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EAN : 9782072798054
640 pages
Gallimard (16/05/2019)
3.86/5   18 notes
Résumé :
« Me voilà, sans mes tours de passe-passe, à nu et sans aucun de ces masques qui m’ont donné toute la liberté d’imaginer dont j’avais besoin pour écrire des romans.»

Cette compilation d’essais et d’entretiens a été conçue par Philip Roth comme le chapitre final de son œuvre, celui où le romancier, qui avait publiquement annoncé la fin de sa carrière littéraire, contemple le fruit d’une vie d’écriture et se prépare au jugement dernier. Il y dévoile le... >Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
" Pourquoi écrire ? "
Voila une question qu'au moins une fois un écrivain c'est vu poser.
Il y a 1 an Philip Roth nous quittait. Ce livre " Pourquoi écrire ?" reprend ses textes, ses interviews et ses rencontres.
Philip Roth est à mes yeux un écrivain majeur de la littérature américaine.
Dans ce livre on découvre la genèse de son oeuvre comme " Goodbye, Columbus" ou " Portnoy et son complexe". Ses débuts difficiles avec la communauté juive qui le traite d'antisémite. " Juif de Newark -Pourquoi pas
mais juif américain ? américain juif ?"
Il était avant tout américain; " Je me considère depuis toujours comme un américain libre."
Quand Philip Roth nous parle de littérature et nous fait découvrir Saul Bellow ou Bernard Malamud eux aussi partis intégrantes des lettres américaines, peut-on parler de l'école juive comme c'est le cas pour l'école du Montana ?
Pour finir découvrons ses rencontres: Milan Kundera, Edna O' Brian, Primo Levi, n'hésitant pas à franchir le rideau de fer pour rencontrer des auteurs dissidents tchèques et polonais.
Pour celles et ceux qui auraient envie de découvrir Philip Roth commencer donc par ses romans comme " La tache" ou " Complot contre l'Amérique" ou encore "Pastorale américaine".
Dans "Pourquoi écrire ?" Philip Roth dévoile un peu l'intrigue de certain de ses romans, à ne lire que si vous avez envie de connaitre l'homme érudit qu'il était.
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Pourquoi lire Pourquoi Ecrire ? Pour quatre raisons principales.
La première, pour prolonger encore un peu la fréquentation de ce grand écrivain et passer quelques heures en sa compagnie en balayant une oeuvre de cinquante-sept ans dans une vie de quatre-vingt cinq, de 1933 (il rappelle que c'est l'année de l'arrivée au pouvoir d'Hitler) à 2018.
La seconde pour lire son admiration pour Kafka, l'influence de celui-ci sur son oeuvre et les commentaires tirés de ses cours et de son essai Regards sur Kafka.
La troisième, pour l'écouter s'expliquer sur certains de ses livres les plus emblématiques, Portnoy et son Complexe, tout d'abord. Occasion, pour lui, de réfuter l'accusation d'avoir ainsi attisé l'antisémitisme. Ce reproche semble lui avoir été d'autant pénible qu'il l'estimait injuste et qu'il provenait, pour l'essentiel, de la communauté à laquelle il appartenait.
Les lecteurs de Portnoy et son Complexe y glaneront de précieuses et enrichissantes précisions sur les intentions de l'auteur et la genèse du roman. Les lecteurs de Pastorale Américaine découvriront si oui ou non « le Suédois » a vraiment été inspiré par un de ses condisciples de Wheequahic, ceux de la Tache sauront qui a réellement inspiré le personnage principal et ceux du Complot contre l'Amérique saisiront le pourquoi du choix de Lindbergh pour cette uchronie. Quelques critiques et quelques articles de Wikipedia seront légèrement égratignés.
La quatrième raison concerne les entretiens qu'il a eus dans la seconde moitié du vingtième siècle avec des écrivains du calibre de Primo Levi, Isaac B. Singer, Kundera, S. Bellow ou certains autres qui m'étaient inconnus comme Appelfeld, Klima, O'Brien ou Malamud et que ces entretiens donnent envie de découvrir.
De Kundera, « le romancier apprend au lecteur à appréhender le monde comme question. Il y a de la sagesse et de la tolérance dans cette attitude. Dans un monde construit sur des certitudes sacro-saintes, le roman est mort. le monde totalitaire, qu'il ait pour base Marx ou l'islam, est un monde de réponses plutôt que de questions. le roman n'y a pas sa place. En tout cas, il me semble qu'à travers le monde les gens préfèrent aujourd'hui juger plutôt que comprendre, répondre plutôt que demander, si bien que la voix du roman peine à se faire entendre dans le fracas imbécile des certitudes humaines. »
De Klima, « A la question : « Pourquoi Kafka a-t-il été interdit par les régimes communistes ? » le héros de mon roman Amour et ordures répond en une phrase : « le trait le plus saillant de la personnalité de Kafka, c'est son honnêteté. » Un régime fondé sur la tromperie, qui demande aux gens de faire semblant, qui exige leur aval de pure forme sans se soucier de leur intime conviction, un régime qui a peur de tous ceux qui s'interrogent sur le sens de son action, ne peut pas permettre à un auteur dont la véracité atteignait un absolu aussi fascinant, voire terrifiant, de s'adresser au peuple. »
Ajoutons qu'au fil de cet ouvrage, on découvre aussi le regard qu'il porte sur son oeuvre et son métier, la différence qu'il établit entre être politisé, ce qu'il était, et faire de la politique avec ses romans, ce qu'il n'a jamais voulu faire ; son souhait d'être considéré non pas comme un écrivain juif américain mais comme un écrivain américain et son regard acerbe sur la culture américaine et les lecteurs dont il déplore le nombre décroissant … « Je doute que la capacité d'appréciation de l'esthétique littéraire… ait beaucoup d'avenir dans ce pays. Dans deux décennies, le nombre de lecteurs amateurs capables de prendre plaisir à lire avec discernement des oeuvres littéraires sera égal au nombre de ceux qui lisent aujourd'hui de la poésie écrite en latin. »… ainsi que de nombreuses anecdotes ou révélations comme celle concernant Eric Duncan, cet auteur qu'il a bien connu et dont la carrière ne fut pas ce qu'elle aurait pu être. On ressort de cette lecture avec l'impression de connaître un peu mieux Philip Roth et l'envie de lire ceux de ses romans qui nous sont encore étrangers. Même s'il la joue modeste en reprenant à son compte une des rares déclarations du modeste d'entre les modestes qu'était le champion de boxe Joe Louis « J'ai fait de mon mieux avec ce qui m'était donné », on referme ce dernier livre avec la pensée réconfortante qu'à travers ses quarante-quatre livres il a conquis une étincelle d'éternité.
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« Pourquoi écrire ? » Philip Roth (630 pages, Folio)
Testament littéraire ? C'est un peu comme cela que se présente cette monumentale étude, dernière publication de l'un des romanciers américains contemporains les plus connus (je dis « plus connus », car je n'avais à ce jour lu aucun livre de cet auteur, et commencer par un essai sur l'écriture peut sembler étrange ; mais finalement, on peut aussi considérer cela comme une belle introduction à son oeuvre). Ce pavé rassemble plus d'une trentaine de textes de densité inégale de Philip Roth, parus dans différents supports entre 1961 et 2014, et couvrent donc quasiment toute sa carrière littéraire. Mais en fait j'ai eu plus l'impression d'assister à une formidable master class qu'à un cérémonial funèbre. Roth y analyse à la fois ses objectifs d'écrivain, ses propres romans, mais il nous fait aborder aussi d'autres auteurs, américains contemporains ou pas. Et c'est souvent passionnant.
Difficile de faire un résumé exhaustif de ce livre, et si certains rares passages m'ont semblé un peu obscurs, c'est essentiellement à cause de ma méconnaissance de cet écrivain ou de certains de ceux qu'il évoque. Pour le reste, c'est une écriture d'une grande clarté, très bien argumentée (on sent l'universitaire attaché à être compris de ses étudiants), et en même temps très élégante, limpide, bien illustrée. On découvre aussi la vie de l'auteur, comment il s'inscrit, quasiment comme un américain moyen plutôt progressiste dans son siècle agité (la prime enfance pendant la seconde guerre mondiale, la maturité pendant la guerre du Vietnam…), ses engagements (ou du moins certaines de ses prises de positions sociales ou politiques, qu'il exprime parfois dans des romans comme « Tricard Dixon et ses copains »). Et ce livre est aussi en filigrane un tableau assez peu enchanteur des Etats-Unis.
Il ne cesse de montrer en quoi l'art du romancier n'a rien à faire du politiquement correct ni des bonnes intentions. Né dans une famille juive, marqué par son éducation et son milieu social, il s'attire souvent les foudres de certaines autorités hébraïques ou sionistes qui lui reprochent, parfois de manière menaçante, le fait de décrire des personnages juifs pas très présentables, et ses réponses argumentées, très fortes, sont d'une portée qui va bien au-delà du minable et dangereux procès qui lui est fait. Il refuse donc l'épithète d'écrivain juif américain ou américain juif, il revendique une parole libre, et montre comment il dut se défendre pied à pied contre les entraves d'une bienséance qui aurait aimé enfermer sa prose dans un carcan moralisateur. Sauf que des relations qu'il a entretenues avec nombre d'auteurs qui devinrent ses amis, ou dans son approche d'autres qu'il n'a pas connus directement… il nous présente presque exclusivement des écrivains juifs, ce qui restreint quand même pas mal son approche ; comme si, quoiqu'il s'en défende, la question de la place des juifs dans le monde d'aujourd'hui était sa question littéraire et humaine essentielle. Mais après tout, pourquoi pas ? Et cela n'empêche pas de lire avec intérêt ses échanges avec Primo Levi, Aharon Appelfeld, Saul Bellow, Isaac B. Singer, mais aussi Kundera ou d'autres, qui sont à chaque fois des pas de côté dont il se sert pour éclairer ses propres conceptions de la littérature…
Et plane, de manière récurrente et transversale dans tout son essai à tiroirs le personnage de Kafka, figure tutélaire et référence apparemment absolue.
Ces échanges directs ou indirects ont le poids des textes recomposés à l'écrit (jamais d'échange verbal recopié tel quel), sur des thématiques très intéressantes. Que produit la censure ? Qu'advient-il quand elle tombe et qu'elle est remplacée par la loi du marché, le moins disant de la bêtise consommatrice ? Le roman comme question, pas comme réponse. L'importance de la psychanalyse dans son oeuvre. Quid de Wikipédia (son témoignage pour tenter de faire corriger des erreurs dans les pages qui lui sont dédiées est édifiant). Etc...
La limite que j'ai perçue à la lecture de ce pavé est relative au ton de l'auteur, quelque peu nombriliste, sentencieux, et parfois un peu hautain, voire méprisant (cf le dédain qu'il exprime pour les clubs de lecteurs, et ailleurs pour « la populace » en général – pour lui 90% des américains sont stupides). Le dernier texte de l'ouvrage, qui reproduit le discours pompeux de Roth à une cérémonie en l'honneur de son quatre-vingtième anniversaire (sic!), est ainsi assez révélateur de ce narcissisme ; il répète dix fois qu'il n'est pas là pour rabâcher ses souvenirs, et ne fait que cela tout au long de son discours, avant de passer à la lecture d'un très très long extrait d'un de ses romans.
Malgré ces réserves, c'est un livre riche d'enseignements pour qui s'intéresse au travail d'un écrivain.
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Un bouquin indispensable à tout amateur de l'écrivain et plus encore, pour tous ceux qui s'intéressent à l'écriture. Il s'agit d'une compilation d'essais, d'entretiens, d'articles et de discours, dans lesquels il revient sur son métier d'écrivain, les coulisses de son travail et les controverses soulevées par certains de ses romans. Mieux qu'une biographie ou une étude sur Philip Roth, il s'agit de sa propre parole, de ses propres écrits. Sur la globalité du livre il n'y a que peu d'inédit, mais le mérite de ce gros volume est de tout compiler dans une collection de poche, donc à un prix très faible. J'ajouterai qu'il est complété par une chronologie de l'auteur et surtout, par un riche index permettant de retrouver facilement ce qu'il dit de tel ou tel. Je le redis, indispensable !



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"Me voilà, débarrassé des déguisements et des inventions et des artifices du roman. Me voilà, sans mes tours de passe-passe, à nu et sans aucun de ces masques qui m'ont donné toute la liberté d'imaginer dont j'avais besoin pour écrire des romans".
Par cette citation, Philip Roth conclu sa préface. le lecteur comprends de suite qu'il part sur une lecture vérité.

« Pourquoi écrire ? » est une compilation d'essais, d'entretiens, d'articles et de discours que nous livre Philip Roth en guise de point final à son oeuvre.
Il met en quelque sorte les choses à plat au terme de sa longue carrière d'auteur.
Il revient notamment sur les nombreuses controverses que ses écrits ont suscités.

C'est un livre richement fourni d'anecdotes, de rencontres passionnantes…

Un livre qui doit être lu par les amateurs de cet auteur mais aussi par ceux pour qui l'écriture est un exercice passionnant.

Je remercie les Editions Gallimard – Collection folio – ainsi que l'équipe Masse Critique de Babelio pour m'avoir permis de lire ce livre et de découvrir plus en profondeur la carrière d'auteur de Philip Roth.
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critiques presse (2)
LaCroix
15 juillet 2019
Des essais et entretiens au cours desquels l’écrivain américain décédé en mai 2018 revient sur sa carrière littéraire avec la malice qui lui appartenait.
Lire la critique sur le site : LaCroix
LeMonde
16 mai 2019
Ce nouveau livre reprend les grands textes que l’écrivain américain, mort il y a un an, a consacrés à la littérature. Dont plusieurs inédits en français, passionnants.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (35) Voir plus Ajouter une citation
J'avais bien lu quelques livres qui se projetaient dans un avenir historique imaginaire, notamment 1984.Mais alors que j'ai une grande admiration pour ce dernier roman, je n'ai pas pris la peine de le relire pour en étudier la méthode. Dans 1984-écrit en 1948 et publié un an plus tard- Orwell postule qu'il se produit un énorme bouleversement historique à la suite duquel son monde devient méconnaissable. Il existait au XX° siècle, c'est certain, des modèles politiques de ce genre de catastrophe dans l'Allemagne de Hitler aussi bien que dans la Russie de Staline.Mais comme je n'ai aucun talent pour mettre en scène des évènements à l'échelle orwellienne, j'ai imaginé à la place quelque chose d'une taille plus réduite, quelque chose qui aurait de plus bien pu se produire lors de l'élection présidentielle de 1940, moment où le pays était âprement divisé entre Républicains isolationnistes, qui, non sans raison, ne désiraient prendre aucune part à une deuxième guerre atroce en Europe vingt ans à peine après la fin de la première-...et Démocrates interventionnistes, qui, eux non plus, ne voulaient pas forcément repartir en guerre... (genèse Complot contre l'Amérique)
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ROTH: Vous pensez que la destruction du monde est pour bientôt?
KUNDERA:Tout dépend de ce que vous entendez par "bientôt".
ROTH: Demain ou après-demain.
KUNDERA:Le sentiment que le monde court à sa perte est très ancien.
ROTH: Alors, aucune raison de s'en faire.
KUNDERA: Si, au contraire.Pour qu'une peur habite l'esprit humain depuis les âges les plus reculés, il faut bien qu'elle ait un fondement.
ROTH: En tout cas, il me semble que cette inquiétude constitue la toile de fond sur laquelle se déroule toutes les intrigues de votre dernier livre, y compris celles qui sont d'une veine carrément humoristique.
KUNDERA: Si on m'avait dit, quand j'étais enfant:"Un jour ton pays sera rayé de la carte", j'aurais pris ça pour une absurdité, c'était inimaginable. L'homme sait bien qu'il est mortel, mais il tient pour acquis que son pays possède une sorte de vie éternelle.
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" Je veux bien admettre qu'il soit plus aisé au ministre de la justice de faire voter une loi qui déclare la littérature illégale que d'empêcher quiconque d'acheter par correspondance un revolver pour quinze dollars; mais il n'en reste pas moins vrai que les armes à feu tuent chaque année plus de personnes dans ce pays que les œuvres satiriques."
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S’il est des juifs pour trouver plus stimulantes et plus justes les histoires conçues par les romanciers que les sermons prononcés par certains rabbins, c’est peut-être parce que, dans certaines régions d’eux -mêmes, la sensibilité ni la conscience ne peuvent être touchées par la rhétorique de l’autosatisfaction et de l'apitoiement sur soi.
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Moi, j’invente des histoires, je les confronte, et c’est ma manière de poser des questions. La bêtise des hommes vient de ce qu’ils ont réponse à tout. La sagesse du roman, c’est d’avoir question à tout.

Milan KUNDERA, 1986 - Parlons travail, entretien avec Philip ROTH
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Videos de Philip Roth (54) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Philip Roth
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