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EAN : 9782246143123
322 pages
Grasset (01/12/1999)
3.84/5   22 notes
Résumé :
Résumé

L'intrigue se noue au cœur d'une famille bourgeoise. Le notaire Oscar Révolou, qui menait une double vie, ruiné et abandonné par sa maîtresse, vient de se suicider, plongeant sa femme et ses trois enfants dans le chaos.

Autre résumé:
Ruiné par sa maîtresse, Oscar Révolou, un grand notaire bordelais, se suicide. Cette mort fissure la façade en même temps qu'elle révèle les fondations de deux familles estimées. Quand l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Un Mauriac peu connu qui malheureusement m'aura un peu perdue en chemin, après une première partie formidable.

Nous sommes dans ce milieu de bourgeoisie bordelaise d'avant-guerre; deux familles s'apprêtent à se lier par le mariage De Robert et de Rose, la fraîche héritière du notable Révolou. Les mères sont, bien entendu, amies. Mais voilà que la ruine tombe sur la famille Révolou, une ruine à laquelle la mère du vil Robert n'est pas tout à fait étrangère, et qui remet vite en cause pour elle l'intérêt de cette union.

Autant j'ai adoré le décor social planté et le récit du désastre au départ du roman, l'hypocrisie des relations déterminées par l'intérêt, les agissements en sous main de la mère manipulatrice obsédée par l'argent, autant j'ai eu moins de plaisir à suivre l'évolution des enfants des deux familles une fois la catastrophe advenue. Et pourtant, outre Rose qui met dans sa volonté farouche d'indépendance une certaine noblesse mais beaucoup trop de mièvrerie, le tableau humain composé par les différents garçons des deux familles ne manque pas d'intérêt entre le jouisseur assumé, l'opportuniste couard, le naufragé incapable de faire face et le rebelle que ces valeurs révulse.
Reste que les deux parties aux tonalités et rythme différents de ce roman balzacien sont unies par la plume élégante et délicieusement surannée de Mauriac, fin observateur de son milieu.
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Les chemins de la mer /François Mauriac
Dès l'entame de ce beau roman de François Mauriac publié en 1939 et qui retrace les destins croisés de deux familles de la haute bourgeoisie, on fait connaissance de nombreux personnages.
Tout d'abord du jeune Denis, fils de Lucienne et d'Oscar Révolou, et frère de la jeune Rose qui se prépare pour aller à un bal et attend la livraison de la robe de soirée en subissant les mots durs de sa mère qui a le don de s'acharner contre sa fille à la moindre contrariété et ne cache pas sa préférence pour ses fils, Denis le cadet et Julien l'aîné. Rose est presque fiancée avec Robert, fils de Léonie Costadot.
Oscar Révolou est un grand notaire bordelais, et cette famille bourgeoise mène un train de vie soutenu avec un maître d'hôtel, Louis Larpe, qui vient de recevoir un message de la part de Landin, fidèle premier clerc et homme à tout faire de l'étude, qui prévient qu'Oscar ne sera pas là de la soirée, retenu à leur château de Léognan pour ses affaires.
Denis qui ne manque pas de perspicacité et suspecte son père de mener une double vie, se demande quelle va être la réaction de sa mère à l'annonce de cette nouvelle, comme s'il suspectait une nouvelle fugue de son père que lui aurait soufflée son meilleur ami Pierre, dix-huit ans, le frère cadet de Robert Costadot.
À peine Landin reparti, c'est Léonie Costadot qui se présente au domicile de la famille Révolou qui pense qu'elle vient pour faire la demande de fiançailles concernant Robert et Rose. Mais il n'en n'est rien : Léonie est là pour ouvrir les yeux de Lucienne Révolou sur les écarts de son mari avec une célèbre danseuse, Régina Lorati, et pour réclamer une somme d'argent qui avait été confiée à l'étude pour la faire fructifier au moyen de bons placements, au temps où la marche de l'étude était prospère.
Léonie est une femme de caractère et ne s'en laisse pas conter : elle règne sur ses fils, Pierre le poète en herbe que sa mère traite de rimailleur, et Robert, un garçon faible et obéissant, l'amoureux de Rose qui poursuit des études médicales, et aussi Gaston, son fils aîné dont la maîtresse n'est autre que la danseuse qu'entretient Oscar. Gaston est un noceur et aussi l'enfant chéri de Léonie et c'est lui qui a appris à sa mère que la danseuse du Grand Théâtre était courtisée par le père de Rose.
Lucienne encaisse le coup tout en n'y croyant pas, et dans l'émoi, accepte de signer la procuration pour la restitution de la somme à la famille Costadot. Et Léonie ne s'ne tient pas là et laisse entendre que Rose et Robert, c'est fini. Elle ne veut pas subir les sarcasmes et les rires de ses relations. La ruine annoncée de l'étude Révolou ferait de l'union des deux jeunes une mésalliance honteuse. Elle enjoint Lucienne à partir au plus vite pour leur château de Léognan avant qu'Oscar n'y retrouve Régina, laquelle en fait est partie subrepticement en villégiature avec Gaston à Monte Carlo.
Suite à ces événements, les enfants Révolou sont sérieusement perturbés. Pierre s'exprime en haïssant l'argent justement parce qu'il le tient ; il sait que l'on ne peut échapper à l'argent car il sait que l'on vit dans un monde dont l'argent est la substance. Pour faire face, affirme -t-il, il reste deux alternatives : la révolution ou Dieu. Quant à Denis âgé de seize ans, le sentiment qu'il a toujours eu de n'être rien va en s'exacerbant. Heureusement son amitié avec Pierre Costadot qui lui fait découvrir sa poésie agit comme un baume.
le plus tragique pour la famille Révolou reste à venir. La mort et l'argent deviennent le fil conducteur du roman plutôt que l'amour. Quand l'argent se retire des maisons bourgeoises, les coeurs apparaissent à sec et se profile alors une banqueroute de l'âme. Seules deux figures échappent à ce naufrage : Rose, la répudiée christique et Pierre, l'enfant-poète.
Ce roman de la damnation constitue véritablement un des sommets de la noirceur et du pessimisme mauriacien. le combat sans fin de la chair et de l'esprit constitue le domaine privilégié de Mauriac dont l'âme des personnages est un royaume divisé contre lui-même. Toujours très fin observateur des moeurs et des milieux provinciaux, Mauriac nous émerveille par son style sans égal.
La relation houleuse et même tumultueuse entre un Robert Costadot pusillanime et une Rose Révolou rejetée est particulièrement bien analysée et mise en sombre lumière par Mauriac. de même la relation fusionnelle entre Denis Révolou qui a besoin d'être aimé car il a toujours le sentiment de n'être rien, et sa soeur Rose plongée dans la solitude de la répudiation, apporte une note plus chaleureuse au récit. Quant à Pierre Costadot, l'enfant-poète tout occupé de Cybèle et Atys, son chemin est étrangement inspiré :
« À suivre les foulées de Cybèle et Atys à travers l'herbe épaisse de juin, il n'avait pas cessé d'entendre les anges dans les branches ni de voir, par la porte entrebâillée de l'étable pleine de paille odorante, cette jeune fille assise avec l'Enfant qui sera crucifié… La mort au monde n'en faisait pas moins horreur à cet adolescent païen. Il avait toujours fui les prêtres bien qu'il les aimât. Il redoutait ces rabatteurs de Dieu et leurs filets où se prennent les belles âmes. Maintenant, il rôdait autour d'eux, mais comme un jeune renard mourant de faim et qui sait que cette proie saignante dissimule un piège…Vinrent les jours où il lut par hasard « le mystère de la charité de Jeanne d'Arc » de Péguy. Au déclin, nous avons peine à croire que notre destinée ait pu être infléchie par un livre. »
Magnifique passage. Un très beau et puissant roman.
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La fin des grandes familles.

L'argent est, paraît-il ce qui mène le monde et les hommes. Ce n'est pas François Mauriac qui aurait dit le contraire. Après avoir lu Les Chemins de la Mer, on en ressort plus que persuadé. Mais ce thème banal et patent dans tout le livre est loin d'être le seul et le plus exploité. Il fait figure de toile de fond, on s'y réfère souvent mais une fois acceptée son existence et sa prégnance, on constate qu'il sert plutôt à faire bouger hors d'eux-mêmes des personnages qui recherchent d'abord la stabilité d'une société bourgeoise aux valeurs établies une fois pour toute. Les sentiments, les passions s'avèrent être le deuxième moteur bien plus fondamental et bien plus perturbateur de ce monde bien ordonné et qui se perpétue grâce à une bonne dose d'hypocrisie. Les nouvelles générations participent de cette régénération des idéaux mais c'est principalement par la fuite et l'évasion de ce monde clos qui leur devient vite invivable, la grande ville (Bordeaux ou Paris) devenant le symbole de la liberté. Même si certains conservent encore un esprit casanier et traditionnel, ils se retrouvent pratiquement marginalisés.
L'unité du roman se bâtit sur les destinées de ces êtres perdus et qui cherchent malgré tout à essayer de se comprendre. Rose et Denis partagent une sorte d'amour discrètement et « sourdement incestueux », figure de l'amour impossible. Pierre Costadot, le poète, qui écrit des vers que l'on retrouve dans toute la trame du livre et qui reflètent les différentes situations que les personnages principaux sont appelés à vivre et dont le titre Atys et Cybèle, figure lui aussi de l'amour interdit. Enfin, Landin, le clerc de notaire, dévoyé, menant une vie de débauche, homosexuel malheureux et qui incarne un certain nombre des fantasmes de l'écrivain. Leurs destins seront évidemment tragiques dans le sens où ils ne s'épanouiront pas dans la vie qu'ils ont choisie. Mauriac nous montre souvent des personnages incapables d'introspection, inaptes à réfléchir sur eux-mêmes du fait de leur vie sociale et du matérialisme ambiant. Seules les âmes troubles et tourmentées parviennent à porter sur les autres et sur elles-mêmes un regard lucide, mais cette clairvoyance ne leur apporte pas un surcroît de bonheur, mais bien une solitude plus pesante.
Les Chemins de la Mer est un roman typique de Mauriac, mêlant une ambiance trouble à souhait, un rapport étroit entre le paysage et l'état d'âme des protagonistes, un pessimisme omniprésent, une réflexion à la fois constante et discrète qui n'entrave pas le cours de l'histoire et une construction parfaitement maîtrisée tant pour le style que pour le récit. L'amour sous toutes ses formes apparaît comme le révélateur des caractères des différents personnages souffrant de leur relation aux autres et de leur sentiment d'une profonde solitude. Il faut aussi souligner que, dans ce roman, encore davantage qu'habituellement chez Mauriac, les sentiments et les situations sont suggérées, sous-entendues, sous-jacentes ou seulement évoquées. Pour Mauriac, l'important, c'est la psychologie des protagonistes et leurs réactions face à l'adversité. L'auteur reste toujours au seuil du récit sans jamais enfermer ses personnages dans des cadres définitifs ou rigides. Ce roman réclame ainsi une lecture attentive de façon à bien pénétrer dans les arcanes de son déroulement, sinon on peut très facilement « décrocher » et passer à côté de l'essentiel.
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Ce roman m'a paru beaucoup moins abouti que Thérèse Desqueyroux ou La fin de la nuit. Si on y trouve la même analyse psychologique de l'âme humaine dans ses méandres d'immaturité, d'insécurité et de tourmente, on se perd dans l'abondance des personnages aux facettes multiples et changeantes, certains mourant prématurément, c'est -à-dire avant qu'on ait eu le loisir de bien les cerner. La mise en scène de l'ouverture a quelque chose d'outré, qui dérange. Elle nous plonge d'emblée dans une atmosphère lourde, une chape de plomb que le lecteur ne pourra plus soulever et, en ce sens, c'est réussi. Par contre, j'ai eu l'impression qu'elle avait été bâclée par l'auteur, parfois même incohérente, comme écrite dans un autre temps que le reste du roman. Les poèmes inclus dans le roman sont des pièces rapportées, parfaitement inutiles à la lecture du roman, comme si Mauriac avait trouvé là un ficelle pour faire lire ses vers. Bref, si je lui reconnais certaines qualités, le roman m'a paru manquer de « focus », comme une photo ou un tableau qui manque de sujet mais qui attire quand même l'oeil par des détails bien rendus.
En résumé, cette lecture m'a laissé l'impression d'une écriture un peu brouillonne où les excellents passages n'arrivent pas à trouver le cadre qui les mettrait en valeur…
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Lu ce roman de Mauriac qui n'est pas des plus connus et, à mon sens, pas de la meilleure eau, mais qui m'a tout de même intéressée.
Au début de l'ouvrage, Léonie Costadot, mère de Gaston, Robert et Charles, obtient de Lucienne Révolou, dont elle vient d'apprendre que le mari, notaire, est ruiné, une reconnaissance de dette personnelle pour les fonds confiés à son époux. le jour même, le notaire Oscar Révolou -dont le fils aîné de Léonie, Gaston, a chipé la maîtresse - se suicide et sa famille, composée de sa veuve et de ses enfants Julien, Rose et Denis, s'établit dans sa propriété de Léognan, à quelques kilomètres de Bordeaux. L'aîné, Julien, réagit à la ruine familiale et à la mise au ban de la bonne société bordelaise en se réfugiant dans la neurasthénie. Il se prétend souffrant et ne quitte plus sa chambre. Rose, bien que durement atteinte par la situation qui semble rendre impossible son union projetée avec Robert, accepte de bon coeur un emploi de demoiselle de magasin dans une librairie. Denis, encore collégien, est étroitement lié d'amitié avec Charles, qui compose un long poème, Cybèle et Atys, dont les strophes font parfois écho au roman. Sa mère et Rose s'emploient à débrouiller les affaires paternelles, avec l'aide du clerc Landin. Léonie ayant abandonné sa fortune à ses enfants, pour se dédouaner de sa démarche envers Lucienne Révolou qu'ils n'avaient guère apprécié, Robert, ainsi mis en mesure d'entretenir un foyer en poursuivant ses études de médecine, renoue avec Rose mais finit par l'abandonner car son activité salariée l'amène à se négliger quelque peu et elle ne l'attire plus guère. Après l'aveu du désamour De Robert, Charles - épris en secret de Rose - la ramène chez elle bouleversée. le régisseur de la famille Révolou, Cavailhès, s'associe à celle-ci pour exploiter le domaine qui retrouve sa prospérité. Denis, recalé au bac, noue une liaison avec la fille du régisseur Irène, plus par sensualité que par amour, lui fait un enfant et l'épouse en secret. La cohabitation entre Irène et Rose, la première semblant jalouse de la complicité qui unit la seconde à son frère Denis, s'avère des plus difficiles.
Le clerc Landin a fait preuve d'un dévouement sans limite à l'égard du notaire Oscar Révolu, qui négligeait ses affaires et dont l'étude n'aurait pu fonctionner aussi longtemps sans cet appui. Pourtant, après le décès de son patron, il découvre un agenda de celui-ci retraçant des réflexions selon lesquelles il représentait à ses yeux l'incarnation du mal, l'immonde, ce qui semble être aussi le point de vue du romancier. Landin, qui, monté à Paris, collaborait à des journaux à scandale, finira assassiné. J'ai eu bien du mal à entrer dans ses vues qui reflètent un catholicisme fort daté. de même, je m'étonne que l'auteur ait vu dans la tendresse discrète qui unit Rose et Charles une attirance incestueuse.
Il me semble que Mauriac a eu du mal à maîtriser la multiplicité des personnages et des points de vue, de sorte que l'oeuvre n'emporte pas une pleine adhésion.
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Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Denis regarda d'abord les deux pieds droits que le drap épousait. Le corps avait déjà la forme du sarcophage. [...]
Alors Denis se mit à trembler comme un arbre, de la base au faîte. Qu'est ce que ça faisait que ce fut son père ou un autre ? C'était un mort, le mort que nous sommes tous en puissance. La seule vérité indubitable, la seule certitude.
Comment les tramways marchaient-ils ? Il aurait fallu arrêter les trains, leur crier : "Ne savez-vous donc pas que vous devez mourir ?" Pourquoi lisaient-ils les journaux ? Que pouvait-il arriver d'important au monde puisqu'on était condamné à la mort ? Cette nouvelle rendait vaines toutes les autres nouvelles. Plus rien à apprendre, puisque demain serait jeté sur le tas, pourri, dissous. La seule vérité... S'il existe quelque chose d'autre, nous ne le savons pas. Nous ne sommes sûrs que de la mort. Les religions ? des colonnes dressées dans le vide, qui imposent un ordre apparent aux brumes et aux nuées, qui encadrent l'espace béant.
[...] Comment faisaient-ils, tous les autres, comment pouvaient-ils aller et venir, s'inquiéter de mille choses, s'attacher à un autre être aussi périssable qu'eux-mêmes, faire le geste qui ensemence de futurs cadavres, et entretient les rangs de la mort ? Ils croyaient, ils avaient la foi...
Mais il n'y a pas à croire à la mort puisqu'on la voit, on la touche à chaque instant, on la salue dans la rue...
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La vie de la plupart des hommes est un chemin mort et ne mène à rien. Mais d'autres savent, dès l'enfance, qu'ils vont vers une mer inconnue. Déjà l'amertume du vent les étonne; déjà le goût du sel est sur leurs lèvres - jusqu'à ce que, la dernière dune franchie, cette passion infinie les soufflette de sable et d'écume. Il reste de s'y abîmer ou de revenir sur ses pas...
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On devait pouvoir mourir ainsi, entrer dans la mort par l’immobilité, sentir son sang devenir sève, glisser sans heurt au monde végétal, passer d’un règne à l’autre, du règne de l’amour et de la douleur à celui du sommeil qui est tout de même la vie.
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Sa vie ressemblait à une page blanche sur laquelle un maitre inconnu aurait écrit en travers, d'une écriture irritée: Néant.
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C'est drôle, les riches ruinés, ça ne change rien à leur vie.
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