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EAN : 9782363710925
121 pages
Éditions Pierre Guillaume de Roux (04/06/2014)
4/5   7 notes
Résumé :
A l'occasion du centenaire de la mort du poète en septembre 2014, J.-L. Seigle livre un portrait rendant hommage à C. Péguy et une introduction à son oeuvre.
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Découverte due au plus grand des hasards… en flânant en librairie. Je me suis aussitôt précipitée sur ce texte inattendu de Jean-Luc Seigle, mettant à l'honneur un écrivain qui m'est complètement méconnu, ayant à l'esprit une « image préconçue »…transmise au fil des années : Péguy comme « écrivain catho réac ‘ »...

J'étais plus que bien disposée venant d'achever avec émotion et enthousiasme son roman, « En vieillissant , les hommes pleurent »…
Des thèmes communs : la transmission, l'amour des plus humbles, les destructions, gâchis insupportables causés par les guerres, l'esprit de résistance, l'écriture, l'amour et la magie des mots ,..qui ont le don de « réparer »les barbaries ainsi que les injustices, sur cette terre.

J'ai dévoré ce petit livre, petit joyau de poésie et d'admiration fervente, inconditionnelle de l'auteur pour cet écrivain hors du commun, délaissé, que fut et reste Charles Péguy.

Un hommage fort… qui retrace la courte vie de Péguy, son enfance pauvre auprès d'une mère, veuve, très aimante envers son unique fils. Cette femme courageuse, fortement croyante, rempailleuse du village, transmet à son fils sa vénération pour cette autre petite femme « courageuse et héroïque », Jeanne d'Arc….

« Sa grand-mère, rempailleuse elle aussi, lui a dit deux, trois choses simples de tous les jours et de tous les temps. Elle lui a dit toutes les métamorphoses : du jardin à la soupe, des champs de blé au pain, des bêtes à la viande, des épis de seigle au rempaillage des chaises. Elle lui a raconté comment raccommoder les choses et le temps, elle lui a montré comment rapiécer la vie tout en souriant. Personne ne sourit mieux que les pauvres gens. Mais attention, ni bienheureux béats, ni innocents idiots. Que peuvent-ils opposer d'autre au malheur pour le dérouter ? Les pauvres rempailleuses croient divinement qu'un jour les pauvres ne seront plus pauvres, qu'ils seront sauvés au ciel comme ils commencent à être sauvés sur la terre de la République » (p.34)

La sensation étonnante de retrouver de façon autre, mais proche la magie et la poésie de l'univers de Christian Bobin : de la poésie, de la spiritualité en célébrant les hommes simples , la vie modeste, les transmissions vraies… dans une authenticité bouleversante.

J'ai abondamment souligné… tant chaque mot est soigneusement choisi, intense, irradiant :
« Avant, qu'est-ce qu'on a à faire du reste du monde quand on a une mère qui sait rempailler les chaises trouées, un paysage qui a connu Jeanne d'Arc et une école de la République qui autorise toutes les promesses. » (p.43)

Ce livre flamboie d'amour : d'amour entre ce fils studieux, rêveur et une mère attentive, entre Marcel, l'ami, qui l'a encouragé à écrire sur cette figure singulière de « Jeanne d'Arc », malheureusement mort prématurément d'une pneumonie, avant d'avoir eu le temps de transmettre à Charles, ses impressions sur son manuscrit... Ce dernier, profondément abattu et désespéré, redoublera d'énergie pour écrire, encore et encore, pour sa mère et la mémoire de ce meilleur ami…

« Tous les jours il est en retard et tous les jours il devance les autres et atteint la première place. Il est aimé de ses maîtres d'école. Il a tous les livres qu'il désire lire à la maison. Et il y a surtout sa mère qui le protège de tout. Elle se tuerait à la tâche pour qu'il puisse lire à haute voix le soir pendant qu'elle rempaille une chaise de plus. Il lui a lu les grands poèmes à haute voix, « Les pauvres gens » de Victor Hugo. Comme il lisait bien l'enfant Péguy. Comme il faisait sonner chaque mot pour le plaisir de la lecture. (p.47)

Je disais… et reconfirme ce « petit trésor de livre »… qui a ébranlé les images toutes faites et au demeurant, injustifiées envers l'oeuvre de Péguy, que j'avais en tête ; j'ai appris de nombreux éléments sur la vie, la formation, les convictions, parcours catholique, puis socialiste de cet auteur qu'on a maintenu dans une image étriquée de l'église catholique.

« Alors,
Il faut agir. Agir c'est écrire. Il faut qu'il écrive SA Jeanne, la Jeanne de sa mère et de sa grand-mère, la Jeanne du temps de l'école de la République. Il faut qu'il écrive contre le mensonge des images, contre l'Eglise, contre le baroque qui n'engendre que des paralysies. Et puis, il faut publier ce que l'on écrit. C'est le moment aussi pour lui d'apprendre un vrai métier, comme son père qui était menuisier et sa mère rempailleuse. Il entre comme apprenti typographe. Ecrire et imprimer. Oui, il sera écrivain et typographe. Mieux, écrivain-typographe et éditeur. Il ne veut aucun intermédiaire entre lui et le lecteur auquel il sait déjà qu'il va demander beaucoup. » (p.76)

Un hommage détonnant et épatant… qui m'a bousculée dans mes a-prioris, et me donne la curiosité de lire enfin… ce Charles Péguy… qui était trop lié aux institutions religieuses dans lesquelles, j'ai fait la majeure partie de ma scolarité…

Grâce à l'empathie, l'admiration communicatives de Jean-Luc Seigle pour Péguy, l'homme comme l'écrivain ( étroitement liés dans les objectifs et les aspirations), je vais aborder les écrits de Charles Péguy, avec un regard neuf, et plus informé …
J'achève cette chronique sur un dernier passage qui met en relief un aspect très affirmé également dans « En vieillissant, les hommes pleurent », c'est la nécessité d'un esprit de résistance pour rester digne dans sa condition d'homme…

« le seul miracle que Jeanne ait fait et qu'elle peut faire encore, pour peu qu'on ouvre le livre de Péguy, c'est de nous appeler sans cesse à la résistance, sans cesse à croire de toutes nos forces en l'Homme, en sa puissance et en sa force sans quoi il ne peut y avoir d'engagement, ni de combat pour renverser les injustices du monde injuste. (…) C'est une poésie que seul un fils de rempailleuse pouvait laisser en héritage au monde. C'est un Credo. (p.116)


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Beaucoup d'ouvrages paraissent et paraîtront à l'occasion du centenaire de la mort de Péguy. Sans doute des biographies bien plus complètes, mais pas une, je crois, qui soit aussi débordante d'amour.
Amour de Péguy pour sa mère. Pour le travail bien fait. Pour la France. Pour la future sainte Jeanne d'Arc. Mais aussi amour de l'auteur, Jean-Luc Seigle, pour une oeuvre dont il a un jour connu le choc. Amour exprimé, tout au long de ce mince recueil, dans un superbe style poétique, dont les métaphores sont remplies de l'empathie entre le biographe et le poète. Ainsi l'écriture de celui-ci qui " passe et repasse les phrases entre elles, les tresse, les affine, les noue, les mouille, les tend, les retourne et recommence." est-elle assimilée au travail de sa mère rempailleuse. Ainsi la République est-elle vue comme un oiseau "...qui vole haut, très haut, et dont l'ombre portée sur la terre attrape toute la misère et colore sa grisaille."
Je ne m'étendrai pas sur les éléments biographiques. L'enfance pauvre, illuminée par la belle figure maternelle et par l'accès à l'école et au savoir. La rue d'Ulm et l'amitié. L'influence de Jaurès,qui porte aux oreilles du jeune étudiant " la voix du peuple qui souffre". L'idéal socialiste, bientôt déçu car il devient " un Parti unifié et unique".. La mort sous les balles ennemies, mort apothéose pour celui qui voulait "remettre la Lorraine dans la terre de France et réunir le pays de Jeanne à sa patrie".
J'en viens à la figure de Jeanne et à ce titre, d'abord énigmatique "Le cheval Péguy. Un mystère ".
En effet, le nom du cheval de Jeanne est mystère pour le petit Péguy, jusqu'au jour où il comprend que "Le cheval de Jeanne, c'est le peuple de France qui la porte et qui la soutient". Mais Jeanne est, en même temps, "Le cheval de bataille du poète". Et un "mystère", c'est aussi du théâtre religieux pour les humbles, et c'est ce que Péguy veut réaliser par son oeuvre, quand il s'aperçoit qu'on fait de la petite bergère une sainte de vitrail.
C'est la voix innocente de cette petite bergère qu'il veut faire entendre aux humbles, une petite bergère " qui leur ressemble, qui doute comme eux, qui croit comme eux, (...) mais qui réclame la justice", et qui - et ce sont les dernières livres de Jean-Luc Seigle - réalisera un seul miracle " nous appeler sans cesse à la résistance, sans cesse à croire de toutes nos forces en l'Homme en sa puissance et en sa force pour renverser les injustices du monde injuste".
Merci à l'auteur, aux éditions Pierre Guillaume de Roux et à l'opération Masse Critique de nous aider à ne pas oublier ce message.
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Ce livre est un portrait de Charles Péguy et de « sa Jeanne ». Nous le découvrons enfant, fils d'une rempailleuse, très bon élève de l'école de la République. Péguy dès son plus jeune âge est bercé par l'histoire, je devrais dire l'épopée de Jeanne d'Arc. Il est admis à l'École normale supérieure, ou il fait la rencontre de Marcel, son ami. Vient l'époque du Socialisme de Jaurès qui n'est pas encore un parti mais une idée qui circule à travers la France, la République et ce qu'est la bourgeoisie qui ne pense qu'à engranger de l'argent, décrite avec force et conviction par Jean Luc Seigle. Péguy renonce à l'agrégation et rentre à Orléans pour écrire « sa Jeanne ». Pour lui écrire, c'est naturel, il veut reproduire le désordre de l'écriture sur le papier imprimé, car écrire ce n'est pas facile, c'est un travail d'acharné, Péguy dit qu'il faut être possédé par l'écriture et non la maîtriser. Et pour finir la guerre de 14-18 où Péguy part au front dès les premières heures de la mobilisation. Jean Luc Seigle pour conclure écrit « le sel miracle que Jeanne ait fait et qu'elle peut faire encore, pour peu qu'on ouvre le livre de Péguy, c'est de nous appeler sans cesse à la résistance, sans cesse à croire de toute nos forces en l'Homme, en sa puissance et en sa force sans quoi il ne peut y avoir d'engagement, ni de combat pour renverser les injustices du monde injuste. Et ce n'est pas non plus une sainteté que d'avoir cru en ces choses si simple, si difficiles à dire et à faire, et encore plus difficile à écrire. C'est une poésie que seul un fils de rempailleuse pouvait laisser en héritage au monde. C'est un Credo ».
C'est un très bel hommage que nous donne à lire Jean Luc Seigle, il a réussi à me donner envie d'aller découvrir Charles Péguy et surtout de le lire.
Merci à Jean Luc Seigle pour ce très bon moment de lecture, pour le plaisir de retrouver la force de son écriture.
Un grand merci à Babelio et aux éditions Pierre Guillaume de Roux pour cette découverte réalisée dans le cadre de l'opération Masse Critique !
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Parmi les hommages à Péguy, dont l'anniversaire de sa mort trouve le prétexte, le livre de J l'Seigle est original : « pièce d'écriture », comme l'indique la collection dans laquelle elle s'insère.

le « cheval » de Péguy, l'anonyme monture de Jeanne, figure tutélaire, de l'existence de l'écrivain, est Pégase, celui qu'emprunte le poète. On retrouve dans l'écriture le souffle de celui dont les textes se disent plus qu'ils ne se lisent, de celui dont la Voix fait entendre les voix intimes qui l'assaillent, de celui pour lequel la répétition a fonction à la fois de force de conviction et de pulsion rythmique, de celui qui mit son talent au service de la justice sociale, avec Jaurès ,du souci de la vérité avec Dreyfus, du christianisme militant des nouveaux convertis, et du patriotisme qui en fit un héros.

Dans le même mouvement de ce style si personnel par lequel l'auteur est porté, sont dans un texte court présentés les grands moments d'une vie généreuse et engagée, où en filigrane apparaissent les convictions complices. En contre point, un narrateur qui aurait gardé la naïveté et l'humour spontané de l'enfance, l'autre nom de la poésie, comme ces personnages en retrait du théâtre de Giraudoux ou d'Anouilh, qui parlent sur scène comme les choeurs antiques, ou dans les romans comme Christian Bobin. Sa mère, nous est-il rappelé à plusieurs reprises était rempailleuse, entrecroisant les brins de paille (de seigle), et les « pièces » de Péguy ne sont-elles pas conçues comme des tapisseries..., et comme cet opuscule (petite oeuvre, au sens littéral).

Pardon de trop parler du style, mais comme pour d'autres grands auteurs, peut-on parler de l'homme sans retrouver le style et alors tout est dit. Une incitation à lire JL Seigle, comme une mise en selle,(pardon des mauvais jeu de mots), et tout Péguy dont on nous annonce une nouvelle édition de la Pléiade !

Et Jeanne dans tout çà, dont le cheval est pris pour incipit : une figure du Père , mort trop tôt ,et victime de son engagement ? Pour ne pas pleurer, les hommes, en vieillissant ont besoin d'un père...
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Une étonnante lecture, d'un écrivain que je ne connaissais pas et qui devait venir dans ma bibliothèque pour parler de son dernier livre (et finalement empêché !). Bref, depuis le temps que j'entendais Alain F. sur France-Culture louanger ce Péguy, voilà son histoire qui m'est raconté dans ce petit livre. Les parallèles entre le travail d'écriture et celui de tisser les dossiers de chaise sont intéressant; beaucoup d'effort. le caractère courageux et déterminé de sa mère veuve et qui élève seul et avec beaucoup d'amour son fils avec pas grand chose mais l'essentiel et qui lui transmet l'histoire de Jeanne d'Arc. Tout cela me rend curieux de lire cet auteur pour me faire ma propre idée !
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Le soir, il en lit quelques passages à sa mère (cf.son texte sur Jeanne d'Arc) et fait tomber chaque page lue par terre dans la paille. Elle comprend tout. Et dire qu'il a écrit ces choses, assis sur la chaise qu'elle a rempaillée. Jamais elle n'avait rempaillé une chaise d'écrivain, jusque-là ces chaises servaient à s'asseoir pour manger la soupe, ou pour discuter. Mais une chaise pour écrire, elle n'était pas sûre de la réussir si bien. C'est si beau ce qu'il a écrit. Si elle pouvait, elle rempaillerait bien toutes les chaises de ce théâtre où l'on va entendre la voix de Jeanne. Bien assis, sur les mêmes chaises que la chaise sur laquelle l'écrivain s'est assis pour écrire, ça devrait sûrement nous aider à mieux entendre encore. Elle sait comment doivent être tressées les chaises pour écouter: c'est elle qui a rempaillé presque toutes les chaises de l'église. (p.85)
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Des hommes aussi, des hommes enfin qui sachent lire, et ce que c'est que lire, c'est-à-dire que c'est entrer dedans; dans quoi, mon ami; dans une oeuvre, dans une vie, dans la contemplation d'une vie, avec amitié, avec fidélité, avec même une sorte de complaisance indispensable, non seulement avec sympathie, mais avec amour; qu'il faut entrer comme dans la source de l'oeuvre; et littéralement collaborer avec l'auteur; qu'il ne faut pas recevoir l'oeuvre passivement..." Charles Péguy - Clio. Dialogue de l'histoire et de l'âme païenne (en exergue de cet hommage)
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Il ne croit qu'au travail acharné sans lequel il n'y a pas de travail bien fait. C'est sa mère, avec ses chaises rempaillées, qui lui a donné le goût de la belle ouvrage. Il faut écrire aussi comme s'il devait mourir dans peu de temps, à la fin de chaque texte, à la fin de chaque chaise rempaillée. Il écrit nuit et jour. Mais il se méfie de la littérature, il sait qu'elle tient de la maison bourgeoise bien rangée, aussi bien rangée que des mots sur les pages d'un livre, bien alignés, noir sur blanc, où chaque chose est à sa place. (p.98)
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D'ailleurs il n'y a pas d'architectes pour des maisons de pauvres; et les pauvres font avec le vent et la pluie, avec la paille et la glaise, avec le bois et la pierre, tout ce qu'ils trouvent autour de l'endroit où ils veulent bâtir la maison pour les siècles des siècles. Et c'est ainsi qu'ils ont inventé les villages. (p.40)
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La poésie est une chose que l'on ne comprend pas et qui vous guérit de tout. La poésie dit avec les objets visibles les choses invisibles. (p.32)
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