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Peut on critiquer l'amour d'un être humain ?
Oui bien sûr, quand Humbert Humbert décrit son amour pour Lolita, la critique est non seulement logique mais surtout nécessaire. Quand, par exemple, on estime que Celine est un des plus grands écrivains du XXè siècle, il me semble évident d'essayer d'expliquer la différence que le lecteur fait entre l'art et l'homme.
Mais quand un romancier de polars nous parle de ses "polars" préférés, que dire ?
Mais quand un écrivain, lauréat du prix Goncourt, fait une hagiographie sur ses romans noirs préférés, De Balzac à Thilliez, que dire ?
Rien ou presque !

Mon exemplaire est raturé, hachuré, les marges forment une litanie de "bof", "pas d'accord", "t'es nul", "génial", "super", "pourquoi lui", "pourquoi pas lui", etc etc.
Mon avis sur ses choix : on s'en fout ! Aucun intérêt.
Mes romans noirs préférés le resteront qu'importe son avis.
Par contre, je me suis fait une liste de ses coups de coeur et de ses coups de gueule et je lirai ou relirai ces romans. Autre point intéressant : la technique.
L'auteur, tout en faisant référence à l'élaboration de ses propres romans, nous explique quel savoir faire, quelle référence est utilisé : j'ai trouvé cela passionnant et très frustrant ! Passionnant car on ne s'improvise pas romancier, frustrant car je sais que je ne pourrai jamais en être un.

Pourtant, je ne suis pas un fan de Pierre Lemaître. Comme la majorité de ses semblables, il est persuadé que la critique sociale, sociétale de notre monde fait de lui un homme bon et donc un homme de "gauche".
Mais comme disait quelqu'un, personne n'a le monopole du coeur.

Mais ce n'est que mon humble avis !
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J'acheté ce livre de notre ami Pierre Lemaître après l'avoir emprunté à une médiathèque
Car , c'est un livre qu' on picore avec grand plaisir et qu'on laisse à portée de main
Pierre Lemaître assume sa subjectivité, Ses coups de coeur et ses coups de griffe
On se sent vite en terrain familier
Il y a beaucoup d'auteurs connus, d'autres plus classiques et d'autres qu'on découvre
Il y'en a pour tous les goûts.Il ne s'agit seulement de romans policiers mais d'un cercle qui s'est progressivement élargi au fil des décennies pour sortir du style classique des débuts avec grosso modo, un crime , un enquêteur,un coupable
De San Antonio à DOA en passant par Sepulveda, Tim Willocks,Cédric Bannel, sans oublier Dexter ou Breaking Bad, vous trouverez forcément votre bonheur même si vous n'êtes pas obligés d'avoir les mêmes goûts que Pierre Lemaître
C'est un dictionnaire qui n'en est pas un
C'est ce qui fait son charme
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“Le dictionnaire amoureux du polar” de notre tant aimé Pierre Lemaitre , qu'on avait eu la chance de rencontrer l'année dernière , est un beau diamant noir couvrant brillamment l'univers du polar tout en éclairant le petit monde du polar.

Le prix Goncourt 2013 s'est atellé à ce travail avec énormément de générosité et de voracité. Somme de 800 pages et fruit de trois ans de travail, travail collossal nourri de milliers de lectures .

Des grands noms d'hier et d'aujourd'hui où Chandler cotoie Hervé le Corre, John le Carré visine avec Jean Claude Izzo et Pennac fraie avec Caryl Ferey...

On peut tout à fait l'aborder par l'index de fin, en retrouvant les auteurs qu'on aime et se délectant des portraits dressés d'une main de maitre ou en le dévorant d'un bloc.

Pierre Lemaitre y montre sa profonde admiration pour certains des spécialistes du noir; on sent qu'il a pris énormément de plaisir à l'exercice .

Quelques petits coups de griffe plutôt legers- sauf pour certains auteurs comme Ruth Rendell, dont il ne partage ni les convictions de la romancière comme de ses personnages- et évidemment pas mal de subjectivité ( mais c'est la loi du genre) mais surtout beaucoup de déférence et d'éloges pour un dictionnaire qui remplit largement sa mission .

Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Lemaître nous donne un bon livre, agréable à lire, et assez complet ; des auteurs qui l'auraient mérité (Richard Hugo, Crumley, Camilleri, Siniac, Monteilhet, Thomas H.Cook entre autres) ont été omis mais on ne le lui reprochera pas, puisqu'il assume clairement son défaut d'exhaustivité.

Certaines choses m'ont quand même un peu énervé :

1/L'auteur consacre une notice à « la Femme du Dimanche » deFruttero et Lucentini, qui le mérite amplement.
Il donne ensuite une bibliographie de l'auteur, où il oubliée malheureusement deux autres romans policiers des mêmes auteurs :
-l'excellent « La Nuit du Grand Boss,où l'on retrouve le Commissaire Santamaria et sa bonne ville de Turin, publié en France chez Grasset en 1980 sous un titre idiot qui évoque les Séries Noires des années 50 ( à croire que Marcel Duhamel était ce jour-là de passage chez l'éditeur), et a pu nuire à l'ouvrage.
Pourquoi ne pas s'être contenté de traduite le titre italien, « A che punto è la notte », en français « Où en est est la nuit? »(citation d'un texte d'Isaïe (52,13) , faisant partie du rituel de la Vigile de Noël ?'
Ce livre passionnant contient des thématiques communes avec « le pendule de Foucault » d'Umberto Eco.
-et « ce qu'a vu le vent d'ouest », paru au Seuil en 1993 (hélas sans Santamaria
Il faudra malheureusement chercher ces livres d'occasion sur Internet, mais on les trouve facilement et à bon marché

2/En ce qui concerne « le Nom de la Rose », je soupçonne Lemaître de s'être contenté de voir le film et de n'avoir pas lu le livre. En effet, selon lui, la controverse que les participants à la réunion à l'abbaye s'efforcent de trancher porte sur la question de savoir si le Christ était propriétaire de ses vêtements. Cette ânerie se trouve dans le film, mais bien sûr pas dans le livre ; cette question n'a jamais été controversée. En revanche Eco s'inspire d'une querelle bien réelle entre certains ordres mineurs et le pape, portant sur la pauvreté de l'Église, où l'Empereur s'était invité dans le but de s'approprier les États Pontificaux.
Au sujet du même auteur, pourquoi ne pas avoir parlé du « Pendule de Foucault » qui peut lui aussi être rattaché au genre policier au sens très large où l'entend l'auteur ?

3/Le pseudonyme de Frédérique Audouin-Rouzeau (Fred Vargas) a été forgé à partir du diminutif de son prénom et du nom de Mario Vargas Llosa, son auteur préféré. Rien à voir avec sa famille
Au fait Vargas Llosa a écrit lui aussi quelques romans qu'on peut qualifier de policiers ; mais bon, Lemaître n'a pas entendu faire oeuvre exhaustive.

4/Frédéric Dard n'a pas été ignoré par la critique. Au co mp mpntraire les « SAN ANTONIO » ont reçu un très bon accueil de la critique littéraire « sérieuse » des années 60. La langue employée a même fait l'objet de travaux et de colloques universitaires.

5/Certaines des « Enquêtes du Juge Ti » de van Gulik ont été publiés au Livre de Poche dès les années 60 ; le public français n'a donc pas dû attendre la Collection Grands Détectives de 10/18 pour découvrit cet auteur,

6/Enfin, et là c'est plus subjectif :Tout le monde n'est pas obligé d'aimer Ruth Rendell, mais il n'est pas admissible de l'éreinter ainsi quand on tresse par ailleurs des couronnes à Elisabeth George, d'autant que LEMAITRE (que je soupçonne de l'avoir lue en diagonale) ne l'aime pas pour de fausses raisons, principalement parce qu'elle-même et son héros Wexford seraient des bourgeois conservateurs, ce qui n'est vrai ni de l'un ni de l'autre, bien au contraire. Il va jusqu'à reprocher à RENDELL d'avoir été ennoblie par la Reine, ignorant apparemment que c'est aussi le cas de nombreux hommes politiques de gauche (tel Harold Wilson, premier ministre travailliste) et syndicalistes.
Enfin il oublie la bonne moitié de l'oeuvre où Wexford n'est pas présent, dont la plus grande partie n'a pas été publiée sous le nom de Barbara Vine.
Il faut noter en outre que :
-le cycle Wexford constitue une suite cohérente et une "comédie humaine" de la société britannique sur une période de cinquante ans, dans une optique progressiste ; ce cycle est largement au niveau des chroniques du 87eme district
-les autres ouvrages, souvent plus proches de la"littérature blanche" présentent aussi certaines intrigues policières très habiles, notamment "Véra va mourir", "L'été de Trappelune" et la maison aux escaliers, qui, par certains aspects, me rappellent Charles Palliser; en y réfléchissant, ce dernier écrit aussi des polars à sa façon.
P.D. James n'est pas au niveau de Rendell
Pour autant, elle demeure un auteur très estimable, bien supérieure elle aussi, à Elisabeth George
Elle est l'auteur d'un petit chef d'oeuvre sur l'adoption, "La meurtrière" Je concederai à Lemaître qu'elle est par ailleurs une Tory bon teint, mais je ne suis pas sûr que ce soit un critère littéraire bien pertinent.
Quand à Elisabeth George, parlons en! Dans ses premiers ouvrages elle a mis en scène en pleines années 80 une emule caricaturale du Lord Wimsey de Dorothy Sayers (années 30!!) flanqué d'un Majordome échappé de Wodehouse, qui se déplace en Bentley dans les quartiers difficiles
Sa co-equipiere Barbara Havers est une Cockney dont la description grotesque par l'auteur est un bel exemple de racisme de classe. le résultat est grotesque

Par la suite, elle a un peu corrigé ses personnages, mais on reste toujours dans la caricature. Je ne parle même pas de la psychologie des personnages.
Et disons aussi qu'il n'est guère crédible qu'un aristocrate multi-millionnaire travaille à Scotland Yard, où il aurait eu d'énormes problèmes avec ses collègues et ses supérieurs.
Enfin George a envoyé Havers mener une enquête en Italie. Grosse erreur ! l'Italie de George est encore plus caricaturale que son Angleterre et est à la limite de l'insulte à ce beau pays
Pour prendre un exemple, on voit un magistrat rosser un commissaire de police dans son bureau.
N'oublions pas que George n'est pas plus anglaise qu'elle n'est italienne
Dieu merci, elle ne s'est jamais attaquée à la France.
Mais je lui dirais bien "US go home" au nom de nos amis européens

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Attention danger! Si vous lisez ce dictionnaire amoureux du polar, votre PAL va doubler de volume! Il regorge en effet d'idées de lectures plus ou moins connues pour amateurs de polars, thrillers et autres romans noirs.
En outre, quelle formidable idée que d'avoir confié sa rédaction à Pierre Lemaitre! Il y a mis tout son style, son humour, son ironie, et il a réussi à rendre la lecture de ce dictionnaire absolument passionnante et vraiment très agréable.
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AVERTISSEMENT : Lire ce livre c'est faire "péter" sa wishlist ( liste d'envie ) 😂
Pierre Lemaitre nous donne son avis sur les différents auteurs ou best seller de la littérature noire ... Sur certaines oeuvres, je ne suis pas d'accord avec lui mais d'accord ou pas, c'est très intelligement écrit ! Sous forme de dictionnaire, on passe de Jussi Adler Olsen à Don Winslow en passant par Caryl Ferey, indridason, Thierry Jonquet, Arsène lupin, henning Mankell, etc etc ... Il y en a tellement que je ne peux pas citer tout ce beau monde ❤ Il donne son avis aussi sur certaines maisons d'édition et quelques termes propre au roman noir ... Un outil indispensable aux fans ou amateurs de Thriller, polar et roman noir ! Un petit bijou à offrir ou à se faire offrir
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Un bonheur que ce livre pour tous les amoureux du polar, pour commencer la couverture collector et juste sublime et l'auteur de ce dictionnaire étant Pierre Lemaitre ce livre ne pouvait que me plaire.

Un livre à picorer par lettre ou autre évoquant des polars, des auteurs, des séries, des films.

Il y en a vraiment pour tous les goûts avec des auteurs plus ou moins connus et Pierre Lemaître nous livre ses coups de coeurs, ses coups de gueules également pour certains auteurs mais je trouve que la liste est vraiment éclectique et qu'il y en a pour tout le monde.

Du romans policiers au romans noirs, des auteurs venant de beaucoup de pays différents il y en a tout le monde, du polar scandinave au polar anglais, américain ect...

Cependant je dois avertir les lecteurs que ce livre est un danger pour de futures liste d'achats.....
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J'ai trouvé cette lecture passionnante à cause du thème, bien sûr, mais surtout à cause de la plume alerte de Lemaitre et de la variété de ses entrées. Grosso modo on peut dire qu'il y en a de trois types dans ce dictionnaire. D'abord, les plus nombreuses, celles consacrées à un auteur en particulier ; on y retrouve généralement des notes biographiques, un aperçu du style ou des thèmes privilégiés, des commentaires sur un ou plusieurs livres, souvent illustrés par des citations. Écrit ainsi cela semble plutôt aride, mais il n'en est rien puisque la formule n'est pas standard et que l'auteur se fait parfois admiratif, parfois cynique, trouve souvent l'anecdote savoureuse et n'hésite pas ni à décrocher quelques flèches ( en tout respect toutefois) ni à blaguer de temps à autre.

Un deuxième type d'entrée est celle concernant un livre en particulier qui a retenu l'attention soit par son caractère novateur, soit par sa renommée, soit parce qu'il a particulièrement frappé Lemaître pour des raisons qu'il nous explique. Viennent enfin les références au genre comme tel du polar, son histoire, son évolution, ses styles, ses thèmes. Encore ici ça se lit facilement, on ne tombe pas dans une rhétorique spécieuse tout en apprenant énormément.

Ce dictionnaire donne envie de découvrir livres et auteurs dont on ignorait tout. Pour ma part ma liste de livres à lire a gonflé de plus de cent trente titres ! Bien sûr ce ne seront pas toujours des découvertes inoubliables mais à en juger par les avis de Lemaître sur des livres que je connaissais nos opinions se rejoignent beaucoup plus souvent que l'inverse ce qui est encourageant pour la suite. le plus ironique dans tout cela c'est que je n'ai pas encore lu un seul livre de cet auteur dont je m'apprête à suivre les avis . . . Je reviendrai certainement de temps à autre à ce dictionnaire tellement il est riche.
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« Voici le dictionnaire de ce que j'aime (à quelques oublis près). »

Le plus cocasse de l'histoire c'est que je n'ai -à ce jour du moins-jamais lu aucun polar de l'auteur ! Mais un ouvrage consacré à un genre que j'aime particulièrement, et que je ne lis pas encore assez à mon goût ne pouvait que me convenir. Plus de 800 pages lues en 2 jours -volontairement-confinés faute de ciné, théâtre ou musique.

Disons les choses clairement : il ne s'agit pas d'un dictionnaire mais de son dictionnaire ! Autrement dit, Pierre Lemaître va nous parler essentiellement de ce qu'il aime, un peu moins de ce qu'il aime moins ou pas… pour mieux revenir à ses réjouissances.

Bien entendu, il ne peut s'empêcher de revenir sur l'éternelle opposition et/ou distinction entre le polar et le roman noir. Comme les italiens qui selon lui « ont bien raison de botter en touche sur le sujet. », Pierre Lemaître choisit de ne pas faire de petites boites.

C'est tout juste si l'on sait qu'il « a une dent contre le polar scandinave », tout en notant un certain nombre d'ouvrages, scandinaves, qu'il trouve néanmoins excellents.

« le polar nordique a su, je crois trouver les mots pour exprimer la dépression européenne. »

Lemaître a quelques cartouches dans sa besace, et pas des moindres. Et puis, quand ses favoris sont aussi mes compagnons de cellule, cela me met en joie. Pensez donc Lehanne, Ellory, Ellroy, Ferey, Norek ! Et puis les autres !! Tous ceux dont j'ai entendu parler, ceux qui sont dans mes pense-bête, ceux qui sont dans mes piles, et les quidams indispensables aux yeux du maître….

Que serait le polar sans ses éditeurs, ses collections noires. Gallmeister, encore un chouchou en très bonne place.

Sans doute les puristes et les pro du polar trouveront à y redire sur les oublis, les quelques auteurs qu'il n'aime pas ; mais bon….

Me voici nantie d'une copieuse liste des nouveaux à découvrir, et de ceux qui ont gagné le droit à une remise de peine.
En 2021, Craig Johnson, Chesbro, Chandler, Trevanian et Burnett sortiront du placard !


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Jeu du je

Pierre Lemaitre prévient en son préambule : le titre est trompeur. À vrai dire, il est tronqué. À Dictionnaire amoureux du polar, il aurait été judicieux de le précéder d'un Mon. Car Pierre Lemaitre propose ici SON dictionnaire amoureux du polar. Il endosse avec classe ses oublis (Goodis par exemple) et ses parti pris, cela étant, ses fautes de goût sont largement compensées par son amour et sa connaissance fine du mauvais genre.

Et puis, il faut bien que j'avoue une concordance de vue. Comme Pierre (je le lis depuis si longtemps, si exhaustivement que je m'autorise cette familiarité frisant la privauté), sans nier mon intérêt pour le polar anglais bien peigné, au napperon bien rangé de Christie et consorts (rangez vos fourches : j'aime Agatha), je préfère le polar quand il tend au noir goudron.

Ce dico in love ne transige pas sur le principe de lecture : picorer et rebondir d'une lettre à l'autre sans guère plus de logique qu'une gerbille sous amphète. En outre, Pierre est un auteur accompli, il assume tranquillement son statut et de sa plume alerte, accessible, tout sauf émolliente, Lemaitre tamise en continu les rubriques comme autant de pépites.

Le jeu est enfin de vérifier si ses chouchous sont bien sur la short-list. Ellroy, évidemment, les patriarches Hammet, Chandler, Thompson, etc. La relève chenue et ses Lehane, Burke... Les petits derniers, Whitmer par exemple (ah Whitmer !) Pierre n'occulte pas plus la production hexagonale en célébrant le Corre, DOA. Être Guerif, et Manchette, et les maisons d'éditions, le cinéma, les séries, les procédés littéraires, Hitch'... Robin Cook, David Peace, Leonard, Westlake, au firmament....

Le panorama est dense, bien fléché.

Et toujours une réflexion acérée, une analyse pertinente, une info inconnue, toujours sur un ton vif, parfois narquois, parfois griffu.

Du bel ouvrage. Génial, allez, osons-le.

Tout de même. Trois fois rien. Bon...

J'ai un peu de mal avec l'oubli incompréhensible de James Crumley. Je me faisais fort de recruter un homme de main dans le creux de la vague, virtuose du déplacement de rotule par cric interposé, mais je n'en connais pas Pierre, pas d'inquiétude. Pour l'instant.
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