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Pierre Brunel (Préfacier, etc.)
EAN : 9782268049977
120 pages
Les Editions du Rocher (04/03/2004)
4/5   11 notes
Résumé :

Un jeune homme pénètre dans un couvent. Il a été attiré par un tableau conservé dans la chapelle. Mais c'est un visage qui retiendra toute son attention, celui de sœur Sainte-Sophie. Ainsi débute l'amour d'une novice pour un jeune homme, entre La Religieuse et Les Fleurs du Mal.

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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
C'est par ce journal intime fictif que je fais connaissance avec la plume poétique d'Anna de Noailles. Fichtre, une comtesse et une princesse femme de lettres ne pouvait que piquer ma curiosité ! Je voulais savoir qui se cachait derrière la descendante des nobles boyards roumains tombés à Paris comme un oiseau de son nid.

C'est en musique que j'ai découvert le nom d'Anna de Noailles pour la première fois, chanté par l'incroyable Juliette Noureddine dans sa superbe chanson "Mes rimes féminines", hommage vibrant aux grandes figures féminines de la culture et de l'histoire. Et puis, un écho de poésie a traversé ma trajectoire, par hasard, je l'ai saisi et ouvert "Le visage émerveillé" ; et émerveillée je fus.

Chaque phrase est une ode exprimée sans lourdeur et avec autant d'intensité que de naturel. L'écriture n'est pas lyrique dans le style mais elle l'est davantage dans le rythme ; c'est reposant, on ne ressent pas cette impression pénible qu'il a fallu longtemps penser et digérer une tournure avant de la livrer à la page.

La narratrice est une jeune couventine qui découvre l'amour humain sous les traits d'un jeune peintre. le roman dévoile alors un chemin initiatique plein de charme et d'innocence, sans mièvrerie.

Une belle réflexion sur l'extase et le plaisir, le sens de la vie, l'amour, la foi et l'existence.


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Une jeune religieuse dresse un journal intime avec toute la naïveté et l'innocence possible due à son âge, elle découvre les premières sensations de l'amour alors que pour elle, jusque là, l'Amour était Dieu, quand on l'embrasse avec en train pour la première fois, elle s'étouffe, elle croit qu'elle va mourir, elle n'arrive pas à extérioriser ce qui la creuse au fond d'elle puisqu'elle ne sait pas ce que c'est...puis on s'habitue...pour une religieuse viendra ensuite un sentiment de culpabilité...le repentir aussi...
L'auteure soulève ici, dans un langage poétique, l'ignorance des choses du monde qui parfois altère l'équilibre de ces femmes qui ont choisi de ne servir que Dieu, avec toutes les restreintes qu'impose cette vie cloitrée de religieuse, que peut l'homme face aux instincts qui vibrent sous sa peau, du refoulement, de la fuite, et parfois, que tardivement, du regret...De sorte que la mère demande à notre narratrice de choisir la voie de la fuite plutôt que celle du dévouement, qu'elle fuit ces murs qui vont emprisonner à jamais sa vie de jeune fille, qu'elle accepte de fuir avec le peintre, son amoureux, notre narratrice est surprise mais la mère, elle aussi a une histoire de jeune fille...
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« le visage émerveillé » est le deuxième roman des trois romans écrits par Anna de Noailles . le premier s'intitule « La nouvelle espérance ». Ce premier roman fut un succès. Un an plus tard Anna de Noailles publiait « le visage émerveillé » qui qui trouva également aisément son public .
Ces deux romans qui ont suscité l'admiration de Marcel Proust racontent d'une certaine façon racontent la même histoire.
Dans chacun des romans la protagoniste est une femme dont la nature « poète » est affirmée , une femme qui pourrait vivre en contemplation devant la nature , qui pourrait également la décrire (Anna de Noailles excelle à décrire les beautés de la nature).
Mais ces deux femmes , le personnage principal de « La nouvelle espérance » est celui du « Visage émerveillé » ne se contentent pas de cette passion exaltée devant la contemplation du monde (la nature , la musique ,la peinture, toute forme de sensibilité esthétiques, exaltent les héroïnes de Anna de Noailles). Elles connaissent également l'amour passion qu'elles se trouvent incapables de vivre dans le quotidien . À leurs yeux, l'amour doit toujours se situer à un niveau très élevé de passion , d'exaltation , d'enthousiasme , de détachement de la matérialité.
Le premier roman , « La nouvelle espérance » est celui d'une femme aristocrate , mariée sagement , et soudain amoureuse passionnément d'un autre homme. le deuxième roman, « le visage émerveillé » est celui une jeune fille élevée dans la bonne bourgeoisie provinciale mais qui n'a pas souhaité suivre le chemin classique de sa mère et de sa soeur construit à partir du mariage nécessairement relativement conventionnel de la maternité et surtout de la mondanité . C'est pourquoi cette jeune fille est rentrée dans un couvent. Ce couvent est étonnant pour nous, qui sommes des lecteurs du XXIe siècle. Il est en effet difficile de comprendre qu'une soeur soit traitée dans ce couvent du sud de la France comme si elle était à l'hôtel. Aucune tâche matérielle n'est imposée à la jeune fille dispose d'une grande liberté de contemplation. La vaisselle est en porcelaine. Il suffit , pour la crédibilité du roman, de supposer qu'au début du XXe siècle, des couvents acceptaient des jeunes filles de bonne famille avec « dot » , celle-ci rémunérant en quelque sorte leur séjour indéfini dans le couvent assorti de conditions matérielles singulièrement confortables. D'autres soeurs , dans ces mêmes couvents, réalisent les nécessaires travaux matériels . On peut supposer que celle-ci , d'un milieu plus modeste, entrent dans ces mêmes couvents mais sans dot.
Le sujet est le suivant : la soeur rencontre l'amour. Elle est passionnée. Osera-t-elle quitter le couvent pour vivre cet amour passion ? Osera-t-elle alors vivre cet amour dans un vrai quotidien, dans une matérialité réelle, dans la rencontre des autres (d'autres personnes que son amoureux) ?

Telle est la question posée par le roman, son intrigue.

Les deux intrigues de ces deux premiers romans sont proches. L'aristocrate de « La nouvelle espérance » se pose la même question : peut-elle vivre, dans la durée, son amour passionné pour son amant ?
Deux protagonistes qui sans doute reflétaient en grande partie la personnalité d'Anna de Noailles . Celle-ci n'était-elle pas qualifiée par Catherine Pozzi dans son « Journal » comme « l'éternelle émerveillée » ?
Anna de Noailles a quitté ce monde à 57 ans sans pathologie particulière . Elle s'est « éteinte ». Tout se passe comme si l'auteur avait suivi le chemin de ses héroïnes , c'est-à-dire en s'excluant d'un monde matériel nécessairement moins exalté moins passionné moins éthéré qu'un monde idéal qu'elle eût sans doute souhaité au fond d'elle-même .
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Quand Anna de Noailles écrit ce petit roman, en 1904, elle a 28 ans.

La narratrice est dans un couvent depuis deux ans :
« Je suis venue ici parce que j'aimais Dieu, la mère abbesse, le silence. le petit jardin, la mère abbesse, l'église, les beaux chants, en faisaient pour moi un endroit doux et royal. La sécheresse de la vie, chez mes parents, me rendait malade. Mon père se préoccupait de sa fabrique de dentelle, ma mère des soins qu'elle donnait à sa maison. Mes soeurs sont mariées à un avocat, à un officier de marine. Personne ne parlait de la paix, de la méditation, des jardins, de l'amour ; seulement mes livres et la mère abbesse quand je venais la voir. »

Des tableaux écrits. Des natures mortes :
« C'est l'été de tous les côtés. Soeur Marthe a laissé sur le banc un bol de porcelaine. Dans le jardin, ce bol oublié est simple, tranquille, comme un coeur innocent. »

Des phrases si simples et si belles d'Anna de Noailles :
« Pourquoi, quand nous ne pouvons rien saisir de ce qui nous enivre dans l'espace, portons-nous notre main à notre coeur ? C'est peut-être que tout notre désir est en nous-même. »
« Il faut croire les poètes, ils savent toutes choses mieux que nous : la poésie, c'est la vérité du monde. »

Mais il y a des hommes :
Un jeune peintre qui assiste aux messes, de temps en temps. Et le trouble s'installe, poussant la paix hors de cette narratrice contemplative… et poète : « le silence parle aux fleurs et les fleurs silencieuses répondent. »
Et « l'aumônier, qui est dans sa soutane une fois pour toutes, ce qui ne lui inspire plus ni dignité, ni gratitude, ni réserve. »
Et la narratrice, elle, est jolie, jeune, et elle le sens. Elle sent sa vie et sa jeunesse à chaque minute. Sous sa robe, elle a un corps. « Je n'y avais jamais pensé. Les religieuses, quand elles n'ont plus leur robe ni leur linge, sont nues. L'aumônier ne le sait pas ; s'il le savait, il ne nous traiterait pas durement, il nous regarderait quelque fois en souriant et il serait bon. »

La narratrice est religieuse, femme, jeune. Son amour pour le Seigneur s'en ressent : « Je ne veux pas être pure, Seigneur ; je ne suis pas pure, je sens tout le temps l'âme de mon corps et toutes les parois brûlantes de mon âme. C'est cela le désir… Je suis une vallée étroite où un immense soupir est entré. »

La narratrice est humaine avant tout. Tout doucement, elle laisse le jeune homme approcher : « La conscience, c'est une tristesse qu'on éprouve après un acte qu'on vient de faire et qu'on referait encore. »
Mais la narratrice est aussi forte et très fière : « C'est très bon de se sentir comme je me suis sentie : calme, dominatrice, supérieure. »
Alors, quelles voies vont choisir les personnages de ce petit roman poétique, intime ? Quelles qu'elles soient, ce roman laisse autour de soi comme un parfum qui pourrait s'appeler : Doutes et certitudes d'une femme religieuse sur l'amour divin et humain. Mais cela ferait un titre bien long. Alors, faisons confiance à Anna de Noailles qui a choisi le titre parfait : le Visage émerveillé.

Voici ce dont est capable Anna de Noailles :
« Je vous offre, Amour, comme rose dernière et plus belle, et pour que soient éternellement charmées vos sensibles oreilles, le son le plus brûlant, le plus voluptueux, qui n'est pas la voix de Juliette à son balcon, ni la tendre plainte d'Iphigénie, mais le divin éclat d'or que fit, en se brisant, la chaîne étroite des pieds de Salammbô. »

Cette revue, je l'ai écrite hier.
Aujourd'hui, voici ce que je voudrais rajouter :
Le visage émerveillé et l'histoire d'une femme qui, bien qu'enfermée volontaire dans un couvent, est libre. Une femme qui a choisi sa vie, choisi qui elle aimait. Une femme qui a assumé la tournure de son esprit, les élans de son coeur, les désirs de son corps, ses qualités et ses défauts.
Dieu que ce livre est beau !

Alors, pourquoi ? Pourquoi elle, et tant d'autres femmes auteurs aussi talentueuse qu'elle, ne sont pas dans les manuels de français des lycéens ? Savez-vous quelle est la place faite aux écrivains et poètes femmes dans ces manuels ? Hatier, Bordas, Hachette et les autres, j'ai épluché tous les manuels des grandes maisons d'éditions, et j'ai calculé le pourcentage d'écrits féminins : au mieux 6%, au pire 2% ! C'est une honte ! Parce que les mots des grands auteurs femmes peuvent être « des mots qui révoltent, qui font un douloureux et profond plaisir, des mots contre lesquels on ne peut rien, qui écartent nos deux bras et qui entrent de toute leur force dans notre coeur. »©

Le futur est féminin, c'était déjà hier, c'est plus que jamais aujourd'hui qu'on doit le bâtir !©
Gabrielle Dubois©
Lien : https://www.gabrielle-dubois..
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A priori, le journal intime d'une religieuse a peu de choses qui pourraient m'attirer. Mais j'ai dévoré la Religieuse de Diderot pour cette vision de l'enfermement, de la violence et surtout de la contrainte exercée par ceux ayant une autorité sur Suzanne. J'avais été fascinée par le Moine, là aussi avec cette description d'une violence forte et d'une hypocrisie générale.
Ni violence, ni contrainte, ni agression ici. Au contraire, tout est doux, délicat, et respire l'amour. Car la religieuse ici est au couvent par choix, et elle aime vraiment Dieu. Il n'y a pas de prosélytisme du tout - ce que je pouvais redouter. Car sa vision de Dieu est celle d'un Dieu d'amour présent dans toutes choses. Donc quand elle boit de l'eau fraîche en été, qu'elle contemple les fleurs du jardin, qu'elle profite d'un rayon de soleil, c'est un acte de vénération divine. Oui, tout est amour dans ce livre, Juliette aime les fleurs, aime sa chapelle, aime sa mère supérieure, aime ses soeurs religieuses, et évidemment elle aime Julien - et toutes ses formes d'amour se rejoignent dans un amour universel. Mais son âme n'est pas torturée, les mots "pêché" ou "enfer" ne sont même pas écrits me semble-t-il.
C'est grâce à cet amour englobant, ce goût pour les petites choses de la nature, les petits détails qui font qu'une journée est belle, cette attention aux autres aussi, que Juliette est une belle héroïne. Elle va jusqu'à souhaiter que les autres soeurs connaissent cet amour, y compris le plaisir physique - il y a d'ailleurs une description poétique, tout en subtilité, de l'orgasme féminin.
L'écriture est donc très belle, très douce et poétique, avec une ombre de mélancolie qui s'accentue à mesure que les nuits s'allongent, que les fleurs se fanent et que le jardin devient nu. Seul l'amour divin peut être éternel, et les religieuses sont là pour souffrir, les amours terrestres ne peuvent durer.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
j’ai senti confusément que celui qui sait, qui a un secret, un mystère, fût-ce un crime, est toujours plus fort que celui qui ne sait pas, qui est plein de confiance, et qui sourit.
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Il était là, je tenais sa main, j’étais contente, et maintenant ma conscience s’inquiète. La conscience, c’est une tristesse qu’on éprouve après un acte qu’on vient de faire et qu’on referait encore…
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Je sais que je suis jolie, que je suis jeune, je le sens. Je sens ma vie et ma jeunesse à chaque minute ; je sais que j’ai, sous ma robe droite, mon corps qui est doux, mes jambes qui ont des mouvements. Je n’y avais jamais pensé. Je croyais que des religieuses ne sont toujours que des religieuses ; mais maintenant je sais que, quand elles n’ont plus leur robe, ni leur linge, elles sont nues.
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Ô ma sœur Catherine qui avez dans les mains de chères blessures, comprenez-moi, il y a des plaisirs du cœur que l’on ne peut pas dire ; des
plaisirs du cœur qui ressemblent justement à vos mains : à vos mains de chère esclave de Dieu..
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1er mai.
Sainte Vierge Marie, je vous offre le mois de mai, le mois de mai où chantent les colombes, où les douces nuits brûlent comme des veilleuses blanches, où le cœur de toutes les jeunes femmes se brise, quand, au bord des fenêtres d'été, l'odeur du jasmin est plus forte que tout leur courage...
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Videos de Anna de Noailles (23) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Anna de Noailles
« Une anthologie de femmes-poètes ! - Eh oui, pourquoi pas ? […] On a dit du XIXe siècle que ce fut le siècle de la vapeur. le XXe siècle sera le siècle de la femme. - Dans les sciences, dans les arts, dans les affaires et jusque dans la politique, la femme jouera un rôle de plus en plus important. Mais c'est dans les lettres surtout, - et particulièrement dans la poésie, - qu'elle est appelée à tenir une place considérable. En nos temps d'émancipation féminine, alors que, pour conquérir sa liberté, la femme accepte résolument de travailler, - quel travail saurait mieux lui convenir que le travail littéraire ?! […] Poète par essence, elle s'exprimera aussi facilement en vers qu'en prose. Plus facilement même, car elle n'aura point à se préoccuper d'inventer des intrigues, de se créer un genre, de se faire le champion d'une idée quelconque ; - non, il lui suffira d'aimer, de souffrir, de vivre. Sa sensibilité, voilà le meilleur de son imagination. Elle chantera ses joies et ses peines, elle écoutera battre son coeur, et tout ce qu'elle sentira, elle saura le dire avec facilité qui est bien une des caractéristiques du talent féminin. […] Et puis, au moment où la femme va devenir, dans les lettres comme dans la vie sociale, la rivale de l'homme, ne convient-il pas de dresser le bilan, d'inventorier - si l'on peut dire, - son trésor poétique. Les temps sont arrivés où chacun va réclamer le bénéfice de son apport personnel. […] » (Alphonse Séché [1876-1964])
« Il n'y a pas de poésie féminine. Il y a la poésie. Certains et certaines y excellent, d'autres non. On ne peut donc parler d'un avenir spécial de telle poésie, masculine ou féminine. La poésie a toujours tout l'avenir. Il naîtra toujours de grands poètes, hommes ou femmes […]. Où ? Quand ? Cela gît sur les genoux des dieux, et nul ne peut prophétiser là-dessus. […]. » (Fernand Gregh [1873-1960])
0:00 - Jeanne Perdriel-Vaissière 1:17 - Marguerite Burnat-Provins 1:54 - Hélène Picard 4:05 - Jean Dominique 5:16 - Lucie Delarue-Mardrus 6:11 - Anna de Noailles 8:25 - Renée Vivien 9:41 - Générique
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Référence bibliographique : Alphonse Séché, Les muses françaises : anthologie des femmes-poètes (1200 à 1891), Paris, Louis-Michaud, 1908.
Images d'illustration : Alphonse Séché, Les muses françaises : anthologie des femmes-poètes (1200 à 1891), Paris, Louis-Michaud, 1908. Marguerite Burnat-Provins : https://christianberst.com/en/artists/marguerite-burnat-provins
Bande sonore originale : Arthur Vyncke - Uncertainty Uncertainty by Arthur Vyncke is licensed under a CC BY-SA 3.0 Attribution-ShareAlike 3.0 license.
Site : https://www.free-stock-music.com/arthur-vyncke-uncertainty.html
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