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La trilogie psychiatrique tome 1 sur 4
EAN : 9781530061624
274 pages
CreateSpace Independent Publishing Platform (16/02/2016)
3.74/5   175 notes
Résumé :
Régis aime la littérature et l'automne, les décibels et l'errance. Il n'a pas choisi le mal qui le ronge. Vivant la plupart du temps en lui-même, il perçoit une réalité déformée et angoissante, où tout fait sens. Dans sa psychose, il s'accroche à de fragiles repères : des personnages sans nom, des impressions sans fondement, des chansons sans espoir... Pourtant, peu de temps avant les attentats du 13 novembre 2015, le retour d'un mystérieux persécuteur va faire vaci... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (104) Voir plus Ajouter une critique
3,74

sur 175 notes

Régis.

Je me souviendrai longtemps de ce drôle de livre.

Je parlerai d'un thriller s'il faut des mots pour qualifier cet ouvrage. de poésie romanesque. de musique de la souffrance.

Un anti-héros malade.

Régis.

Malade mental. Mental malade.

Je n'ai jamais rien lu de tel. Déstabilisant au départ puis on part pour un sacré voyage psychiatrique.

Nous pénétrons la tête de Régis et lisons/ressentons le mal-être du héros et sa perception « malade » du monde qui l'entoure.

Régis aime les mots et ça se voit. La lecture au début peut paraître exigeante car le vocabulaire est riche, précis, parfois technique.

Un mot sur le jusqu'auboutisme de l'auteur. Autoédité, il pousse le vice à proposer sur youtube une playlist musicale en complète adéquation avec son histoire. Une manière d'entrer encore plus profondément dans les méandres de l'esprit de Régis. La couverture est juste également parfaitement choisie, oeuvre inquiétante de Laurent Fièvre.

A croire que les maisons d'édition traditionnelles ont peu d'oser le talent. Moi, perso, je me suis acheté déjà acheté les deux derniers tomes de cette trilogie si puissamment débutée.

Il m'aura manqué une lueur d'espoir. C'est noir, très noir.

Mais on parle là d'une oeuvre.

Une vraie.
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《 Quoi qu'il arrive, ce serait trop tard. 》


Loin de moi l'idée de me vanter, ou même de prétendre avoir le "nez creux" à propos d'auteurs auto-édités, pourtant ces derniers temps je suis tombée sur pas mal de petites perles et pépites (grâce notamment à quelques groupes de lecture sur Facebook), et Régis de James Osmont ne fait bien entendu pas exception.
Au contraire, c'est un véritable coup de coeur pour un récit noir et profondément humain.


Une sale histoire...


« Vingt ans qu'il vivait au bord de ce gouffre. »


Un livre qui sonne terriblement vrai, et qui ne peut laisser indifférent, ce quoi qu'on en pense au final.
Le style de l'auteur est indéniablement original et m'a personnellement beaucoup plu. L'écriture est captivante.
L'ambiance anxiogène et glauque nous étreint dès les toutes premières pages sous une plume dure et poétique à la fois, fluide et dynamique, simplement magnétisante.


Savamment distillés tout au long de l'ouvrage, des extraits de chansons issues de la scène underground, viendront vous offrir une meilleure compréhension de la folie de notre héros.
La bande son du bouquin est juste fabuleuse, je vous la recommande vivement en accompagnement à cette lecture. L'atmosphère ainsi créée saura vous transporter au-delà de l'extraordinaire et de l'impensable, si vous osez franchir le pas car vous n'en sortirez pas totalement indemne.
La possibilité des faits a cela de plus sur une simple fiction, qu'elle nous marque de manière indélébile.
Nombre de citations émaillent également les lignes du texte avec une extrême justesse.


De quoi ça parle en fait...
D'un pauvre hére à l'âme cabossée, stigmatisée par une vie dure et violente - des parents qui n'ont de "parents" que le nom, un viol alors qu'il est encore un adolescent fragile et perturbé... - et un pétage de plombs funeste, mais bien compréhensible, qui changera à jamais la vie de Régis. Vie qu'il passera presqu'entièrement en établissement psychiatrique, jusqu'au jour où...

《 Si c'était ça l'autre côté du miroir, autant le faire voler en éclats... 》


Mon ressenti...
J'ai adoré suivre Régis au fil de ses pérégrinations psychiques, et musicales.
J'ai aimé cet être hors norme, j'ai parfois souri, j'ai souvent eu la larme à l'oeil. J'ai souffert avec lui, haï sa Némésis et je suis sortie de cette lecture irrémédiablement bouleversée.
Je remarque sur d'autres critiques que les interludes sillonnant le récit n'ont pas toujours été appréciés à leur juste valeur. D'après moi, ils sont indispensables, car intrinsèquement lié à la psyché de Régis, et si on y prend suffisamment garde, on s'aperçoit très rapidement de leur absolue nécessité et de l'intimité supplémentaire qu'ils font naître entre Régis et nous.


"Il conservait dans son petit objet en plastique des dizaines d'albums, des centaines de chansons, toujours et uniquement savourées en mode aléatoire. (...) Mine de rien, les textes et les assauts hurlants reflètaient bien souvent son état d'esprit du moment."


Régis est un personnage véritablement hors du commun, un schizophrène psychotique coupable d'un crime atroce certes, mais tellement sensible et humain avant tout, que l'on a d'autres choix que de s'attacher viscéralement à cette créature en souffrance. Ce sera d'ailleurs le principal soucis de Sandrine, son infirmière dévouée - et pas si blasée que ça...

N.B. :《Sandrine》est également le titre du prochain roman de l'écrivain, et la suite logique des sombres mésaventures de ce patient décidemment pas comme les autres.


"Les gens tristes sont toxiques. Leur coeur saigne, leur morve coule ; ils geignent, se répandent en larmes de regret... Et on a naturellement tendance à fuir ce qui est contagieux."


James Osmont nous invite donc à sonder l'âme humaine jusqu'à ses tréfonds abyssaux, au travers de protagonistes haut en couleur tel Régis (et Sandrine évidement), mais pas uniquement... Amine son ami de toujours ; Prédateur, personnage mystérieux ; l'Étudiante obsédante et l'insensible Dr D'Arc font aussi partie de cette ronde angoissante.


"... La culpabilité est parfois la pire des vanités. C'est la prétention de croire qu'on aurait pu faire mieux, du moins autrement... Régis avait simplement fait comme il avait pu, avec ses moyens et sa lucidité tronqués. Comme tout réflexe, celui de survie était irréfléchi."


Mais encore...
La couverture, particulière et réellement suffocante, voire dérangeante et malgré cela, irrésistiblement prégnante, terriblement belle... à l'image de ce thriller psychologique, et l'osmose entre cette dernière, l'histoire et les paroles des chansons est parfaite.


« Et si ça revenait ?...»


Pour finir :
Qui dit coup de coeur dit 5 étoiles bien sûr !


Plus d'infos :
https://www.facebook.com/jamesosmont?fref=ts&__nodl


« Désormais, ils se tairont. »
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Un roman assez atypique. Pour différentes raisons.

Tout d'abord parce qu'il est auto édité . Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi les maisons d'édition n'ont pas été réceptives (cela dit l'auteur a peut -être oublié de leur envoyé son roman - je blague-). du coup la mise en page est assez particulière. J'avoue que cela m'a dérangé au début de ma lecture mais c'est vite passé.

Ensuite la façon de suivre Régis tout au long du roman avec l'appui des chansons traduites . Il est incontestable qu'il faut lire ce roman en musique.. et bien sur la discographie de l'auteur . J'ai donc rarement lu devant mon ordinateur mais cette fois-ci cela a été le cas. Et en plus d'avoir découvert un bon roman, j'ai également découvert de bons artistes.

Le monde de Régis est assez particulier..il serait difficile d'en être autrement quand on a passé plus de la moitié de sa vie en HP. Mais c'est surtout la façon d'écrire de l'auteur qui est exceptionnelle car il nous pousse en immersion dans ce monde.. on a réellement l'impressiond 'être dans la tête de Régis avec ses questionnements, ce sentiment d'oppression (une tête trop petite pour contenir tout ce monde). La façon d'explicité le pourquoi du comment avec le prédateur.

J'ai adoré la couverture qui en dit long. Ce qui est dommage pour moi c'est de ne pas en connaître l'auteur.
Mais revenons à la couverture : elle me fait juste penser à un mort en sursis.. mais est ce vraiment le cas? Pour le savoir il faudra lire le roman ;)
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Préface :


Régis… Qui est ce ?


Mais encore…
C'est le héros, d'un nouveau livre qui s'appelle «Régis». C'est le premier roman, de James Osmont. C'est un jeune auteur français qui commence.

Mais comment en as-tu entendu parler ?
J'avoue que je ne connais pas du tout, mais c'est qui
alors ? Je l'explique, c'est grâce à mon amie Angie, est-ce que vous la connaissez ? Si Si Si ! Angie découvre toujours des nouveaux auteurs prometteurs et grâce à sa recherche assidue, elle trouve toujours des belles pépites.
… et je le confirme car Régis, est un coup de coeur.
… également James Osmont, qui est un auteur sympathique.

Et la quatrième de couverture ?
Quand on la regarde, je trouve que ça en dit très long. C'est assez spécial, en son genre. Je crois que c'est un peu comme cela, que j'imagine Régis. Il le représente bien et il définit bien dans quelle catégorie que le livre représente.

Passionnant, Troublant, Déstabilisant

J'avoue que j'ai attendu un très bon moment avant de faire ma critique. Quand j'ai refermé la dernière page, je me suis sentie en émoi. Je ne sais pas comment l'expliquer. J'avais un drôle de pressentiment et lorsque j'ai déposé le livre, je me suis sentie toute drôle. Je m'étais imaginé plusieurs scénarios mais en fin du compte quand on suit attentivement l'histoire, c'est dans l'ordre des choses.
Régis est un être dérangeant, complexe et déséquilibré. Lorsqu'on regarde la quatrième de couverture, on s'imagine très bien le personnage. C'est comme si on voit toute la douleur et la noirceur, dans ce corps si frêle et si fragile. On constate que c'est un survivant de la vie, et qu'il fait de son mieux, à travers les événements.



Je mets en garde… Régis c'est un vol plané où le vertige, la suffocation et l'angoisse sont au rendez-vous… et plus que cela… comment le dire…



C'est une belle découverte de 2016 et c'est également un beau coup de coeur, cela va de soi. C'est un livre qui se classe dans la catégorie de livre noir et c'est aussi un thriller psychologique, le lieu se passe dans un hôpital, c'est là que se passe le drame de chaque personnage, qu'on découvre dans son livre.

Mes impressions :
J'en garde une très belle impression, j'avoue c'est un coup de coeur, pour le livre mais également pour le personnage de Régis. C'est difficile de ne pas s'attacher et de ne pas l'aimer, c'est un être tellement à part.
On y rencontre également des personnages-clés, qu'on retrouve aussi dans le deuxième livre. Je prénomme Sandrine, Prédateur qui jouent un rôle déterminant dans la vie de Régis. C'est une histoire noire, qui te touche, qui t'absorbe au fil des pages. Et la fin, c'est difficile de l'exprimer, quand tu ne l'as pas lu. Je crois que l'auteur nous amène sur une pente glissante, dans la santé mentale, dangereuse et tourmentée de Régis et de ses personnages.

Le contenu :
Je découvre une écriture solide, posée et soignée, à travers son premier roman. Il choisit bien ses mots, ses descriptions sont bien précises et imagées. On s'aperçoit qu'une recherche est effectuée, ses personnages sont bien définis, ses lieux sont bien respectés ainsi que le fil conducteur du roman.
Il ne cesse de nous émouvoir, il nous bouscule et il nous fait vivre toutes sortes d'émotions. Il faut bien choisir le moment car il amène des sujets difficiles et qu'ils touchent différents aspects de l'être humain. Il aborde aussi le thème de l'hôpital, autant pour les malades, que les soignants, sur un angle positif ou négatif, tout dépend comment le lecteur peut le percevoir, au travers du livre.
Il contient aussi des passages marquants dont quelques-uns avec le personnage de Sandrine. Suite à cela, il me fait réfléchir aussi dans ma vie personnelle. Il sait tellement bien décrire les scènes, que les images restent à ton esprit même après la lecture terminée.

Qui est James Osmont ?
A part être un auteur, c'est un infirmier en psychiatrie, c'est un passionné également pour la photographie. On peut aussi le découvrir via par facebook messenger, il est disponible pour ses lecteurs. Il est très sympathique et je le remercie pour nos discussions. Je mets le lien ici :

Page Facebook: https://www.facebook.com/josmontphotos/
Son site: http://josmontphotos.jimdo.com/

Et pour finir….
C'est un auteur à découvrir, je ne vous en dis pas plus. La fin m'a beaucoup secouée et Régis est un personnage qui marque. J'avoue que ce n'est pas une lecture facile car ça touche l'être humain. Je mets en garde, tout lecteur, car il continent des passages difficiles, et il faut choisir le bon moment. Je sais, je me répète, mais c'est important. Est-ce qu'il y a un bon moment pour ce genre de lecture ?
Je ne vois pas vraiment de point négatif à dire, le livre se lit bien, les chapitres sont bien écrits, la musique est bien identifiée.
Et pour tout lecteur, qui est amateur de musique, également Régis, qui ne vit plus sans son lecteur, vous allez être servis. James vous réserve toute une musique, à vous faire écouter et qui se retrouve aussi sur you tube.

Et pour vous convaincre…
Son livre est également numérique sur Kobo ou on peut contacter l'auteur également pour avoir les livres papiers. On peut aller voir la critique d'Angie et les autres membres sur Babelio.

*** Prix : Il a gagné le prix pour les petits mots libraire 2017
pour Régis. Catégorie : découverte polar/thriller.

Siabelle
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"Spleen
Pluie du coeur
Le tourment brouille mes heures
Spleen
Quand vient le soir
Les fantômes de la nuit tissent mon histoire"

L'histoire de Régis est sombre, torturée, triste, violente. Pathétique aussi car elle émeut. Comment ne pas imaginer qu'elle n'est peut-être que le reflet du quotidien de patients réels.
Régis est un homme enfermé dans sa douleur, dans sa maladie suite à de multiples traumatismes. Nous découvrons dans ce roman son quotidien cyclique, avec ses temps calmes, ses délires, ses chutes et rechutes mais également ses craintes, sa folie et ses angoisses irrationnelles.
D'un ton juste, sans jamais tomber dans la facilité, le texte est simple et riche à la fois. Les citations musicales apportent une touche de poésie et de légèreté qui, comme pour le héros éponyme, sont une bouffée d'oxygène pour le lecteur.

James Osmont nous offre une histoire, qu'elle nous plaise ou non, qui marque.
Et c'est bien là, la marque d'un grand roman.
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Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
Prédator était de retour. C'est tout ce qui comptait. Son persécuteur, son Adrastée implacable, sa Némésis immortelle et vengeresse. Il ne pourrait jamais lui échapper. Il était pris au piège. Et qu'avait-il de prévu ? Rien. Il avait contemplé son image. Tout ce temps il s'était occupé de son nombril. Puis il avait regardé ailleurs, s'était cherché d'autres ennemis. Comment avait-il pu douter de Sandrine ou d'Amine ?...
Vite, reprendre contenance ! Murer les ouvertures, éviter la débâcle. Rejoindre la sûreté de son lit. Les certitudes braillardes de sa prison de décibels. Il grelottait, l'épine dorsale soudain parcourue d'un courant glacial, la vision grisée par la peur. Un pressentiment, un hiatus, une révélation naissait en son for intérieur.
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Régis se tourna à nouveau. Face à lui, la fenêtre bavait, la nature suintait, rendait par avance l'hiver en approche.

_ Excuse-moi. Je vais bien...
_ Mais pourquoi tu dis ça ?!...

Face à son mutisme, elle ajouta, les larmes aux yeux :

_ Bien sûr que non, tu vas pas bien ! À quel moment j'ai perdu ta confiance Régis ? Pourquoi tu ne me dis plus rien ? Pourquoi tu me fais subir ça ?

Il la repoussa sans brusquerie, fixant l'infirmière un instant de ses yeux brasillants, où la plus vive des fièvres couvait encore. Puis, avec toute la sincérité du monde, comme une évidence, comme un aveu aussi, il conclut :

_ Mais parce que je suis fou Sandrine.
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... Un autre putain de vendredi 13.

Il en porterait toute sa vie les stigmates. Le nez broyé sur le sol de la cour derrière la maison, le traumatisme crânien et la partie supérieure de son oreille gauche, l'hélix entier arraché, mangé peut-être, par l'agresseur dans la fureur lubrique de l'acte. Régis, ce jeune garçon triste aux yeux tombants et au charme singulier, avait été brisé. La cicatrice psychique avait mis du temps à guérir : une année scolaire fichue. Et s'il cachait la plupart du temps l'infamie de son oreille manquante sous un bonnet de laine noir, la blessure mentale elle, était encore à vif et bien visible.
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En réintégrant l'unité 5, Régis ne serait donc pas admis en chambre de surveillance, 'stricto sensu'. Il devrait en revanche rester dans le service, ne pourrait pas se promener dans le parc, ni recevoir de visites, d'ici au staff suivant, le 21 décembre. L'Étudiante ne saisissait pas vraiment la logique de cet enfermement à géométrie variable. En quoi le périmètre de liberté flexible allait plus ou moins contenir les passages à l'acte, limiter les coups de folie, protéger Régis de lui-même, et protéger les autres ? N'était-ce pas tout simplement une mesure punitive qui ne disait son nom ? Une carotte à reconquérir pour le malade, qui redeviendrait alors un "bon patient" ?
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''Nos coeurs étaient invincibles
tandis que nous clamions ces chansons
sur l'amour et le regret,
la distance et la perte, le chagrin et l'échec.
Et j'entends encore ces anges,
mais tu es parti depuis longtemps.
Maintenant, ils entonnent un chant funèbre,
énumèrent tout ce que j'ai pu faire de mal.
Je voudrais juste revenir à l'époque
où nous n'avions pas à nous saouler
pour trouver le sommeil,
aux âges où nos rêves ne pesaient pas sur nous,
aux temps où nous ne pensions pas simplement
à survivre chaque jour.''

Jeudi le 10 décembre 2015 - Sandrine

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