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EAN : 9782253156895
352 pages
Le Livre de Poche (12/01/2011)
3.58/5   26 notes
Résumé :
Alexandre Dumas, vous connaissez ? Oui, bien sûr, l'auteur des Trois Mousquetaires ! Mais encore ? Il n'est pourtant pas l'homme d'un seul livre. Il est vrai que les Mousquetaires occupent dans son immense production une place à part et continuent de lui valoir une popularité mondiale qui ne se dément pas. Pourquoi ? Comment ?

Leur rédaction, tardive, ne s'inscrivait pas dans la ligne de ses projets initiaux : il se voulait dramaturge. Sa conversion ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Simone Bertière, enseignante et historienne, préfacière des Livres de Poche de la trilogie de Dumas consacrée aux mousquetaires publie l'histoire de ce chef-d'oeuvre.
Fils d'un général de la Révolution, Alexandre Dumas né en 1802, commence sa carrière comme gratte papier chez le Duc d'Orléans, ce qui lui laisse du temps pour écrire des pièces de théâtre et entrer en relation avec Victor Hugo et les romantiques. L'accession du Duc au trône en 1830 favorise sa carrière et il connait un triomphe avec sa pièce Anthony jouée à la Porte Saint Martin.
L'évolution politique, l'évolution culturelle, l'émergence d'une presse cherchant le moyen de fidéliser les lecteurs contribuent à la naissance du « roman feuilleton » que « Les mystères de Paris » d'Eugène Sue consacrent, ce qui incite Dumas, pour d'évidentes raisons financières, à s'inscrire dans ce courant.
Secondé par Auguste Maquet, son documentaliste, il industrialise l'écriture des feuilletons et publie entre 1844 et 1848 l'essentiel de ses chefs d'oeuvres en livrant parallèlement plusieurs quotidiens. Les trois mousquetaires, le Comte de Monte-Cristo, La Reine Margot, Vingt ans après, le chevalier de Maison Rouge, La Dame de Monsoreau, Joseph Balsamo, Les Quarante-cinq paraissent dans le Siècle, Le Journal des Débats, La Presse, le Constitutionnel et Démocratie pacifique. En quatre ans, la gloire et les profits comblent Dumas et profitent dans l'ombre à Maquet.
Les révolutions de 1848 brisent cet élan. Dumas essaye de se lancer en politique et laisse Maquet commettre quasiment seul le Vicomte de Bragelonne. Les théâtres perdent leurs spectateurs et les journaux ont une telle actualité à couvrir que les romans-feuilletons perdent une part de leur justification … Adieu veau, vache, cochon …
La faillite rattrape Dumas, qui juge prudent de se réfugier en Belgique ; Maquet privé de revenus attaque en justice le romancier, ce qui signe la fin irrévocable de leur partenariat … Il leur reste à survivre chacun de son côté.
Simone Bertière analyse les sources documentaires des Mousquetaires et, tout en signalant quelques erreurs, souligne leur fidélité à l'histoire qui contribue à forger le roman national.
Cette étude, limitée à la vie professionnelle de Dumas n'est pas une biographie classique et ne remplace pas la monumentale étude qu'André Maurois consacra aux « Trois Dumas », elle la complète et d'une certaine façon, l'introduit.
Un ouvrage que tout amoureux des mousquetaires se doit de lire assurément !
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Un enfant de dix ans, une vieille dame de 83 ans, touchés par les Trois Mousquetaires plus de 150 ans après leur parution, voilà qui a suffit à me de convaincre de découvrir le pourquoi et le comment de ce succès prodigieux, j'ai décidé de partir à la rencontre de d'Artagnan, de Dumas et du roman.

Avant de nous introduire dans les secrets de la création des Mousquetaires, l'auteur nous trace à grands traits la vie de Dumas, c'est rondement mené, sans aucun superflu, juste ce qu'il faut pour prendre la mesure du personnage. le journalisme, les débuts puis les succès au théâtre où il dame le pion au grand Victor Hugo et comme le succès ne nourrit pas son homme, Dumas va se tourner vers le genre qui a valu la gloire à Eugène Sue : le roman feuilleton.
C'est la naissance de "l'attelage Dumas-Maquet" l'écrivain et son nègre rapproché par un même goût pour l'histoire.
Et il va écrire, écrire pour manger, écrire pour s'amuser, écrire pour payer ses dettes, écrire ...écrire ...écrire
Elle a choisi son camp Simone Bertière, celui de Dumas contre Maquet , non qu'elle ne reconnaisse pas le travail du " nègre" mais pour elle c'est Dumas qui tient les commandes, qui décide, qui tranche, les scénarios sont de lui, le créateur et l'exécutant.

Et c'est l'état de grâce : entre mars 1844 et juin 45 c'est le triomphe des Trois Mousquetaires, de Monte Cristo, la Reine Margot et Vingt ans après. Excusez du peu !

Les Trois Mousquetaires, coup d'essai, coup de maître. Dumas a tiré son inspiration de faits réels on le sait mais il ne s'embarrasse pas trop de vérité historique, d'un très mince épisode il tire tout son roman. Tout de suite on sait qui sont les héros, Buckingham et Anne d'Autriche ne sont somme toute que des faire valoir " Entre les aventures des Mousquetaires et celles des princes, Dumas a clairement choisi : il nous raconte l'histoire de d'Artagnan et de ses amis. "

Son coup de génie c'est ce quatuor avec une belle distribution, Porthos est un personnage de comédie, Aramis traine un parfum de complot et Athos son noir destin. L'action lancée, les valets se joignent à la fête, Constance Bonacieux va ajouter la touche romantique et bien sûr la touche sulfureuse est donnée par Milady.
C'est intelligent, le tempo est vif, sans temps mort, les aventures se succèdent, on voit s'affermir les caractères " Courage, sang-froid, lucidité" l'amour et la politique s'entremêler. "ils se battent. Et ils gagnent."
Il y a des anomalies ? des inexactitudes historiques ? oui c'est vrai le récit "va son grand chemin, à franc étrier, à bride abattue, il nous entraine dans un tourbillon d'aventures échevelées, rebondissantes, où nous oscillons entre la surprise et l'attente comblée."

Je vous confirme que ça marche encore aujourd'hui à l'heure de Harry Potter et Avatar, il y a encore une place pour D Artagnan. Proposé en lecture audio à un petit garçon de 10 ans, les Mousquetaires ont fait un tabac.

Pour terminer je vous laisse avec Dominique Fernandez un fan d'Alexandre depuis toujours.
“L'heure de la réhabilitation n'est-elle pas venue pour Dumas également ? Quand je demande à mes amis : « Avez-vous lu le Vicomte de Bragelonne, la Comtesse de Charny, le Comte de Monte-Cristo ? ils me répondent : “Autrefois, à quatorze, quinze ans" Ou bien ils n'osent plus lire Dumas, ou bien ils n'osent pas avouer qu'ils continuent à le lire. Dans les deux cas, ils relèguent Dumas dans un casier inférieur de leur conscience. Dumas n'étant pas un auteur qu'on peut révérer, ils se sentent vaguement coupables de l'aimer, ou de l'avoir aimé »
Lien : http://asautsetagambades.hau..
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Simone Bertière est une historienne reconnue, passionnée par l'oeuvre d'Alexandre Dumas. C'est donc tout naturellement que l'auteur nous invite à travers cet ouvrage à découvrir comment et dans quelles circonstances Dumas a rédigé Les Trois Mousquetaires, Vingt Ans Après, et le Vicomte de Bragelonne, ses romans les plus connus mettant en scène D'Artagnan, Athos, Portos et Aramis. C'est du moins ce que promet le titre.

En fait, il s'agit ni plus ni moins d'une biographie sur Dumas. L'historienne traite du sujet des mousquetaires que sur trois chapitres (un pour chaque volet de la trilogie), le sous-titre, Histoire d'un chef d'oeuvre, me laissait penser que le livre nous éclairerait uniquement sur les mousquetaires, il n'en est rien.

Simone Bertière nous raconte la vie de Dumas, de manière fort intéressante. Très documenté et riche en anecdotes, le livre parle de l'enfance de Dumas, son arrivée à Paris en tant que clerc de notaire, ses débuts comme dramaturge, ses amitiés avec les figures littéraires de l'époque. Il faut attendre le milieu du livre pour savoir comment Dumas est venu à créer ses mousquetaires.

Au milieu du XIXème siècle, la suppression de la censure royale permet la création de plusieurs journaux. Afin de fidéliser les lecteurs, un éditeur, Emile de Girardin, à l'idée de créer le roman-feuilleton. Il demande à Eugène Sue d'écrire une histoire à suivre, où la fin des chapitres doit montrer le plus de suspense pour pousser le lecteur à acheter le prochain numéro. C'est ainsi que paraît Les Mystères de Paris, énorme succès de l'époque. Théophile Gautier raconte que même les mourants survivaient le plus longtemps possible pour connaître la suite des aventures du prince Rodolphe et de Fleur-De-Marie.

Dumas qui voulait se consacrer uniquement au théâtre voit dans ce nouveau genre littéraire une importante manne financière. Sue était grassement payé. Reste à trouver un sujet. En plus de ses pièces, Dumas s'était atteler à l'élaboration d'une colossale histoire de France, comme Jules Michelet et Ernest Lavisse en leur temps. Il en était arrivé au XVIIème siècle, qu'il a longuement étudié. L'occasion lui est donnée d'utiliser un personnage dont il a découvert récemment les mémoires, afin de lui faire vivre des aventures fictives dans un contexte historique avéré: c'est D'Artagnan.

Ainsi naquit une histoire mondialement connue. Simone Bertière explique la psychologie des personnages dans chacun des romans, à la manière d'une fiche de lecture. Elle détaille aussi le contexte dans lequel Dumas est plongé et lui inspire certains épisodes de sa trilogie, notamment dans Bragelonne, fortement influencé par la révolution de 1848. Malgré la fausse promesse du titre, je conseille ce livre à tout ceux qui veulent découvrir la vie d'un auteur remarquable, et l'histoire d'un siècle qui a vu des révolutions, des monarchies, des républiques et deux empires.
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Cette étude explique le contexte d'écriture du chef-d'oeuvre de Dumas - mon roman préféré depuis toujours - entre biographie et étude littéraire. Si on y fait peu de révélations, les explications sont claires et accessibles. C'est une étude faite pour le grand public, pas pour des chercheurs en lettres.
Et surtout, on sent que l'auteure, avant même de faire du travail de recherche, aime profondément Dumas et les Trois Mousquetaires dans son écriture, ce qui ne peut que me la rendre sympathique.
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J'ai beaucoup aimé ! Je suis une fan de Dumas, c'est un de mes auteurs classiques préférés, voire le préféré, mais j'ignorais à peu près tout de sa vie. J'ai donc appris une fouletitude de choses en lisant ce livre !
Lien : http://chroniquesdunchatdebi..
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Maquet, lui, resté à Paris et flairant le vent, s'essaie au roman historique comme il se doit. Le Bonhomme Buvat est un démarquage des Mémoires d'un comparse ayant joué un rôle décisif en 1718 dans l'échec de la conspiration dite de Cellamare, du nom de l'ambassadeur espagnol qui la patronna. À l'instigation de la duchesse du Maine, épouse d'un des fils légitimés de Louis XIV, les conjurés projetaient d'ôter la régence au duc d'Orléans, qui les tenait à l'écart du pouvoir, et de la confier au roi d'Espagne. C'est l'humble copiste nommé Jean Buvat, chargé de mettre au net leur courrier, qui, scandalisé, les dénonça et sauva le Régent. Dumas accepte de réécrire le terne manuscrit de Maquet refusé par la Revue des Deux Mondes, il le rebaptise du nom d'un des conjurés et y développe une intrigue sentimentale. Le Chevalier d'Harmental paraît en feuilleton dans La Presse du 28 juin 1841 au 14 janvier 1842. Mais pas question cette fois d'en partager la patemité : « Un roman signé Dumas vaut 3 francs la ligne. Signé Dumas et Maquet, il vaut 30 sous », aurait tranché Emile de Girardin. Les lecteurs ignorent les sous-entendus familiers aux spectateurs de théâtre, ils veulent du pur Dumas.
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Alors, que pèse sa désinvolture à l’égard des inadvertances dont fourmille un récit qu'il ne se donne pas la peine de corriger lors de l'édition en librairie ? Il importe peu que le pseudonyme de la duchesse de Chevreuse soit Aglaé ou Marie Michon, que d'Artagnan soit reçu deux fois dans la compagnie des mousquetaires, que changent le lieu du rendez-vous donné par Mme Bonacieux et celui du couvent qui lui sert d'abri, que varient l'origine du saphir d'Athos ou la date du papier remis par Richelieu à Milady. Le récit ne prétend pas au réalisme, ni même à la stricte cohérence interne, il va son grand chemin, « à franc étrier », à bride abattue, il nous entraîne dans un tourbillon d'aventures échevelées, rebondissantes, où nous oscillons entre la surprise et l'attente comblée. Quant à y croire, Dumas ne nous en demande pas tant. Il nous invite à entrer avec lui dans le jeu, le temps de la lecture, sans bouder notre plaisir.
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Dès la Préface, il nous apprend que la donnée première lui fut offerte fortuitement : «Il y a un an à peu près, qu'en faisant à la Bibliothèque royale des recherches pour mon histoire de Louis XIV, je tombai par hasard sur les Mémoires de M. d'Artagnan, imprimés - comme la plus grande partie des ouvrages de cette époque, où les auteurs tenaient à dire la vérité sans aller faire un tour plus ou moins long à la Bastille - à Amsterdam chez Pierre Rouge. Le titre me séduisit : je les emportai chez moi, avec la permission de M. le conservateur, bien entendu, et je les dévorai. » La date est très approximative, le lieu inexact. Ce n’est pas à Paris qu'il découvrit ce livre, mais à Marseille, où il se trouvait de passage le 21 juin 1843. Il était lié d’amitié avec les deux frères Méry, qui dirigeaient la Bibliothèque de la ville. Il leur demanda de quoi meubler utilement son temps durant le trajet qui le ramènerait dans la capitale. Il emporta donc, en même temps qu'un Tableau de la vie de Richelieu, de Colbert et de Mazarin sans nom d'auteur, quatre petits volumes in-12 intitulés Mémoires de M. d’Artagnan. Ce mensonge véniel, visant à paraître plus sérieux, plus savant, n'aurait jamais été décelé s'il n'avait omis de restituer ses emprunts : la trace des lettres de réclamation envoyées en vain ont été retrouvées dans les archives de la Bibliothèque de Marseille !
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Mais pour décrire le climat qui régnait alors à la cour, Dumas s'inspire de Courtilz, qui évoque une période sensiblement postérieure, et il complète son information auprès de Brienne et de Tallemant des Réaux, peu soucieux de dater leurs anecdotes. Il en résulte une série d'erreurs, dont voici quelques exemples. En 1625-1628, la France n'est pas encore en guerre avec l'Espagne, Richelieu est déjà cardinal, mais pas encore duc, il passe toujours pour une créature de la reine mère et ne jouit pas de la confiance de Louis XIII, qui ne lui sera acquise qu'après la prise de La Rochelle. Nulle compétition ne l'oppose encore au roi par mousquetaires et gardes interposés. Ce n'est que vers 1640 que Louis XIII s'irrita de l'ascendant exercé sur lui par son ministre, et se dit parfois désireux d'en être débarrassé, au besoin par la violence ; et c'est tout à fait à la fin du règne, au temps de la faveur de Cinq-Mars, que Richelieu put craindre d'être tué par Tréville sur ordre de son maître.
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Les Mystères de Paris furent pour lui (Eugène Sue) le miracle qu'avait été Henri III pour Dumas, mais à une plus grande échelle puisqu'il touchait un public infiniment plus large. Le genre romanesque, parent pauvre du théâtre, s'imposait soudain dans le paysage littéraire.

La veille encore, Balzac peinait à se faire une place au soleil et Stendhal réservait aux happy few des années futures les délices incomprises de sa Chartreuse de Parme. Le moyen de diffusion inventé par Girardin offrait désormais aux romanciers d'immenses perspectives. Dumas ne s'y trompa pas. Certes l'admiration des lecteurs enthousiastes n'offrait pas la griserie des ovations au soir d'une première, mais les ondes s'en répercutaient plus loin et plus longtemps. Gloire et fortune pouvaient être au rendez-vous. Il commença donc de s'intéresser pour de bon au roman, sous son avatar récent de feuilleton.
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