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Robert L. Fish (Collaborateur)Michel Deutsch (Traducteur)
EAN : 9782234059597
253 pages
Stock (27/09/2006)
3.94/5   93 notes
Résumé :

Imaginez-vous à la tête d'un syndicat d'assassins qui tuent pour de l'argent, mais seulement quand le meurtre est justifié. Imaginiez qu'un client apparemment de bonne foi obtienne habilement de vous l'engagement de tuer avant de livrer le nom de la victime, et que cette victime, ce soit vous...

Ainsi Ivan Dragomiloff, fondateur et cerveau du très secret et très moral Bureau des Assassinats, signe son propre arrêt de mort et se trouve emb... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Roman loufoque, décalé et original écrit par un Jack London fatigué et malade; d'ailleurs les derniers chapitres seront écrits par un autre écrivain de polars du nom de Robert Lloyd Fish avec, quand même, les notés laissées par London.

Des personnages érudits et bienveillants, malgré leurs penchant à faire disparaître des hommes, qui recherchent la justice et la rectitude morale en chacun de leurs contemporains au risque de les assassiner ou d'y perdre leur vie s'ils ne répondent pas à leurs critères.

Humour noir garanti pour nos assassins du bureau des assassinats.
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Cette fiction comporte trois personnages principaux :

-- Dragomiloff , allias Constantine tête du bureau des assassinats , organisation qui se charge d'éliminer sous contrat , moyennant finance , toute personne , à la seule condition que ces meurtres soient moralement justifiés . Au cour du récit nous apprendrons qu'il est le père de Grounia et la prochaine victime de sa propre organisation .
-- Winter Hall , le fiancé de Grounia , socialiste mais " millionnaire socialiste " qui s'étant efforcé de percer le ressort des assassinats se trouve intimement mêlé à cette organisation et se met en tête de la détruire
-- Grounia une jeune femme à tendances anarchistes mais qui croit cependant que le socialisme est l'étape à franchir pour parvenir à la mise en place de l'idéal anarchiste et qui découvrira que Dragomiloff n'est pas son oncle mais son père .

Quelques critiques et même la quatrième de couverture qualifient ce livre d'oeuvre de pur divertissement ce qui est faire injure aux engagements politiques de l'auteur .

Sur le même thème quoique avec des techniques d'écriture différentes , Dostoïevski dans " les possédés " , Semprun dans " Netchaïev est de retour " ou Camus dans " Les justes " , ont donné leur point de vue . L'assassinat politique , son efficacité , sa justification , sa valeur y sont exposés à notre réflexion .

La violence première provient toujours du pouvoir et engendre une violence en retour qui se veut de vengeance , apte à mettre fin à une situation intolérable . Si l'on condamne la violence première est-on dispensé de juger la notre acceptable ? C'est le questionnement de ces ouvrages . Winter Hall , tranche en faveur de la non utilisation de la même arme que celle du pouvoir , est-ce justifié ? vous en jugerez par vous même , une fois ce livre lu .

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Le Bureau des assassinats n'est pas une organisation criminelle comme les autres. Constituée de philosophes éclairés (voire franchement illuminés) aux poignards aussi aiguisés que leurs esprits, elle supprime allégrement n'importe quel gêneur, mais à une condition expresse : que le meurtre du quidam en question soit bénéfique à la société – et en échange, bien entendu, d'une rondelette rémunération, mais que voulez-vous, ma p'tite dame, il faut bien vivre… Une entreprise, tout ce qu'il y a de plus moralement respectable, donc ! Hélas, tout le monde n'est pas de cet avis… Et vient le jour où un fâcheux rend visite au Bureau pour proposer un nom bien particulier, celui du chef de l'organisation en personne ! Une situation fichtrement embarrassante, il faut bien l'admettre, car si l'on s'en réfère au code moral très stricte de l'organisation, la marche à suivre est claire : si le meurtre demandé est socialement justifiable et l'argent empoché, il ne saurait être refusé…

Surtout connu du grand public pour ses romans d'aventure, Jack London surgit où on ne l'attend pas et nous offre une très divertissante histoire de fous, brouillant joyeusement morale et logique. C'est avec jubilation que l'on emboite le pas à cette aimable bande de déments qui constituent le Bureau des Assassinats, tout aussi timbrés que des belettes, mais si adorablement jetés et pleins de bonnes intentions qu'ils en deviennent irrésistiblement sympathiques. Leurs dialogues sont des merveilles d'humour noir et de non-sens ! Il faut saluer également l'originalité et la modernité de l'oeuvre de London qui se permet de doubler son roman d'une satire sociale d'une déroutante actualité et même bien en avance sur son époque – en effet, impossible de regarder ces dangereux théoriciens, sans penser aux membres du Politburo de l'ex-URSS (à noter que l'affable chef de ce groupe de cinglés est russe, ce qui témoigne d'une stupéfiante prescience de la part de l'auteur ou d'une coïncidence tout aussi surprenante). Je ne saurais trop recommander ce roman aussi drôle que captivant et je m'empresse, en ce qui me concerne, de me procurer le reste de la bibliographie de Mr Jack London !
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Étonnant roman que cet écrit inachevé de Jack London qui hésite entre le roman noir humoristique et le traité philosophique et de morale...

Vous souhaitez éliminer de la société un criminel qui a toujours échappé à la justice ? Adressez-vous au Bureau des assassinats. Cette étrange officine est une mystérieuse association criminelle aux ramifications internationales, qui, moyennant finances, se chargera de l'élimination de ce criminel après s'être assurée au terme d'une minutieuse enquête que votre demande est moralement légitime et que la personne à éliminer est si condamnable que son assassinat doit être considéré comme une purge bienfaisante pour la société. le Bureau des assassinats est administré par Ivan Dragomiloff, un homme extrêmement cultivé et aux critères moraux élevés. Les membres assassins du Bureau sont, à l'image de leur chef, tout à la fois philosophes et scientifiques, d'une intelligence supérieure. En disciples de Platon et Aristote, ils justifient leurs assassinats par des arguments d'une logique imparable, au nom d'une morale supérieure qui valide leurs actes comme nécessaires au maintien d'une société juste.

Mais tel n'est pas l'avis de Winter Hall, un jeune homme au profil atypique, millionnaire socialiste, qui décide de partir en croisade contre ce bureau. En faisant croire qu'il souhaite commanditer au Bureau un assassinat, il réussit à entrer en contact avec son responsable Ivan Dragomiloff et à le convaincre après de heures de débat philosophique que ces actes sont moralement condamnables. En conséquence, Hall demande l'exécution de Dragomiloff ! Ce dernier, convaincu de la justesse des arguments de Hall, donne immédiatement les ordres nécessaires à ses hommes : ceux-ci auront une année entière pour remplir le contrat ! Bien sûr, si Dragomiloff reconnaît l'immoralité de son Bureau et accepte cet étrange pacte, il n'entend point faciliter la tâche de ses exécuteurs et cherche à sauver sa peau par tous les moyens. S'ensuit une chasse à l'homme avec multiples rebondissements, révélations sur Dragomiloff...
Le récit est émaillé de nombreux face-à-face entre Dragomiloff, Hall et les autres membres du Bureau lors desquels tous se livrent à d'intenses joutes philosophiques en utilisant la puissance de la rhétorique et de la logique. La situation paradoxale du chef qui donne l'ordre de sa propre exécution à ses hommes est très distrayante : folie, absurde rigidité, sens de l'honneur poussé à l'extrême ou respect de la parole donnée ? Un peu de tout cela à la fois...

Mort en 1916, Jack London n'a pu achever ce roman mais avait laissé des notes pour la fin de son récit, qui sont détaillées à la fin du volume. Elles laissaient augurer un roman bien plus long, avec encore beaucoup de rebondissements et surtout une fin totalement différente de celle écrite en 1963 par Robert Lloyd Fish (écrivain américain né en 1912, auteur de romans policiers). Mais l'exercice de style aurait fini par tourner un peu en rond, par lasser et la fin envisagée par Jack London est assez décevante : celle de Robert Lloyd Fish, bien que peu surprenante, est plus réussie et s'accorde parfaitement à la psychologie des personnages.

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Serge Constantine dirige une société d'import-export et s'occupe comme de sa fille de sa nièce, la belle Grounia, qui doit lui présenter son prétendant le weekend prochain. Mais c'est sous le nom d'Ivan Dragomiloff qu'il passe le plus clair de son temps, en tant que responsable d'une petite société occulte et éthique, que peu de personnes connaissent sous son vrai nom, le bureau des assassinats. Ceux qui veulent faire appel à cette société suivent des règles simples : ils rencontrent Dragomiloff et indiquent quel individu doit être exécuté, avec une somme en liquide. Mais avant toute acceptation de contrat, le bureau réalise une enquête sur la personne à tuer, et vérifient que sa disparition est socialement justifiée. Parce que si le bureau oeuvre dans l'ombre, c'est éthiquement, dans l'objectif d'un monde meilleur.
Un certain Winter Hall a rendez-vous avec Dragomiloff, avec une requête assez particulière : c'est la justification même du bureau des assassinats qu'il remet en cause. Il demande donc l'assassinat de son responsable pour dissoudre cette organisation et engage avec Dragomiloff un échange d'arguments l'amenant à démontrer que l'existence du Bureau n'est pas justifiée et que Dragomiloff lui-même doit disparaitre !
Pour complexifier un peu l'histoire, on s'aperçoit bien vite que Hall n'est autre, bien sûr, que le beau prétendant dont Grounia est éprise.

Le bureau des assassinats est un roman inachevé de Jack London, publié à titre posthume en 1963. Les deux premiers tiers du livre sont de la plume de London, le dernier tiers d'un spécialiste de l'auteur, Robert L. Fish.
Le bureau des assassinats est avant tout un livre surprenant, surtout de la part de l'auteur de L'appel de la forêt et de Croc-Blanc. C'est une sorte d'apologie de la rationalité, de la logique sociale poussée à son extrême. Entre fable tragico-comique et roman d'aventures, London nous invite à nous poser un certain nombre de questions sur ce qu'est être un homme, quel est le rôle de la société, jusqu'où l'on est prêt à aller pour ses convictions, le rôle du créateur et de la créature, la place de tout homme dans le monde, etc... Et on le suit avec un grand plaisir dans cette folle aventure si raisonnée (ou cette logique si folle), on rit, on s'interroge, on s'affole, et en fermant le livre, les questions dont il traite nous accompagnent.
Un très bon moment, un très bon roman.
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
--Je m'aperçois à présent que je n'ai pas attaché suffisamment d'importance aux facteurs sociaux , dit Dragomiloff . Ces assassinats étaient mauvais socialement plutôt qu'intrinsèquement . L'individu n'est pas simplement un individu , il fait partie d'un ensemble d'individus . C'est en ne tenant pas compte de ce fait que je me suis fourvoyé . En réalité , je m'en rends compte , les meurtres que j'ai ordonnés n'avaient pas de justification . Maintenant .... Dragomiloff consulta sa montre . Il est deux heures . Cela a été bien long ! Maintenant , je suis prêt à payer . Bien entendu , vous m'accorderez le temps de régler mes affaires et de donner mes instructions à mes agents ?

-- Vous me prenez de court et , à parler franc , cela m'était complétement sorti de l'esprit . Peut-être n'est-il pas nécessaire d'en arriver à cette extrémité . Vous êtes désormais convaincu de la nature perverse de l'assassinat . la dissolution de votre organisation me suffira ....

-- L'individu en tant que tel conserve certaines prérogatives , en particulier le respect de la parole donnée .
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- Vite ! Vous n'avez qu'un pas à faire pour franchir la porte et vous enfuir.
Dragomiloff se contenta de lui adresser un sourire indulgent et répondit avec affabilité :
- Vous ne comprenez pas.
Les poings de Grounia se crispèrent rageusement et elle s'exclama dans un sanglot :
- Vous êtes aussi fou qu'eux !
- Mais, Grounia, ma chère, n'est-ce pas une admirable folie, puisque vous tenez à lui donner ce nom bien mal approprié ! C'est ici la pensée qui règne, et qui règne selon le juste. Je dirai, quant à moi, que nous planons aux cimes du rationnel et de la maîtrise de soi. La maîtrise de soi : voilà ce qui sépare l'homme des animaux inférieurs. Observez cette scène : voilà sept hommes décidés à me tuer. Et moi, je suis décidé à les tuer. Or, grâce au miracle du verbe, nous sommes convenus, eux et moi, d'une trêve. Nous avons confiance les uns dans les autres. Sublime exemple d'une inhibition transcendante !
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Dissoudre cette organisation qu'ils jugeaient socialement justifiée serait un crime monstrueux.
- Ce serait bafouer toute morale et nous ravaler au niveau des bêtes brutes, affirma Lucoville. Sommes-nous donc des bêtes ?
- Non ! Non ! Non ! s'écrièrent avec chaleur ses camarades.
- Vous êtes des fous, s'exclama Hall. Vous êtes aussi fous que le Chef !
- Les moralistes ont toujours été tenus pour fous, rétorqua Breen. Ils ont été considérés comme tels en leur temps par le troupeau. Il n'est pas un moraliste digne de ce nom qui puisse agir en contradiction avec ses croyances. C'est avec joie que les véritables moralistes ont accepté la persécution et le martyre. C'était la seule façon de donner corps à leurs préceptes. La foi ! Il ne s'agit pas d'autre chose ! Et quand avait passé la sottise de leur siècle, leur enseignement portait ses fruits. Ils avaient foi en la justesse de ce dont ils avaient la vision. La vie d'un homme compte-t-elle en face de la vérité vivante de la pensée ? Vaine est la maxime qui n'est pas mise en pratique. Serions-nous des dogmatiques n'osant prêcher d'exemple ?
- Non ! Non ! Non ! rugit le choeur.
- Habités par de justes pensées et menant une juste vie, nous n'aurons pas l'audace de nier par la pensée, et moins encore par l'action, les grands principes que nous défendons.
- Autrement, ajouta Hanover, nous ne saurions parvenir à la lumière.
- Nous ne sommes pas fous, jeta Alsworthy avec véhémence. Nous sommes les grands prêtres de la vie droite.
P. 114-115
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Des cercles de jeunes gens , des cercles de jeunes filles , des cercles de jeunes mères ... Et la garderie que vous avez organisée pour les femmes qui travaillent , hein ? En vous occupant de leurs enfants pendant la journée , vous permettez tout simplement à leurs patrons d'exploiter plus intensément les mères .
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Les trois assassins se levèrent précipitamment mais, d'un geste, Starkington leur intima l'ordre de se rasseoir.
- Nous avons encore le temps avant la marée, messieurs. D'ailleurs, l'armistice ne prend fin que dans douze minutes - son regard se posa sur le cadavre recroquevillé de Breen. Il nous faut d'ailleurs prendre des mesures pour le transport du corps de notre bon ami. Je suggère d'attribuer son décès à une malheureuse crise cardiaque. Hanover, si vous voulez bien prendre le téléphone... Je vous remercie.
Starkington tendit la main vers la carte des vins.
- Cela fait, je vous propose de boire un brandy, et un brandy corsé. Espagnol, peut-être ? C'est là ce qui convient pour clore un bon repas. Nous boirons à cette si délicate mission, messieurs. Et nous lèverons nos verres à la santé de l'homme qui l'a rendue possible.
Hall sursauta. Il allait protester contre cet humour macabre dont il faisait les frais mais, avant qu'il n'eût ouvert la bouche, Starkington lanca de sa voix sereine :
- A Ivan Dragolimoff, messieurs !
p. 149
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Videos de Jack London (42) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jack London
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