AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782266272902
1088 pages
Pocket (18/05/2017)
4.13/5   237 notes
Résumé :
Au XIXe siècle, il y eut une nouvelle génération de bâtisseurs de cathédrales. Ils travaillaient l’acier, le fer et le cuivre aussi bien que la pierre, partaient à l’assaut du ciel comme on ne l’avait jamais rêvé avant eux. Leur magie s’appelait « ingénierie », et leurs réalisations prenaient la forme de ponts et viaducs impossibles, d’usines, de gares, de charpentes aux dimensions prodigieuses, de statues et de tours métalliques géantes. Ces hommes vénéraient tous ... >Voir plus
Que lire après Là où rêvent les étoilesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (48) Voir plus Ajouter une critique
4,13

sur 237 notes
Là où rêvent les étoiles... Rien que le titre choisi par Éric Marchal est une invitation au voyage. Au long cours vues les quelques mille page dudit roman. Et pourtant, à la fin, un regret: que ce soit fini justement.

De la poésie de l'Alhambra à la rigueur scientifique des prouesses technologiques,  on transite par toutes sortes de récits dans le récit. Bien sûr, il y a une confluence entre la famille Delhorme qui réside dans les vestiges nasrides - qu'Alicia l'épouse contribue à restaurer passionnément - et le Paris d'Eiffel, Hugo et Bartholdi.
Éric Marchal mêle avec maestria personnages fictionnels et réels, histoires personnelles et familiales et les défis incroyables de la technique en cette fin du XIXème siècle où le progrès signifiait bienfait pour l'humanité. La foi mise dans les découvertes et les exploits industriels et scientifiques imprègne totalement les pages du roman. Qu'il s'agisse des ouvrages grandioses de Gustave Eiffel (le pont Maria Pia au Portugal, la structure interne de la Statue de la Liberté, la Tour éponyme, ...), des recherches dans l'art encore neuf de la photographie ou de la science balbutiante de la météorologie, j'ai trouvé toutes les informations apportées par l'auteur passionnantes à lire. J'ai grâce à lui appris beaucoup de choses que j'entends bien creuser tant il a suscité mon intérêt.

Et puis il reste les rapports pas toujours simples entre les divers protagonistes, notamment les triplés Delhorme qui par leur survie à la naissance forment déjà des êtres singuliers. Les personnalités de chacun des personnages, vrais ou inventés, sont infiniment travaillées en profondeur. Qui plus est dans un style très agréable à lire.

Je n'avais encore rien lu d'Éric Marchal. C'est aujourd'hui chose faite mais je ne compte pas m'arrêter là. Lorraine, je me sens forcément attirée par le soleil sous la soie histoire de visiter le Nancy ducal du XVIIème siècle. Au vu des louanges des Babeliotes et de mon ressenti sur celui-ci, je m'en réjouis par avance.
Commenter  J’apprécie          464
Dans le désordre : la tour Eiffel, la statue de la Liberté, le pont Maria Pia à Porto, l'Alhambra… Evidemment qu'on connait ! Mais on connait moins – ou pas du tout – l'histoire du contexte de ces grands édifices.
Eric Marchal se fait un plaisir de nous plonger dans cette grande aventure des scientifiques, des ingénieurs, des inventeurs, des restaurateurs d'oeuvres d'art en les intégrant à la petite histoire, celle de leur famille, de leurs amours, de leur vie quotidienne.

Mêlant la vérité historique à la fiction, il nous raconte en détail tout ce qui a fait cette époque hors du commun, puisqu'en l'espace de quelques décennies (la 2e moitié du 19e siècle), des idées géniales ont jailli de plusieurs cerveaux humains. Mais il y mêle l'ambiance de cette fin de siècle, avec les fameuses « cocottes », les marchandes de fleurs, le « Bon Marché », les processions à Grenade…

A travers 2 familles, celle de Grenade, les Delhorme, inventée, et celle de Paris, les Eiffel, nous vivons le quotidien et l'exceptionnel, car la rencontre entre Clément Delhorme et Gustave Eiffel va faire des étincelles. Clément Delhorme se passionne pour la météo et donc les ballons aérostatiques qui permettent de relever des données indispensables, mais il aime inventer toutes sortes de choses qui améliorent le quotidien, comme les « machines à fabriquer la glace » et même les premiers réfrigérateurs.
Nous y rencontrons aussi Camille Flammarion et Victor Hugo entre autres, ainsi que d'illustres photographes, annonçant l'arrivée du cinématographe !
Et puis quelle description des petites rues et placettes de Grenade, de l'Alhambra et des grottes du Sacromonte où règnent les Gitans !

Si j'ai octroyé 4 étoiles et non 5, c'est qu'à certains moments, je me sentais dépassée par les explications scientifiques qui émaillent le récit.
N'empêche, c'est un immense roman historique, autant au point de vue de la longueur (1056 pages en format de poche) que de la qualité et du contenu.
Surtout, ne vous fiez pas au titre qui s'apparente à "Là où chantent les écrevisses", ça n'a RIEN à voir avec ce genre de romans !
Commenter  J’apprécie          353
37 chapitres, 107 sous-chapitres, 720 pages, le tout imprimé en petite police : Éric Marchal est un auteur qui aime laisse courir la plume pour composer une belle épopée. Il faudra donc accepter de consacrer un certain temps à cette lecture pour l'apprécier.

Le roman s'étend sur les années 1863-1889 en proposant également quelques intermèdes qui se déroulent en 1918 alors que la Grande Guerre et la grippe espagnole sévissaient encore. Il s'intéresse aux progrès de la science et plus particulièrement aux avancées les plus spectaculaires. Pour cela il va croiser les destins des familles Eiffel et Delhorme ce qui permettra de mêler à une fiction inspirée certains épisodes historiques. Pour cette raison, il va être difficile de parler de roman historique.

Les aventures du clan Delhorme sont les plus intéressantes. Celles-ci se déroulent entre Grenade, le palais de l'Alhambra et Paris. Chaque membre de la famille est intéressant à suivre : Clément le météorologue-aérostatier, Alicia la restauratrice et leurs enfants : l'énigmatique Nyssia, l'étrange Irving et Victoria. Il faudra encore penser à Javier, Jezequel, Mateo, Kalia, les Pinilla et le sinistre Tête-de-rat. Bref, la galerie des personnages est tout aussi intéressante que les aventures qu'ils vivent que l'environnement.

Pour ce qui concerne Gustave Eiffel, sa fille et ses principaux collaborateurs, les choses sont un peu différentes. Certes, il est intéressant de suivre leurs pérégrinations, mais elles passent au second plan. L'on ne peut que s'imaginer être spectateur des chantiers du pont Maria Pia, de la Statue de la liberté ou encore de la Tour mais celles-ci manquent d'exotisme. le premier chantier retient davantage l'attention et le second bénéficie de la visite d'un invité de marque. Seule la Tour semble délaissée au profit des intrigues secondaires.

Les hommages rendus ici sont nombreux. L'auteur vénère un certain nombre d'auteurs bien connus (Hugo, Zola, Irving, Verne) et s'appuie sur une bibliographique impressionnante. Ce travail de précision se retrouve d'ailleurs dans son roman. Il honore également les visionnaires (Eiffel et Bartholdi) sans oublier les pionniers de la photographie, de la médecine moderne, de la science non professionnelle, de la météorologie, de l'aviation. Il évoque souvent l'Alhambra, ce qui fait de cette lecture un complément nécessaire à la visite de ce monument. Inversement l'envie de visite le monument viendra tout naturellement.

Malgré l'épaisseur du roman, il est assez surprenant de constater qu'il faudra composer avec des ellipses assez frustrantes. A plusieurs reprises, l'auteur nous laisse en plan n'expliquant pas le devenir de certains de ses personnages. le chantier de la Statue de la liberté donne l'impression d'avoir été sacrifié au profit de celui de la Tour, qui étrangement semble bénéficier de moins d'attentions que celui du pont Maria Pia.

Il n‘en demeure pas moins que ce roman est une grande réussite. Il est long certes, mais il est difficile de le laisser tomber pour passer à autre chose. Cette épopée ressemble à un feuilleton de l'été que l'on suit avec plaisir. S'il n'y a pas cette étincelle de génie que l'on retrouve dans le soleil sous la soie, Eric Marchal a toutefois composé ici une belle et grande odyssée de la science moderne.
Commenter  J’apprécie          152
Après le soleil sous la soie qui nous ramène dans le Nancy du XVIIème Siècle, puis la part de l'Aube à Lyon, c'est cette fois à Grenade que nous emporte Eric Marchal.
La famille Delhorme vit dans le palais de l'Alhambra et, comme dans chaque roman d'Eric Marchal, les destins de plusieurs familles et de multiples personnages se croisent, comme se croisent réalité et fiction dans un récit aussi fluide qu'esthétique.
C'est ainsi que les Delhorme, dont le père, Clément, est passionné de météorologie, rencontrent Gustave Eiffel et partagent avec lui l'édification de ses projets majeurs, du viaduc Maria Pia de Porto jusqu'à la tour de 300 mètres, en passant par d'illustres réalisations devenues de véritables monuments.
Au fil du récit, on se laisse emporter par ces destins croisés, parfois tragiques, jusqu'à l'exposition universelle de 1889 et jusqu'au dénouement final.
L'acharnement d'un officier de la Guardia Civil contre la famille Delhorme n'apporte que peu de suspense à l'intrigue sans vraiment la pimenter.
Une belle réussite qui permet de suivre de près les réalisations d'Eiffel, mais aussi les travaux d'illustres photographes, et les découvertes - nombreuses- qui jalonnèrent cette époque de foi en le progrès.
Commenter  J’apprécie          210
J'ai failli le lâcher plusieurs fois ! Il est très long et souvent pour pas grand-chose, il n'est vraiment pas au niveau de ses précédents « du Soleil sur la soie » et « La Part de l'aube ».

Il s'agit de l'histoire d'une famille française vivant dans l'Alhambra à Grenade car la mère est restauratrice non diplômée mais talentueuse, en 1863 les femmes n'ayant pas l'autorisation d'étudier ces métiers réservés aux hommes.

Le livre débute en mai 1918, date à laquelle une des triplés qui avait quitté sa famille sans jamais la revoir revient pour enquêter sur son père qu'elle croyait disparu. Des chapitres reviennent à cette date pour aller vers la fin mais la plus grande partie est bien évidemment leurs vies avant cette période.

Le fil conducteur est le père, météorologue réputé qui travaille à battre le record d'ascension dans l'espace avec un ballon météorologique. Des triplés naissent et la famille s'élargit avec 2 autres garçons nés le même jour.

L'histoire de cette famille est le prétexte pour découvrir de grands hommes de cette époque tels Gustave Eiffel, Bartholdi, Thomas Edison, Victor Hugo ou encore Camille Flammarion. La rencontre du père et d'Eiffel se fait le jour de la naissance des triplés. Depuis les deux hommes auront une amitié qui ne se défera pas au fil du temps.

Nous voyons ainsi s'ériger, entre autres, le Pont du Douro au Portugal, la Statue de la Liberté de Bartholdi puis la Tour Eiffel pour l'exposition de 1889 ainsi que quantité d'autres découvertes de cette époque. La restauration du Palais de l'Alhambra tient aussi une grande part puisque c'est le lieu de vie de la famille.

Tout ce qui a trait à la réalité historique est rédigé de manière intéressante mais c'est la partie familiale qui pêche le plus avec parfois des longueurs que je n'ai pas appréciées car même si c'est une famille atypique je n'ai pas eu d'intérêt particulier pour aucun d'entre eux !

Je suis malgré tout déçue par cette lecture je m'attendais à retrouver un peu de la magie des 2 autres livres où les personnages étaient plus charismatiques.

CHALLENGE PAVES 2020
Commenter  J’apprécie          163

Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Un bon ingénieur, messieurs, est celui qui terminera son œuvre en temps et en heure, sans dépassement de budget, et qui laissera un ouvrage pérenne que plusieurs générations pourront utiliser en toute sécurité. Un ouvrage qui allie le plaisir des yeux à l'utilité. C'est ce que je vous souhaite à tous dans les années à venir ! p. 634 et 635
Commenter  J’apprécie          30
Le progrès est une équation à une seule inconnue : quand, répondit Clément après avoir acquiescé. Tout est atteignable, ce n'est qu'une question de temps. Et il nous faut toujours un coup d'avance. p.541
Commenter  J’apprécie          30
Il ne faut pas se tromper de rêve, ma fille. Les mondanités ne sont qu'illusion, tout comme la mer au bout du chemin. Nous avons tous été attirés, à un moment de nos vies, par ces mirages. Il faut juste en prendre conscience à temps. p.499
Commenter  J’apprécie          20
Analyser, anticiper et innover, expliqua le maître d'œuvre. Analyser rousseau nos points forts et nos faiblesses, pour bâtir sur les premiers et anticiper les seconds. Et innover, innover sans cesse, mais sans prendre de risques sur l'essentiel. p.437
Commenter  J’apprécie          00
S’il est inutile de présenter Eiffel et Bartholdi, d’autres pionniers, comme Camille Flammarion ou Gustave Le Gray, sont à citer.

Flammarion, en dehors du journaliste qu’il fut, chroniqueur scientifique au journal Le Siècle, a été un aérostier réputé. Il relata ses vols dans plusieurs ouvrages. Il fut aussi un astronome reconnu par ses pairs et l’un des cratères de la Lune porte son nom. Fervent adepte du spiritisme, il l’aborda toutefios sous un angle scientifique, en tentant de démêler les supercheries des phénomènes paranormaux.

Le Gray participa à la Mission héliographique qui débuta en 1851, lorsque cinq photographes furent choisis pour effectuer le premier recensement visuel du patrimoine français. Ces travaux ne furent pas publiés et demeurèrent longtemps un mythe, jusque dans les années 1980 où des chercheurs entreprirent de les retrouver. La plupart des négatifs avait été dispersés ou perdus, mais quelques centaines d’entre eux furent récupérés et rassemblés. Quant aux protagonistes de la mission, quatre devinrent des photographes connus et reconnus.

Citons aussi les plus proches collaborateurs d’Eiffel qu’ont été Nouguier, Koechlin et Compagnon , ainsi que l’architecte Sauvestre, qui formèrent les quatre piliers de ses principaux projets. Le pont Maria Pia, la statue de la Liberté et la tour Eiffel… Les descriptions de ces chantiers ont, je l’espère, scrupuleusement respecté la réalité de leurs réalisations, sans trahir les lois de la physique et des mathématiques.

L’appareil à glace, tel que je l’ai décrit, correspond à la conjonction de plusieurs systèmes dont les brevets ont été déposés à cette époque. La machine à froid du roman est tirée d’un brevet déposé par Albert Einstein au début du XXème siècle, qui avait l’ingéniosité de requérir une très faible source d’énergie. Je voudrais aussi rendre hommage à Charles Tellier, qui fut un des pères du froid artificiel mais qui, à la différence des frères Carré, n’en fit pas commerce et rendit publiques ses découvertes pour qu’elles soient utilisées sans restriction.

La science de la météorologie, toute jeune, s’est bâtie à la fois grâce aux relevés des observatoires officiels et à ceux de correspondants privés, pour certains au péril de leur santé. Les théories que développe Clément sont celles de pionniers comme Adolphe Quetelet, ou Urbain Le Verrier et son collaborateur Hippolyte Marié-Davy.

Le record d’altitude en ballon de Clément que je décris est celui que battit Auguste Piccard à deux reprises, en 1931 et 1932, à bord du FNRS. Le professeur Piccard avait préparé sa tentative avec une précision et une rigueur inégalées, ce qui fut la clé de ses réussites, en compagnie de Paul Kipfer pour le premier vol et MAX Cosyns pour le second. Il fut qualifié à l’époque de « père de l’espace ». Outre ce record, le personnage de Clément lui doit une partie de lui-même, en particulier son amour des équations et des résultats à la décimale près.

Etienne-Jules Marey fut l’inventeur de la chronophotographie et l’un des pionniers de la physiologie médicale. Ses découvertes dans le domaine de la photo liée au mouvement ont été un des vecteurs de l’éclosion des premiers films.

La famille du prince Youssoupov a possédé un château situé dans le parc des Princes, près de la Station physiologique de Marey, dont certains bâtiments sont encore existants aujourd’hui.

Victorine Roblot fut la gouvernante de la maison Eiffel à Barcelinhos, village du faubourg de Barcelos, situé à vingt kilomètres de Braga.
Commenter  J’apprécie          20

Videos de Éric Marchal (23) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Éric Marchal
L'émission "Le coup de coeur des libraires est diffusée sur les Ondes de Sud Radio, chaque vendredi matin à 10h45. Valérie Expert vous donne rendez-vous avec votre libraire Gérard Collard pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • Retrouvez leurs dernières sélections de livres ici ! • • Bella Ciao de Raffaella Romagnolo aux éditions Albin Michel https://www.lagriffenoire.com/1097504-litterature-anglophone-bella-ciao.html • Une soupe à la grenade de Marsha Mehran et Santiago Artozqui aux éditions Philippe Picquier https://www.lagriffenoire.com/1088417-litterature-anglophone-une-soupe-a-la-grenade.html • Les grandes affaires des services secrets de Rémi Kauffer aux éditions Perrin https://www.lagriffenoire.com/1089726-essais-les-grandes-affaires-des-services-secrets.html • le grand livre de la cuisine française: Recettes bourgeoises et populaires de Jean-François Piège aux éditions Hachette Pratique https://www.lagriffenoire.com/1065730-cuisine-le-grand-livre-de-la-cuisine-francaise---recettes-bourgeoises-et-populaires.html • Fauves de Eric Mercier aux éditions De La Martinière https://www.lagriffenoire.com/1073259-romans-fauves.html • Dans la peau de Buffet (Impressions) de Eric Mercier aux éditions Anfortas https://www.lagriffenoire.com/141397-romans-dans-la-peau-de-buffet.html • L'Embuscade de Emilie Guillaumin aux éditions Harper Collins https://www.lagriffenoire.com/1089536-romans-l-embuscade---le-combat-d-une-femme-de-soldat-pour-decouvrir-la-verite.html • le Crime de l'Odéon de Sylvain Larue aux éditions De Borée https://www.lagriffenoire.com/1056624-divers-polar-le-crime-de-l-odeon.html • Les Écuries de Diomède de Sylvain Larue aux éditions De Borée https://www.lagriffenoire.com/1094412-romans-les-ecuries-de-diomede.html • le soleil suivant, tome 1. Les filles du choeur de Eric Marchal aux éditions Anne Carrière https://www.lagriffenoire.com/1083942-romans-le-soleil-suivant--tome-1-les-filles-du-choeur.html • le Soleil sous la soie de Éric Marchal, François Montagut aux éditions Pocket https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=21638&id_rubrique=39 • Dictionnaire amoureux de Molière de Francis Huster aux éditions Plon https://www.lagriffenoire.com/1094180-theatre-dictionnaire-amoureux-de-moliere.html • Les Cahiers d'Esther - tome 6 Histoires de mes 15 ans de Riad Sattouf aux édi
+ Lire la suite
autres livres classés : roman historiqueVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (616) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3201 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..