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EAN : 9782752911636
224 pages
Phébus (07/02/2019)
3.29/5   266 notes
Résumé :
Washington D.C., dans les années 1970. En six ans, c’est la quatrième fois qu’Osei, fils d’un diplomate ghanéen, découvre une nouvelle école. Tout heureux de rencontrer Dee, la fille la plus populaire de sa classe, il ne s’inquiète pas des manigances et de la jalousie de ceux qui voient d’un mauvais œil l’amitié entre un garçon noir et une jolie blonde.
Sémillante réécriture d’Othello dans une cour d’école de banlieue aux États-Unis, ce neuvième roman de l’au... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (90) Voir plus Ajouter une critique
3,29

sur 266 notes
Unité de temps (une journée) et de lieu (une école).
Les personnages : Osei (Othello), Ian (Iago), Dee (Desdémone), etc.
Cinq parties, comme dans toute pièce classique qui se respecte.
Tout est en place, l'histoire peut démarrer.
J'ai trouvé l'idée de départ formidable. La tragédie n'est pas réservée au monde adulte ; les enfants savent aussi se montrer terriblement cruels.
Transposer Othello dans une classe de CM2 est audacieux et réussir la transposition me semble un pari difficile.
Je me lance par curiosité, et parce que je fais confiance à Tracy Chevalier dont j'ai beaucoup apprécié La jeune fille à la perle, et surtout, La dernière fugitive, que je vous recommande.
J'ai des souvenirs très précis de mes années d'école primaire, des moments passés en classe ou dans la cour de récréation, lieu très important où se nouent et se dénouent bien des conflits.
J'ai également le souvenir de ces années pour mes quatre enfants, j'ai retenu de nombreuses anecdotes qu'ils ont pu me raconter ou que j'ai apprises lors de goûters d'anniversaires, lors de conversations avec d'autres parents d'élèves ou des enseignants.
Enfin, ma fille aînée, professeur des écoles, me raconte souvent les événements marquants ou banals de son quotidien avec ses élèves.
Tout ça pour vous dire que je pense assez bien connaître la tranche d'âge concernée par le roman.
Ce qui m'a gênée d'emblée dans ma lecture, c'est que les élèves ne m'ont pas paru "vrais". Trop matures, trop calculateurs, trop éloignés des préoccupations d'enfants d'école élémentaire. Je ne suis donc jamais vraiment rentrée dans l'histoire, qui s'est déroulée à côté de moi, sans que j'y participe.
Je sais que les enfants évoluent chacun à leur rythme, que certains peuvent être très mûrs pour leur âge, tandis que d'autres sont encore très bébés, mais tout de même !
Je n'ai, en particulier, pas trouvé crédible du tout les relations filles-garçons. Par exemple, Mimi sort avec Ian, veut arrêter leur relation mais ne sait pas comment s'y prendre :
"Mimi n'était plus très sûre que casser avec lui soit une si bonne idée. Elle allait peut-être devoir attendre qu'il se lasse d'elle, sans savoir combien de temps cela prendrait."
Ou plus loin :
"Blanca était assise sur les genoux de son petit ami, les bras passés autour de son cou, à parler et à rire, et O sentit une pointe d'envie le transpercer devant leur bonheur."
Des enfants de onze ans, vraiment ? Surtout si l'on songe que l'histoire se passe dans les années soixante-dix ?
Je vous laisse juges.
Cette lecture fut donc une grande déception, moi qui me faisait une joie de retrouver cet auteur que j'aime.
En fait ce fut un moment très curieux. Les pages se tournaient toutes seules, la lecture n'était pas désagréable, elle était plutôt agréable même, mais je n'ai jamais vraiment accroché, je n'y ai jamais vraiment cru.
J'ai eu l'impression de lire quelque chose de factice, d'assister à un exercice de style.
Aussi, j'attendais avec curiosité d'entendre Tracy Chevalier parler de son roman, puisque je faisais partie des chanceux ayant reçu ce livre et conviés à une rencontre dans les locaux de Babelio.
La rencontre fut instructive et passionnante.
Nous y avons appris la genèse de cet ouvrage : un projet éditorial pour fêter le quatre centième anniversaire de la mort de William Shakespeare. L'éditeur a demandé à des auteurs de revisiter une pièce, au choix, de l'écrivain anglais.
Tracy Chevalier a accepté avec enthousiasme, se disant que cette sorte d'écriture allait changer de ce qu'elle faisait habituellement.
Je la comprends, tout comme je comprends l'envie de s'essayer à un autre genre, et cela explique mon impression de lecture.
L'histoire est très bien construite, mais elle ne m'a pas touchée.
Je tiens à remercier les éditions Phébus pour leur envoi, et Babelio pour l'organisation de cette rencontre très intéressante, grâce à la générosité et la disponibilité de Tracy Chevalier. J'attends avec impatience son prochain roman, dont la sortie en français est prévue pour l'an prochain.
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Une jolie jaquette glacée blanche et noire cache une couverture cartonnée gaufrée du plus bel effet. La qualité et la douceur du papier sont parfaitement en harmonie avec la douceur habituelle de l'écriture de Tracy Chevalier. Mais, comment le dire, je rencontre Tracy Chevalier la semaine prochaine et je n'ai pas aimé son livre. Je suis chiffonné de ne pouvoir manifester un enthousiasme effréné à une écrivaine qui m'a tellement fait rêver avec « la petite fille à la perle » ou « à l'orée du verger ».
Ces ouvrages m'ont transporté, ému, émerveillé.
Dans sa dernière parution, l'émotion est absente, du moins, ne l'ai-je pas ressentie.
Les ados, trame du roman, sont comme on les connait quelque soit le pays où l'action se situe, avec leurs mêmes attentes, leurs mêmes déconvenues, leurs petites trahisons, leurs grandes amitiés qui se terminent à peine débutées.
A aucun moment, je n'ai eu le frisson, pour aucun d'entre eux. Ils sont étriqués, sans charme, leurs petites manigances ne m'ont pas touché.
C'est déplaisant à dire, mais le racisme sous-jacent, intrigue de cet ouvrage, est celui que nous rencontrons dans des phrases mal dites entendues bien trop souvent ou dans des regards échangés, fuyants, pitoyables, aperçus dans notre quotidien.
Le drame qui se noue, présumé un parallèle à Othello est mièvre et ne dépasse pas en effet le carré de la cour d'école. Je me sens très mal à l'aise. La fin programmée tragique ne minimise nullement la puérilité de l'ensemble.
Dans ce livre, Tracy Chevalier fait dire par l'intermédiaire d'une insignifiante prof de dessin :
« La lumière. Et la passion. Voilà ce que nous devons chercher. Comme les Français. »
Madame que j'admire, vous avez à mes yeux, à maintes reprises pénétré les deux, mais pour moi, pas là.

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Eh bien, contrairement à la majorité des critiques sur Babelio, je peux déclarer que j'ai bien aimé lire ce roman, version revisitée d'Othello à la sauce américaine, dont les protagonistes sont des élèves de CM2 d'une petite école de la banlieue de Washington.

Nous sommes en 1974, et un nouveau fait son apparition, un Noir, Ghanéen. Cette arrivée suscitera bien des réactions, de curiosité pour la plupart, mâtinée de racisme pour tous. Un Noir ! Que vient faire ce singe dans notre école ? Mais Dee, elle, ne le repousse pas et l'encourage, même, en lui parlant gentiment. Casper, le beau blond gentil, lui aussi l'accueillera. Mais cette situation ne plait pas à Ian (qui ne souvient pas de Iago ?) qui utilisera tout son pouvoir de harceleur-manipulateur pour faire tomber tout ce petit monde.


Une journée, une seule, pour faire basculer ces enfants dans la tragédie.
Des cordes à sauter aux jeux de ballon, du cours de math où l'on apprend le triangle isocèle au bricolage fait main pour la fête des mères, nous plongeons dans la tête de quelques enfants déjà plus si innocents ! Qui sort avec qui ? Qui veut « casser » ? C'est vrai que la maturité des élèves à ce point de vue parait assez avancée, mais en y réfléchissant, il me semble que c'est un âge où l'amour ou du moins ses gestes attirent et font peur.
Le harcèlement ? Il a existé de tout temps.
Le racisme ? Egalement, particulièrement dans les années 70 aux USA.
Un seul personnage me parait particulièrement retors pour son âge et par là moins convaincant : Ian / Iago.
Pour le reste, je trouve cela parfaitement crédible, quoiqu'un peu précipité (n'oublions pas que tout se passe en un jour).


Et ma foi, cela me redonne follement envie de relire « Othello », pièce que j'ai adorée lors de mes études.
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Peut être connaissiez vous Tracy Chevalier pour ses romans historiques et ses portraits de femmes ? Suite à une commande éditoriale (transposer un classique de Shakespeare dans le monde contemporain à savoir ici Othello), l'auteure opère un virage à 180 degrés avec le nouveau.

Elle nous raconte en effet l'arrivée d'un jeune garçon noir, Osei, dans une école où il n y a que des blancs dans les années 70 à Washington (en reprenant les codes d'une tragédie, unité de lieu, de temps, nombre d'actes).


La société est vue à travers le prisme d'une cour d'école avec ses lois, ses règles tacites, sa hiérarchie.

Tracy Chevalier explore ici le thème de la "différence" sous ses différentes facettes.

Si la maturité intellectuelle et sensuelle m'a paru en décalage avec l'âge supposé des élèves (CM1/CM2), le nouveau dévoile par les réactions que suscite l'arrivée de cet élève noir, les visages multiples du racisme ordinaire.

Quant à Dee, elle tombe sous le charme de ce nouveau et leur coup de foudre naissant donne lieu à des passages lumineux "

"Le nouveau" suscite forcément des questions : est ce qu'un enfant est raciste parce que ses parents le sont ? Sur quoi le racisme repose ? On a souvent brandi la bêtise comme réponse mais aujourd'hui tout le monde va à l'école et Christine Taubira est comparée à un singe sur Twitter.

Dans le nouveau, un enseignant sous le coup de la colère finit par lâcher "ils sont tous comme ça". Est ce que de manière primaire l'être humain a peur de la différence ?
Si on se doute que l'histoire va mal tourner, Tracy Chevalier instille une tension croissante et nous cueille avec une fin glaciale.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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En 2017, Tracy Chevalier quitte son imaginaire personnel pour revisiter une pièce de Shakespeare, ce qui avait été demandé à plusieurs auteurs américains. Elle a choisi " Othello", occasion pour le lecteur de se rafraîchir la mémoire...pour moi en tout cas, il était nécessaire de relire un résumé de la pièce.

Tout va se jouer ici dans une école primaire des années 1970, près de Washington. Les acteurs de cette tragédie sont des élèves de CM2. J'ai beaucoup aimé cette intrusion dans le microcosme social que représente une classe, où les personnalités se dessinent déjà.

Othello, ce sera Osei, un jeune ghanéen, fils de diplomate, premier noir à intégrer cette école.On se doute bien que le racisme va être au coeur de l'intrigue. Desdémone sera Dee, une fille blanche qui va tout de suite se lier avec lui. Et Iago deviendra Ian. Tous les détails de la pièce se retrouvent d'une manière ou d'une autre, dans cette transposition moderne. Et il y a bien une unité de temps, de lieu, d'action.

Deux choses m'ont quand même gênée: ce respect des règles de la tragédie rend un peu rigide et rapide le développement de l'histoire et suppose une fin très ( trop?) sombre.D'autre part, les agissements des enfants qui n'ont que onze ans me paraissent correspondre davantage à des adolescents de 14-15 ans. Mais il est vrai que certains sont précoces.

Un exercice intéressant, psychologiquement subtil, mais je préfère l'univers de l'auteure, qui met souvent en avant des destins de femmes singuliers, à d'autres époques.

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critiques presse (5)
LaCroix
02 juillet 2020
Avec un charme mélancolique, le nouveau roman de Tracy Chevalier raconte une renaissance, douce mais d’une insondable profondeur.
Lire la critique sur le site : LaCroix
Actualitte
31 mai 2019
Un roman osé de Tracy Chevalier sous couvert d'une thématique classique. Riche et édifiant littérairement parlant.
Lire la critique sur le site : Actualitte
LaCroix
10 mai 2019
L’écrivaine Tracy Chevalier confirme la modernité d’Othello ou le Maure de Venise, la tragédie de William Shakespeare, en la transposant audacieusement au cœur d’une école primaire de la banlieue de Washing­ton en 1974.
Lire la critique sur le site : LaCroix
LeMonde
25 mars 2019
Enfant, l’écrivaine américaine, blanche, a été scolarisée dans un établissement majoritairement noir. Elle s’est inspirée de cette expérience pour donner sa version d’Othello, du génial William.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LeJournaldeQuebec
18 mars 2019
Après nous avoir entre autres offert La jeune fille à la perle, La dame à la licorne, L’innocence et À l’orée du verger, l’écrivaine américaine Tracy Chevalier nous revient avec une fascinante transposition de l’Othello de Shakespeare.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Citations et extraits (30) Voir plus Ajouter une citation
L'un des moments les plus délicats, dans la journée d'un nouveau, est celui où il faut trouver une place pour déjeuner à la cafétéria. Le temps est compté, c'est le chaos et il n'y a pas de places réservées, si bien que tout le monde s'assoit avec ses amis. Mais par définition, un nouveau n'a pas d'amis, et donc aucune raison de s'asseoir ici plutôt que là. Osei avait déjà connu cela, et savait qu'il y avait deux manières de s'y prendre. On pouvait arriver le premier et prendre place à une table vide, et laisser les autres venir à vous. Comme ça, on ne courait pas le risque de s'asseoir avec des ennemis potentiels, ou de s'imposer lourdement dans un groupe. Les gens vous choisissaient, ce qui leur convenait mieux. D'un autre côté, il y avait toujours le risque que personne ne vienne s'asseoir à votre table, et que vous vous retrouviez seul avec un lot de chaises vides autour de vous, comme le no man's land entourant une décharge radioactive.
Ou alors, on pouvait prendre son temps, rester à l'arrière de la queue et attendre que les gens soient assis, puis choisir un endroit où se glisser. Quand la salle était pleine, il ne restait généralement qu'une ou deux places libres, et ceux qui étaient assis à côté ne pouvaient tout de même pas se lever pour changer de siège en vous abandonnant. Mais la plupart du temps, les seules places libres se trouvaient à côté des élèves les moins populaires : les faibles, les idiots, ceux qui sentent mauvais, ou ceux que personne n'aimait pour quelque mystérieuse raison. Ce n'était pas très conseillé de débuter sa vie dans une école en s'asseyant avec eux, car le mauvais sort inexpliqué qui s'acharnait sur eux risquait fort de vous contaminer.
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Quand Dee.-quel merveilleux hasard qu'elle aussi, on l'appela par la première lettre de son prénom-- releva les yeux, Osei sentit son corps s'embraser. Elle avait les yeux marron : le brun clair et liquide du sirop d'érable. Pas le bleu qu'il avait vu dans tant de cours d'école, le bleu des ancêtres anglais, écossais, irlandais, le bleu de l'Allemagne et de la Scandinavie. Le bleu des Européens du Nord venus s'installer en Amérique, qui avaient conquis les yeux bruns des Indiens et importés des yeux noirs d'"Afrique pour faire leur travail à leur place."
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Le père d'Osei disait qu'il valait toujours mieux se lier d'amitié avec un homme dont la famille était riche depuis plusieurs générations qu'avec un homme pauvre qui avait réussi à force de travail, et ferait forcément preuve de méchanceté à l'égard de ceux qui se trouvaient encore au niveau social d'où lui-même avait démarré.
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Enfin, il n'y avait pas la moindre Afro à se mettre sous les yeux.Il n'y avait pas d'élèves noirs à l'école de Dee, ni d'habitants noirs dans le quartier de banlieue où elle vivait, même si en cette année 1974, Washington proprement dit possédait une population noire assez nombreuse pour être baptisée " Chocolate City", la " Ville-Chocolat".Parfois, quand elle allait dans le centre-ville avec sa famille, Dee voyait des hommes et des femmes noirs avec de grandes coupes afro; et aussi à la télé, quand elle regardait l'émission de variété " Soul Train" chez Mimi (..)
Elle ne regardait jamais cette émission à la maison: sa mère ne l'aurait jamais laissé regarder des Noirs chanter et danser à la télévision. ( p.17)
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Dans une certaine mesure, le racisme manifeste était plus facile à gérer. C'étaient les remarques détournées et les actes ambigus qui le blessaient le plus. Les enfants qui étaient gentils avec lui, à l'école, mais ne l'invitaient jamais à leur fête d'anniversaire, même quand toute la classe y était conviée. Les discussions qui s'interrompaient dès qu'il entrait dans une pièce, cette cause imperceptible causée par sa simple présence. Les remarques qu'on faisait, suivies de cette précision : "Oh, mais je ne parle pas de toi, Osei. Toi, tu es différent." Ou bien les commentaires du genre : "Il est noir mais il est intelligent", et l'incapacité des autres à comprendre que c'était insultant. p.203 et 204
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