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EAN : 9782380352139
186 pages
Massot Édition (16/01/2020)
3.87/5   39 notes
Résumé :
Pacôme Thiellement a décidé de plonger dans ses douleurs les plus vives pour les transformer et fait appel à son expérience foisonnante mais aussi à sa connaissance des grands maîtres spirituels , des gnostiques, des poètes et des stratèges chinois. Un récit initiatique où l'intime convoque l'universel.
Que lire après Tu m'as donné de la crasse et j'en ai fait de l'orVoir plus
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Ariel et Caliban, en une plume réunis.

Il y a chez Pacôme Thiellement une grâce et une joie qui tiennent à la fois de la légèreté et de la profondeur. Toute son oeuvre d'exégète, à la fois savante et populaire, contemporaine et antique, érudite et immédiatement accessible, en témoigne.

Pacôme parle à ses lecteurs comme le ferait un ami enthousiaste, il leur parle de tout. Des séries télévisées qui portent dans notre présent la forme des mythes du passé et les enseignements des sagesses hermétiques. Des chansons populaires et des musiques qui, de nos lèvres à nos têtes scandent au quotidien les mystères sans âge.
Tous les domaines et tous les temps passent au fil de ses livres et tout ce qu'il évoque s'éclaire : Twin Peaks, Frank Zappa, la gnose, Buffy. Tout est frappé de sens quand Hermès-Pacôme pose sa baguette d'or sur une note, un épisode ou un dessin.

Cette baguette d'or, c'est son secret que Pacôme nous livre dans ces pages. le secret d'une alchimie de larmes, larmes de joie et de douleur. le secret d'un labyrinthe qui le conduit tantôt du côté de Caliban et tantôt d'Ariel. Puck et Bottom par alternance.

Des sanctuaires du Japon aux rues de Paris, suivez Pacôme dans cette conversation, suivez sa voix. Il y a dans ce livre, radicalement différend de tous ses autres ouvrages - même l'on sent poindre dans Sycomore Sickamour les ombres qu'il explore ici - une tension parfaitement tenue, dans le style comme les thèmes, entre l'intime et l'universel. Il y a surtout la voix de Pacôme, le sentiment que chaque mot, de la première à la dernière ligne, s'adresse personnellement à vous. La voix d'un ami dans la nuit, un long dialogue que l'on parvient difficilement à interrompre. J'ai lu le livre d'une traite et déjà la compagnie de son auteur me manque. Sa chaleur et son intelligence.

Il y a chez Pacôme quelque chose que j'envie.

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Ce que j'ai ressenti:

▪️Transformation Alchimique…

Et si je voulais cette lecture, c'était pour ce titre. J'ai eu un coup de foudre, une attirance. Donc je voulais vraiment ce que je veux: ce titre. Pas un autre. Juste lire de l'or. Voir une transformation hors du commun. Sans doute, que la façon de voir et ressentir cette approche du bonheur est visionnaire. En tout cas, Pacôme Thiellement m'a fait forte impression avec cette lecture, parce qu'il y a de l'émotion brute née des malheurs de sa vie. Et il offre avec ce livre, des méthodes pour que malgré les épreuves, on puisse puiser des idées pour s'approcher du bonheur. Il y a un mélange d'intime et d'universel, d'émotions et de méditations, d'autobiographie et d'essai et c'est cet étrange « mix », qui en fait toute la magie. Je n'ai pas pu décrocher de ma lecture, je l'ai lu d'une traite et il m'a fascinée.

"Sans malheur, pas de bonheur.(…) le bonheur, c'est du malheur converti, transmuté, métamorphosé."

▪️Illusion de labyrinthe…

Parce que c'est tortueux la vie, les sentiments, il faudrait peut-être savoir où l'on va, ce qu'on veut, ce qu'on aime, ce qu'on sait, mais dans ce monde infernal, rien n'est moins difficile. La crasse est partout, le malheur est contagieux et le monde, un foutu enfer. Certes. Mais il y aura enfin un livre, qui fera écho dans mon petit monde pour les moments difficiles à passer (deuils, peines, trahisons, douleurs…). Inconsciemment, on sait qu'on sait, et là, je savais que ce que je lisais avait un sens et des résonances dans ma perception de cette vie sur terre, ou mieux encore que j'avais adopté quelques comportements et réfléchis à ceux à venir. J'ai emprunté le labyrinthe de Pacôme Thiellement, et j'ai suivi ces états d'âmes, ses références littéraires, son parcours humain…C'était beau et triste, inspiré et poétique, vivant tout simplement. Et quand je suis arrivée à la fin, il y a eu comme cette étincelle. Je n'ai pu m'empêcher de penser que ce livre est une merveille.

"Seuls les êtres généreux sont susceptibles de voir la Beauté dans ce monde. Eux seuls sont capables de vivre une vie réellement poétique. Mais leurs espoirs sont sans cesse mise en pièces par la réalité. Leur joie de vivre se ternit à mesure que la vie s'acharne sur leurs rêves."

▪️Un bijou littéraire.

Et si j'aimais vraiment ce que j'aime, alors je vous dirai que j'ai aimé passionnément cette lecture. Tellement aimé. Aimer Thiellement. J'ai trouvé un trésor, d'or qu'on ne voit pas, mais qu'on ressent. C'est tellement plus puissant et exaltant…J'ai été soufflée par ces pensées altruistes et bienveillantes, j'y ai trouvé du réconfort mais aussi de la force, et une inspiration pour ma vie personnelle. J'aimerai qu'il vous touche au même point. Je le souhaite de tout mon coeur. Que le bonheur vous inonde. Ce livre, c'est de l'or en pages. Magnifique.

"Si nous ne sommes pas capables de devenir le magicien de notre vie rêvée, alors personne ne le fera à notre place."

Ma note Plaisir de Lecture 10/10
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J'ai bien aimé cet essai autobiographique et ses réflexions sur l'art de prendre en charge sa vie et de transformer en or (sagesse et sérénité sans cesse à reconquérir) le malheur inhérent à la condition humaine.

La référence aux "sans roi", ou gnostiques m'a un peu dérangée au début : elle ne m'a pas paru absolument nécessaire pour étayer la philosophie et l'éthique de Pacôme Thiellement, qui sont suffisamment convaincantes sans ce sous-bassement métaphysique.

Depuis qu'il y a des hommes, il y a des religions : les monothéismes, dernières nées, se sont manifestées avec une telle intolérance que je suis dégoûtée des crédos de toute sorte, et des systèmes qu'on échafaude dessus. Pourtant le gnosticisme a sur eux la supériorité de fonder le salut de l'homme sur l'expérience directe de la divinité et sur la connaissance de soi. Cela ouvre, il est vrai, des horizons plus larges que les croyances fanatiques reposant sur la culpabilité et l'exclusion d'autrui.

Et puis peut-être avons-nous besoin de faire reposer notre univers sur de splendides histoires dont l'erreur, de toute façon, ne sera jamais démontrée.

Pascal nous dit que certain pari ne saurait être démenti. Vision pragmatique, cynique, que sa soeur Jacqueline n'aurait pas approuvée.

Mais irréfutable.

Alors pourquoi pas le gnosticisme et les Sans roi ?

L'auteur titille quand même la curiosité, il s'y prend fichtrement bien et ce qu'il expose semble moins "hors sol" que le récit habituel : celui d'un Dieu qui crée un mâle, Adam, sans la femelle, et se rend compte soudain qu'il manque quelque chose (son plan avait dû prendre l'eau ou alors il s'était endormi dessus ) ; qui tire à la va-vite la partie manquante d'une des côtes de la créature ( ! ), puis abandonne les deux tourtereaux dans un soit-disant paradis, car les lieux ne sont pas sûrs, la preuve, il y a un serpent ! ; d'ailleurs puisqu'on aborde le sujet, il y avait bien déjà un bisbille entre le Tout-Puissant, infiniment bon, infiniment parfait, et l'un de ses anges, le pauvre Lucifer, ou je rêve ? ... C'est donc que le Mal existait déjà ? Pour finir, Dieu, loin de féliciter l'homme et la femme pour leur soif de connaissances, les aurait punis ?

Comment avoir confiance en un Dieu pareil ?

Une tel récit pèche en escamotant l'origine du mal et ni vu ni connu se rétablit péniblement (et malhonnêtement ) en introduisant en l'homme le péché originel (or nous avons vu que le mal préexistait à l'homme). Pourquoi alors ne pas aller chercher du côté des Sans roi ce qu'ils ont à dire sur l'origine du mal ?

Mais je persiste à penser que le livre aurait tenu la route sans tout ça : il est brillant, intelligent, étonnamment honnête : ça fait du bien qu'un homme livre ses tâtonnements et ses difficultés pour illustrer sa progression vers le bonheur. Il n'a pas la bien-pensance à la mode, appelle un chat un chat, n'accuse pas les vilaines femmes de castrer les hommes car, trompés par le mauvais "démiurge" (voir ce que signifie ce mot dans l'essai), ils se castrent eux-mêmes ; il lui arrive de dérailler carrément, mais c'est pour tirer des leçons de son hors route et se remettre sur la voie ( la folie n'est jamais souhaitable) ; mais la voie qui lui convient, pas celle qui lui est soufflée par le prêt-à-penser.

Aime ce que tu aimes, veux ce que tu veux, connais ce que tu sais, sois celui que tu es.

Pour vivre le plus possible en harmonie.

C'est le travail d'une vie.
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Propos sur le bonheur !

Tu croyais que c'était de l'or, mais ce n'était que du sable !

Je me suis peut-être un peu trop précipitée pour l'achat de ce livre, qui ne correspond pas à mes centres d'intérêt...

Pacôme Thiellement est un essayiste, poète, dessinateur, vidéaste et réalisateur découvert sur les réseaux sociaux. le litre de son ouvrage m'a interpellée et ce livre était conseillé par un ami.

L'auteur en décrivant ses malheurs, devient philosophe et donne ses solutions pour lutter contre la douleur.
Mais, j'ai trouvé ses expériences peu convaincantes (des déceptions sentimentales, amicales, le deuil du père...) : ce sont des douleurs que je trouve classiques, mais pas, comme le précise la quatrième de couverture, "des douleurs les plus vives".

Ses solutions : beaucoup de références à la bible et à la religion catholique, les philosophes chinois qui permettent, pour lui, de chasser le démon qui nous déprime. Et surtout prendre sa vie en main, aimer ce que l'on aime, et savoir ce que l'on veut !
Ses amis lui reprochent d'être un gourou, je le pense aussi, avec son ton sec, sentencieux, ordonnant, impératif.

Bien sûr, qu'il faut lutter quand on est atteint en plein coeur, mais les idées de Monsieur Thiellement me sont apparues superficielles pour des blessures très normales dans une vie. Que dire, lors de la mort d'un enfant, d'un conjoint, du chômage, de la faim, de l'isolement , du viol, du suicided'un proche ?

Je n'adhère pas aux propos de l'auteur sur l'art : pour lui, l'art n'est pas fait pour les boulimiques et devrait être vendu plus cher ! Sait-il les sommes qu'atteignent aux enchères les peintures ? Connait-il le prix d'un DVD ou d'un livre ! plus de 20 euros ! Les prix sont déjà exorbitants pour des faibles revenus... et les augmenter ne bénéficiera pas à l'artiste mais aux trop nombreux intermédiaires !

Un livre de pseudo-philosophie qui ne m'a pas convaincue, écrit dans un style simple, répétitif, par un bourgeois-bohème, comportant de nombreux changements dans la typographie sans raison...
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découvert par la précieuse contribution des éditions Massot lors de la généreuse opération Masse Critique Littératures : une avalanche de romans. mais ce n'est pas un roman. Pacôme Thiellement, journaliste, essayiste, nous parle de lui, de ses peines. avec son bagage culturel et spirituel, il se confie sur son côté obscur et nous fait don de ses réflexions.

cet homme barbu, (il a du vécu), nous présente, en couverture, un visage apaisé illuminé qui contraste avec la noirceur de l'arrière plan.
le décor qu'il plante c'est sa vie, sa jeunesse, ses trois amours (déboires amoureux et sexuel), sa dépression, l'amitié trahie, l'humiliation, la jalousie, sa folie, ses deuils, ses choix, sa compréhension de la vie et des rouages de la société.

ce qu'il nous explique ici, c'est l'origine de nos malheurs. il développe les concepts de preta, d'âme adventice, de Demiurge, de Sans Roi, qui ont fait l'objet d'un précédent livre, il le mentionne à plusieurs reprises. matraquage publicitaire ou invitation à en savoir plus ? ces idées sont ici suffisamment illustrées pour être comprises de tous sans recourir au tome précédent.

il livre ses combats :
- le végétarisme qu'il oppose au carnisme des chrétiens sur lesquels il s'acharne et qu'il décrit comme des mangeurs de viande, avides des souffrances animales,
- la télévision. je ne comprends ni ceux qui l'encensent, ni ceux qui la détestent, surtout s'il s'agit d'un inconditionnel d'une série américaine à laquelle il a consacré des essais. objet, écran et télécommande, un canal de diffusion.
- le désespoir politique.

je m'attendais à recevoir une connaissance plus approfondie de la religion. aucune exégèse du Coran, étonnant pour un tel érudit.
cet acharnement sur les chrétiens sans distinction, sa volonté de tuer un présentateur TV japonais, cette violence en lui dérangeante. un manque de nuance déplaisant. c'est pourtant la sagesse que j'espérais trouver.

il y a aussi cette écriture qui rend la lecture éprouvante. l'adresse aux lecteurs est toujours difficile dans les livres destinés à diffuser un savoir ou une nouvelle culture de soi. ce monologue que l'on ne peut que subir et qui se décline par des injonctions, les Commandements de Pacôme Thiellement. phrases répétées plusieurs fois telle une incantation, un psaume, une leçon d'auto-persuasion ?

les références spirituelles, culturelles, télévisuelles et musicales (Kevin Ayers, Jacques Monestier, de belles découvertes, pour moi), les réflexions sur la valeur de l'art, l'amitié, la mort, l'expérience de la mort de son chat, la disparition des oiseaux, sa relativisation de l'échec... autant de citations à venir, si elles ne sont pas déjà ici répertoriées.

je n'ai pas eu suffisamment de nouvelles pistes de réflexion. je n'ai pas acquis davantage de sagesse que je n'en avais déjà. et pourtant je sais très bien qu'il me reste tant à apprendre.
la crasse je l'ai bien perçue. l'or beaucoup moins.
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Citations et extraits (75) Voir plus Ajouter une citation
Si nous ne sommes pas capables de devenir le magicien de notre vie rêvée, alors personne ne le fera à notre place.
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Notre vie est la description d’une guerre contre une partie de nous-mêmes qui n’est pas nous. Et ce que cette dernière essaie de nous faire croire, c’est également le mythe que « seuls les salauds gagnent » et que « les bons seront toujours perdants », ce serinage incessant inventé pour enténébrer notre cœur, que ce soit par le cynisme ou par la dépression. Cette idée engendre le cynisme si ce mythe nous rend salauds ; elle engendre la dépression si ce mythe nous remise, par le désir de rester honnête, dans le camp des perdants. Tous ces effets collatéraux de notre traumatisme premier, toute cette compulsion à répéter le malheur subi sont les effets de la présence de cette âme adventice. Alchimie, anamnèse : toute une vie ne suffirait pas à nous apprendre à vivre.
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En juin 2002, j’ai vingt-sept ans. Je pars au Japon avec Setsuko qui est alors ma compagne. Nous débarquons à Osaka, une ville qui m’émeut immédiatement, en particulier le contraste entre les rues ordinaires grises, humides et douces, et les temples shinto ouverts, colorés, éclatants. Puis nous nous rendons à Tokyo où nous nous amusons énormément de la façon dont les magasins japonais ont recyclé la langue française pour la transformer en quelque chose d’autre : la boutique de fringues chics Comme Ça du Mode, par exemple, mais aussi des restaurants qui se nomment, sans pronom, Table, Mouton, Grand Rêver. Il y a même un coiffeur qui s’appelle Milieu et un autre Touchez du Bois Ma Chère. Nous nous rendons en train à Kyoto et, dans un petit restaurant excentré où, seuls, nous mangeons des nouilles japonaises, la chaîne stéréo diffuse soudain la musique de Twin Peaks. Je touche le bois de la table, à défaut d’atteindre le milieu du grand rêve à saute-mouton. Toute une vie ne suffirait pas à apprendre à vivre.
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Nous aimons, mais nous n'aimons pas beaucoup aimer. Nous éprouvons un plaisir incroyablement plus intense à ne pas aimer ce que nous n'aimons pas plutôt qu'à aimer ce que nous aimons. Nous aimons énormément ne pas aimer. Nous avons avec ce que nous n'aimons pas une relation secrète qui est de l'ordre de la passion brûlante. Nous sommes tellement plus ardents à ne pas aimer ce que nous n'aimons pas qu'à aimer ce que nous aimons. Tous les jours nous trompons ce que nous aimons avec ce que nous n'aimons pas.
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Le détachement des possessions matérielles est la base de toute sagesse, et même de toute stratégie, puisque nul ne se met plus en danger physiquement qu'un homme en manque. On trouve cent exemples de cette connaissance dans les textes traditionnels. Ainsi Lao-Tseu : " Il n'existe pas de plus grand crime que celui de ne savoir réfréner ses désirs. Il n'existe pas de désastre plus grand que celui de ne savoir se contenter. Il n'existe pas de plus grand malheur que celui causé par l'esprit de convoitise. En sachant se contenter, l'on ne manque jamais de rien."
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Videos de Pacôme Thiellement (24) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Pacôme Thiellement
Pacôme Thiellement vous présente son ouvrage "Infernet. Internet et moi : une confession" aux éditions Massot. Entretien avec Arthur Louis Cingualte.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2810424/pacome-thiellement-infernet-internet-et-moi-une-confession
Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
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