepter l'idée, que son fils buvait continuellement, qu'il n'affrontait aucun problème quotidien sans boire au préalable, aucun défi professionnel, aucun rendez-vous difficile avec un client ou un confrère, aucune déception sentimentale, aucune frustration. Le processus avait été lent, mais un jour était arrivé où il ne lui avait plus été possible de se cacher la vérité. Son fils était alcoolique. et il ne semblait y avoir aucun moyen de lui venir en aide. Elle pouvait seulement lui dire qu'elle serait toujours là, quoi qu'il arrive, qu'il ne devait jamais hésiter à sonner à sa porte.

Chapitre 4
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Il ne buvait pas simplement pour se saouler. On aurait dit qu'il voulait se détruire, s'anéantir -se tuer-, comme si la vie était devenue si insupportable qu'il n'y avait d'autre solution que la mort. Béatrice s'accrocha à l'espoir que cela ne se produisait que pendant les vacances, ne se produirait que pendant ces vacances-l.à. Quand ses cours reprendraient, il ne pourrait plus se permettre ces extravagances. sa vie reprendrait son cours normal.
Sa vie ne reprit jamais son cours normal, du moins jamais durablement. Il lui arrivait certes de paraître sobre, mais cela signifiait seulement que sa consommation se tenait dans les limites qui lui permettaient de donner le change. Chaque jour, il lui fallait sa dose pour être " bien" - pour travailler, pour être ouvert et agréable, pour avoir confiance en lui. S'il ne l'avait pas, il était nerveux et tremblait. S'il la dépassait, il restait prostré dans un coin et il n'y avait rien à attendre de lui.

Chapitre 4
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Béatrice pouvait rester des heures assises à regarder la mer ou à marcher les cheveux au vent. Elle aimait le charme sauvage de la côte, la puissance de la mer. Elle aimait la solitude qui émanait des lieux. Elle retrouvait quelque chose d'elle-même dans cette sévérité , ce caractère farouche.

Chapitre 4
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