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EAN : 9782075169943
272 pages
Gallimard Jeunesse (19/05/2022)
3.78/5   56 notes
Résumé :
Zakarya Benothmane, vingt ans, est accusé du meurtre de Paco Moreno, son rival au club de boxe. Tout est contre lui. Mais Zakarya affirme qu’il n’y est pour rien. Au cours de son procès, les témoignages se succèdent à la barre : Djibril, l’entraîneur, ses amis, la belle Aïssatou, Yasmine, sa mère, qui a élevé seule ce fils adoré et indomptable qu’elle défend comme une lionne…

À la défense, Lucie Colancelle, jeune avocate brillante et passionnée qui ga... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Mutisme tête baissée, nom arabe, précédents multiples : Zakarya n'est-il pas le coupable idéal ? Mais qui est-il vraiment ? C'est ce que les jurés appelés à délibérer sur une affaire de meurtre vont devoir déterminer.

Cette tragédie entre trois actes – JUGER, PROUVER, CONDAMNER – nous entraîne au coeur d'un procès d'assises : mise en accusation, constitution du jury, instruction, plaidoiries, expertises. Les faits et la personnalité de Zakarya sont passés au crible pour aboutir à un jugement. le récit du procès est ponctué de flashbacks de la jeunesse de l'accusé et du soir des faits. Ces fragments entretiennent le doute, dessinent un portrait complexe. Ado impulsif insuffisamment cadré par sa mère ? Petite frappe ? Rebelle à la rage brûlante ? Garçon solaire, déterminé à tenir la dragée haute aux préjugés ? Manipulateur hors-pair ? Ou abîme de fragilité ? L'énigme reste entière puisque Zakarya se tait.

Ce roman se dévore : on brûle de percer le mystère du jeune homme, son silence obstiné fait monter la tension. La construction par flashbacks est impeccable et montre magistralement comment la tentation de plaquer des idées toutes faites peut nous induire en erreur. Les tentatives de comprendre Zakarya ont beau s'adosser à tous les gages d'apparence, de respectabilité et d'expertise, elles semblent irrémédiablement vouées à l'échec. Les gens entrent rarement dans une case. On réalise à quel point la tâche des membres du jury est compliquée.

Un roman « coup de poing » tout en subtilité et en sensibilité.
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
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Zakarya Benothmane est un jeune homme de 21 ans incarcéré à la maison d'arrêt Bonne-Nouvelle à Rouen en 2019 et attend son procès au tribunal des assises de Paris pour meurtre. le procès est assuré par le président Delausne et l'avocat général Petitjean avec un jury de neuf personnes ; Zakarya est défendu par l'avocate Léonie Colancelle. A l'été 2018, Paco Moreno a été battu à mort devant le club de boxe BoxoumBis dans le quartier Curial dans le 19ème arrondissement de Paris, il avait rendez-vous avec Zakarya avec qui il était en concurrence pour les matches de boxe. Tout semble accuser Zakarya, il est né d'une liaison entre une jeune femme Yasmine et un homme marié, Sylvain Gauthier qui a refusé de le reconnaître ; la mère et l'enfant ont été obligés de quitter leur province pour se réfugier à Paris. Zakarya a alors commencé à avoir des accès de violence qui sont devenus une difficulté pour sa scolarité et son insertion sociale. Peu à peu, au cours du procès, Zakarya se souvient de son enfance avec sa mère, sa jeunesse à Paris et ses premiers actes de délinquance jusqu'au trafic de drogue et la rencontre avec la jeune Aïssatou, une jeune fille en danger, prisonnière d'un frère radicalisé.

Isabelle Pandazopoulos est professeure de lettres, elle a enseigné notamment en zone d'éducation prioritaire (ZEP) et auprès d'enfants en situation de handicap. Elle est formatrice à l'Ecole supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE) en région parisienne” - source Wikipédia. Elle a publié sept romans pour la jeunesse et elle adapte récemment des légendes ou mythologies ; elle a publié La Décision en 2013 - déni de grossesse -, Double Faute en 2016 - emprise autoritaire d'un père sur ses fils -, Trois filles en colère en 2017 - mai 1968 en Europe -, Demandez-leur la lune en 2020 - décrochage scolaire -, Parler comme tu respires en 2021 - mutisme sélectif -.

Il s'agit d'un roman de procès mais d'un procès d'assise en France et Isabelle Pandazopoulos décrit avec un souci documentaire les conditions de détention et le déroulement d'un procès en France - ce qui est plutôt rare en roman pour adolescents au regard du nombre de descriptions de procès américains. Comme à son habitude, Isabelle Pandazopoulos joue à merveille avec l'alternance entre l'intrigue principale - ici, le procès pour meurtre - et les flash-backs avec les souvenirs éparpillés du héros qui, petit à petit, s'assemblent comme les pièces d'un puzzle et permettent peu à peu, comme dans une psychothérapie de donner un sens à chaque élément. du jeune héros mutique et violent dans ses réactions, nous découvrons petit à petit l'enfant blessé, le jeune homme perdu et enfin l'amoureux fidèle à ses promesses. Les fans d'Isabelle Pandazopoulos seront ravis de ce nouveau roman réaliste et social.
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L'histoire de Zakarya m'a complètement bouleversé. Mais j'aimerais dire plus encore. le mot "bouleversant" a tellement été utilisé aujourd'hui qu'il ne suffit pas à dire la tempête qui m'a habité après avoir tourné la dernière page. Ce roman m'a mis une claque phénoménale qui m'a fait terminer ma lecture tendu, le coeur agrippé au livre.

Ça parle donc de Zakarya. D'un mec qui est en procès pour meurtre. D'un mec qu'on accuse du pire mais qu'on a l'impression d'être capable du meilleur. Un procès entrecoupé de flashbacks de son histoire. Ça parle de vérité. de promesses. D'une accusation qui, on le comprend petit a petit, est plus compliquée qu'elle n'en a l'air. D'un sort quasiment scellé dès les premières pages. de son silence qui le pousse inexorablement vers un destin qu'il ne désirait pas mais qu'il a pourtant choisi. Des combats qu'on mène, peut-être pour soi, peut-être pour les autres. de famille, de noirceur et d'amour. D'amour fou.

Et c'est ça la force du roman. Cette question. Qui est dans la vérité en fait ? Ceux qui la cherchent désespérément, croyant poursuivre un idéal de justice pourtant corrompu par leurs préjugés et leurs idées préconçues ? Ou celui qui, quoi qu'il lui en coûte, tiendra la promesse qu'il a faite ?

L'écriture d'Isabelle Pandazopoulos est tendue, nerveuse, belle et poétique, plus brûlante ici que je ne l'ai jamais lue. Sa narration, aussi trouble qu'efficace, morcèle le récit. J'ai trouvé cela intéressant qu'il soit si éclaté, si plein de blancs et de silences, comme l'est l'histoire et surtout la parole de Zakarya. Tout est dans ces trous que laisse la vérité, dans ces interstices de joie brute qu'on devine dans son histoire et celle de sa mère.

Ce n'est pas un roman facile. Les souvenirs et la trajectoire de ce microcosme familial sont traversés d'une violence qui s'accroche à la peau de toutes leurs journées. Mais j'ai aimé ce personnage. Je l'ai aimé avec violence et tendresse l'espace de 200 pages et les questions qu'a soulevées cette histoire me tourmentent encore. Peut-on être juste face au silence ?
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J'écris cette chronique presque un mois après avoir terminé de lire L'honneur de Zakarya – faute de temps, vacances estivales obligent. Et fort m'est de constater que si je n'avais pas relu la quatrième de couverture de ce livre, je n'aurais plus eu aucun souvenir de l'histoire... ce qui est mauvais signe quand même. Je pense que cela est en partie dû au nombre de pages assez faibles : moins de 300, un court laps de temps de lecture qui ne permet pas de s'immerger totalement dans l'histoire, ni de s'attacher convenablement aux personnages.

Zakarya est un jeune homme de vingt ans, accusé du meurtre de son rival du club de boxe. Néanmoins, il clame corps et cris son innocence, même si tout l'accable. Son avocate, Léonie Colancelle, va tenter de gagner la confiance du garçon, afin d'en apprendre plus sur lui, son histoire, ses sentiments et ses motivations.

Chacun des livres de Isabelle Pandazopoulos traite de thématiques fortes, qui mettent très souvent en avant des jeunes en difficulté, qu'elle tente d'aider en faisant passer des messages ciblés, pleins d'espoirs et de positivisme. Il faut dire que l'auteure est toute légitime à écrire sur ces jeunes : professeure de lettres, elle a notamment enseigné en zone d'éducation prioritaire (ZEP) et auprès d'enfants en situation de handicap. Ici, Zakarya est un jeune homme difficile, en décrochage scolaire, constamment en proie à la violence et au trafic de drogue en raison de ses fréquentations peu recommandables. Il faut dire qu'il n'est pas issu d'un milieu aisé : élevé seul par sa mère Yasmine suite à l'abandon de son père (un homme marié), Yasmine a dû travailler d'arrache-pied pour subvenir aux besoins de son fils. Tout porte à croire que Zakarya est un homme peu recommandable, mais il est doté de deux visages. le deuxième se matérialise lorsqu'il se trouve aux côtés d'Aïssatou, une jeune fille dont il tombe secrètement amoureux. Car leur amour est impossible : Aïssatou est aux prises de son grand frère radicalisé, qui exerce une pression sans commune mesure sur elle. On plonge directement dans un univers sombre, inquiétant, qui nous est totalement étranger, au sein duquel on se sent à l'étroit et mal à l'aise.

Les chapitres alternent entre le procès de Zakarya et le déroulé complet de l'histoire passée. Au fur et à mesure, via des flashs-backs et des souvenirs épars, on en apprend plus sur ce garçon, qui nous apparaît bientôt comme un grand ours au coeur doux. En effet, ce héros mutique est devenu comme il est aujourd'hui à cause de son passé, de son enfance blessée, de la détresse, la pauvreté, la violence quotidienne. J'ai été émue par ce personnage, qui finalement se révèle tendre et bienveillant, même s'il ne laisse absolument rien paraître. J'ai également été dévastée par l'injustice sociale : en se basant uniquement sur des préjugés – raciales, sociales -, sans preuve concrète incriminante, ils accusent Zakarya d'un crime qu'il jure ne pas avoir commis. Même si certaines scènes du procès sont exagérées et manquent cruellement de réalisme, je pense sincèrement que certaines enquêtes peuvent être bâclées sous réserve que la personne incriminée porte sur sur elle tous les stigmates d'un criminel.

Un roman social intéressant, qui met en avant des thématiques fortes : l'injustice sociale, les préjugés, la construction identitaire... Un livre qui se lit rapidement mais s'oublie tout aussi rapidement. Des chapitres plus nombreux auraient été les bienvenus !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Je remercie les éditions Gallimard Jeunesse via On lit plus fort pour la découverte du dernier roman d'Isabelle Pandazopoulos. C'est le quatrième roman que je lis de cette autrice et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle choisit toujours des thématiques complexes, des sujets forts, des personnages très bien définis et aborde le tout avec une grande force dans les émotions, une plume de qualité et une modernité dans les dialogues. Il est certain que c'est une autrice dont les romans plairont sans aucun doute aux adolescents et il est certain que ses romans doivent être lus, car ils sont percutants. Comme celui-ci, l'Honneur de Zakarya.

Si je suis loin du coup de coeur ou d'avoir apprécié pleinement le roman, je dois quand même reconnaître que l'autrice sait créer des histoires inoubliables, exploiter des thèmes très riches en enseignements et en questionnements. Une fois de plus, elle aborde l'adolescence, les premiers émois amoureux, les relations entre les ados à travers une histoire aussi percutante que triste. Aucun doute possible, l'histoire fera parler d'elle, suscitera des réactions variées, ce sera à chacun et chacune de s'en faire sa propre opinion. L'autrice nous présente un fait divers dramatique, un procès hors norme, elle nous parle d'amour, de rejet, d'identité, de liens, de force de caractère. J'ai beaucoup aimé les thèmes, l'ambiance qui est prenante dès les premières lignes.

J'ai bien aimé les personnages dans leur globalité, leurs histoires personnelles, leurs personnalités, le lien qui les unit – notamment pour le groupe de Zakarya et ses amis. En revanche, le roman trop court rend les personnages très passionnants, mais pas assez développés pour m'y attacher. le personnage même de Zakarya m'a agacé plus d'une fois, j'ai détesté son comportement au tribunal, je déteste sa violence gratuite et ses emportements faciles qui m'ont plus effrayé et qui le desservent grandement. J'ai beaucoup de peine pour ce qu'il vit, parce que cet adolescent est un humain atypique, avec des failles et des qualités, mais sa manière d'être me l'a rendu antipathique.

Ce qui m'a vraiment dérangé, c'est le côté un brin surréaliste de l'enquête, du procès. Je me doute bien que le monde n'est pas rose, que des procès expéditifs existent, que les enquêtes bâclées également… mais là, j'avais l'impression qu'ils avaient tous un très gros poil dans la main. Plusieurs éléments sont tellement gros et incohérents que je me demande encore comment des policiers et des juges peuvent les ignorer copieusement. C'est donc une intrigue très bien menée sur le plan des révélations, du rythme, mais le résumé lance des idées un peu fausses (comme le charisme de l'avocate et la confiance que Zakarya aurait à son égard, je les cherche encore en relisant le livre en diagonal) et ces quelques incohérences m'empêchent d'apprécier pleinement cette lecture.
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critiques presse (2)
CNLJ
06 septembre 2022
Une écriture subtile, pleine d’ellipses, à l’instar du parcours du personnage principal. Un roman vraiment noir, percutant, dont on sort secoué.
Lire la critique sur le site : CNLJ
Ricochet
26 juillet 2022
Un récit tout en nuances, dur, âpre et émouvant, écrit par la très belle plume d’Isabelle Pandazopoulos, avec un héros paumé dont l’humanité se cache sous un masque d’indifférence. La fin, implacable, ressemble à un coup de poing et on ressort de ce roman quelque peu sonné.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Votre psy, il a parlé d’échec scolaire… mais j’ai eu mon CAP paysagiste, j’ai trouvé un patron pour mon stage qui m’a embauché après, même qu’il voulait que je passe mon bac pro… Vous trouvez que c’est un échec, ça ? Et que je serais passé pro dans la boxe s’il y avait pas eu tout ça, ça aussi, vous trouvez que ça demande pas des efforts ? Pour vous c’est rien alors, de la merde, hein, les gars comme moi, un Arabe des cités, ça peut pas « réussir », hein, ça va à la mosquée et ça tue son prochain, c’est ça que vous vous racontez ?
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L'idée que sa mère l'attendait avec des questions plein la bouche lui donnait la nausée. Il l'imaginait déjà, elle dirait 'c'est pas grave, ça n'empêche pas que c'est toi le meilleur, mon Zakarya, moi, je le sais, tu vas y arriver'.
Avec cette fierté qu'elle avait de lui, comment ne pas la décevoir ? Ce serait toujours pareil, ce ne serait jamais assez. Elle l'aimait trop.
(p. 110)
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Pendant quelques instants, elle avait entraperçu le bout du tunnel. Son fils allait devenir un homme qui se tiendrait debout, le regard clair et visant loin, avec l'idée de se construire une vie, belle, digne, elle s'y voyait déjà, tête haute, contre tous les pronostics, et face au monde entier.
(p. 26)
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C'est le moment du film que tu préfères.
Cette nuit que vous avez passée tous les deux dans un hall d'hôpital, peut-être pas la nuit mais au moins quelques heures, vous ne vous êtes rien dit, ou si peu, et ça continue de t'étonner alors qu'il te semble lui avoir confié dès les premiers instants de cette nuit-là ta vie entière, ça veut dire ton âme et ton corps et tant pis pour ceux que ça fait rire. Le savait-elle ? Le sentait-elle ? Elle n'a pas posé de questions, pas demandé pourquoi ni comment tu t'étais retrouvé là.
Commenter  J’apprécie          60
Il arrivait de plus en plus souvent que [son fils] refuse de la voir.
Il avait appris comment se passaient les contrôles, les humiliations qu'on lui faisait subir [à sa mère]. Puisqu'ils avaient tous les pouvoirs, ces putains de surveillants.
Yasmine avait tenu bon. Elle revenait. Quoi qu'ils fassent, quoi que son fils dise.
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Vidéo de Isabelle Pandazopoulos
Cette rencontre est organisée par la bibliothèque Robert-Desnos de Montreuil dans le cadre du festival Hors limites 2021.
Professeure de lettres au plus proche des préoccupations de ses élèves (Jean-Xavier de Lestrade, dans sa minisérie "3 × Manon", s'est en effet inspiré d'elle pour créer son personnage d'enseignante), Isabelle Pandazopoulos a toujours mis au coeur de ces romans les problématiques qui traversent la vie des adolescent·e·s. Ses livres sont de véritables miroirs pour ses jeunes lectrices et lecteurs, des outils d'optiques pour s'examiner soi-même et construire son histoire à travers celle des autres.
S'exprimer à voix haute, argumenter devant un public, affirmer son individualité dans les mots malgré la timidité, le sentiment d'illégitimité ou même le handicap, c'est bien le sujet de ses deux derniers romans, "Demandez-leur la lune" (Gallimard jeunesse, 2020) et "Parler comme tu respires" (Rageot, 2021). C'est, peu ou prou, la situation dans laquelle se retrouveront les membres du club de lecture LékriDézados de la bibliothèque Robert Desnos qui l'interrogeront, après avoir été accompagné par Sylvie Fagnart, journaliste en résidence dans les bibliothèques de Montreuil. Et sans doute ont-ils conscience qu'en la faisant parler d'elle, ils nous parleront sans doute aussi un peu d'eux…
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