Alain Mabanckou dans son discours inaugural au Collège de France, revient sur l'histoire ( les fantasmes)que l'occident se fait de l'Afrique, sur la littérature coloniale, qu'il faut connaitre et "nous garder de les considérer comme poussiéreux", et enfin, sur l'émergence de la littérature écrite par des africains, ou avec la pensée africaine comme phare.
A partir des années 1970, les femmes arrivent dans le paysage littéraire africain. Beaucoup de livres cités figurent dans les excellentes listes déjà élaborées, cependant j'ai préféré rester près de la liste et de la pensée de Mabanckou.