À peine sur les rayons de mon libraire, que le nouveau roman de mon auteur de polars préféré, avait déjà rejoint ceux de ma bibliothèque.
Incontournable.
C'est un rituel.
Vite acheté, vite lu.
Le grand Michael m'a scotché sur mon fauteuil.
Même pas de surprise.
Addict je suis et addictif est son nouvel opus.
Renée, la nouvelle héroïne du maître, est en passe de gagner sa place, dans mon coeur de lecteur, parmi les personnages marquants de mon univers littéraire.
Elle n'a pas supplanté ce vieil Harry Bosch, bien évidemment et j'ai toujours plaisir à le retrouver, comme ici, dans un second rôle, trop discret à mon goût.
Mais elle fait son bonhomme de chemin.
Les ténèbres et la nuit, sont le royaume de l'inspectrice Ballard, elle aime son boulot loin de l'effervescence diurne.
En cette veille du nouvel an 2021, tout le monde au LAPD est mobilisé et alors qu'avec sa collègue Lisa, elle traque un duo de dangereux criminels, un appel les envoie sur une scène de crime.
Un garagiste a été atteint par une balle.
Accident ?
Renée flaire plutôt un assassinat.
Et même si elle n'est plus habilitée à traiter ce genre d'affaire, ce serait bien mal la connaître que de penser qu'elle va lâcher le morceau.
Nous voici donc entraîné dans deux enquêtes et quand Connelly est à la baguette, inutile de dire que la partition est rythmée.
Même si j'ai tiqué un peu sur une des explications finales,
Les ténèbres et la nuit reste un très bon polar.