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Sept femmes, véritable coup de coeur, une oeuvre passionnante et passionnée.
Lydie Salvayre, que je découvre avec ce livre, nous présente à travers une écriture délicate, sept femmes fortes, de conviction. Sept Oeuvres différentes et pourtant liées, sept sources d'inspiration que j'ai englouties avec ardeur.
J'ai choisi ce livre parce que je voulais découvrir Lydie Salvayre ainsi que ces sept femmes qui m'étaient inconnues. Alors bien sûr j'en connaissais quelques unes de nom, Virginia Woolf, Emily Brontë ou Colette, mais leurs vies ainsi que leurs écrits m'étaient étrangers. Je me prends de passion ces derniers temps pour la vie de personnages culturels (notamment d'écrivains) et j'avais le sentiment que cet ouvrage était une parfaite introduction à la vie de ces dames. Ce livre m'a apporté satisfaction par son apport d'anecdotes extrêmement intéressantes et la force de son écrit.
J'ai également choisi ce livre pour sa couverture. Je la trouve magnifique, très représentative du contenu. Je n'arrêtais pas pendant ma lecture d'y retourner, lire ces sept noms remplis de promesses, rêver et me replonger dans le fond. Emily Brontë, Marina Tsvetaeva, Virginia Woolf, Colette, Sylvia Plath, Ingeborg Bachmann, Djuna Barnes. Voilà les esprits que vous rencontrerez si vous ouvrez ce livre.
J'ai été emportée dans un autre monde, à chaque découverte d'auteurs. Dans un autre monde, un autre siècle, d'autres moeurs. Je me suis envolée à Haworth avec Emily Brontë, en Russie avec Tsvetaeva. J'ai découvert le monde et surtout la souffrance.
Ce qui lie ces femmes, c'est un destin tragique, une vie qui finit inéluctablement dans le malheur. J'ai lu ce livre lentement pour intégrer toutes les informations les concernant. J'ai fait des pauses dans ma lecture pour ne pas absorber tous les tourments profonds que dégagent ces pages, notamment le supplice de Marina Tsvetaeva qui m'a bouleversée. Sa détresse m'a touchée en plein coeur.
Il y a des topos qui rapprochent toutes ces femmes et leur génie. La mort est omniprésente, elle a sa patte acérée posée dans le coeur de toutes ces femmes. Quasiment toutes ces vies se terminent en suicide, leurs esprits géniaux incompatibles avec le siècle vécu. (La question de la notoriété posthume se pose largement dans l'oeuvre). L'homosexualité est également un thème récurrent. Presque toutes ces femmes ont eu à un moment de leur vie une amante, une muse pour les guider dans le bonheur.
J'ai adoré me plonger dans les vies de ces grandes dames. Colette m'a marquée. le début du texte la concernant est un régal insolent que j'aimerais beaucoup vous citer ici. Je ne le ferai pas pour ne pas gâcher la surprise mais cela m'a particulièrement fait penser à l'esprit mordant d'une certaine Jane Austen. L'amour que voue Colette à la vie m'a troublée, sa force face au scandale de sa relation homosexuelle m'a émue… Néanmoins, celle que j'ai le plus appréciée est Virginia Woolf, certainement parce que Lydie Salvayre me semble-t-il, y a mis encore plus de passion. J'ai adoré la découvrir, je rêve désormais de la lire : Orlando, Les années, La fascination de l'étang, Nuit et jour et tant d'autres…
Parce qu'en plus d'être une véritable source d'informations captivantes, ce livre est un puits d'inspiration phénoménale. Après l'avoir lu, me voilà avec une liste de livres qu'il me tarde de lire !
• La Naissance du jour, Colette
• La vagabonde, Colette
Les hauts de Hurlevent, E. Brontë (surtout celui-ci !)
le bois de la nuit, Djuna Barnes
L'almanach des dames, Djuna Barnes
Ariel, Sylvia Plath
La cloche de détresse, Sylvia Plath
• Façons de mourir (Malina, Franza & Requiem pour Fanny Goldmann), d'Ingeborg Bachmann
…Entre autres !
En bref, j'ai été totalement séduite par l'écriture de Lydie Salvayre qui arrive avec justesse à lier sa propre vie à celles de ces sept écrivains qu'elle nous narre. C'est un livre passionnant qui m'a fait rêver, souffrir, voyager et que je conseille à tous les curieux, tous les amoureux de la lecture. On y trouve beaucoup d'informations mais surtout beaucoup d'émotion. Sept femmes est un profond coup de coeur.

Lien : http://www.casscrouton.fr/se..
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C'est bien écrit, ça donne envie de lire, c'est magistral. Comme dans toutes ses bio, Lydie Salvayre est excellente. Détrône mon préféré " le vif du vivant".
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Lydie Salvayre nous propose sept portraits dans cet ouvrage tout subjectif issu de ses lectures et de ses admirations. de ces 7 femmes, j'avoue n'en connaître que 4 (Emily Brontë, Colette, Virginia Woolf et Sylvia Plath) que j'apprécie pour diverses raisons. Les 3 autres - Djuna Barnes, Marina Tsvetaeva et Ingeborg Bachmann- je n'en avais jamais entendu parler. A ma grande honte puisque, outre l'admiration que leur porte Mme Salvayre, ce sont des écrivaines qui ont lutté toute leur vie pour un semblant de reconnaissance de leurs écrits.
« Sept allumées » dit le quatrième de couverture. Et l'on n'est pas déçu question allumage ! A commencer par la première, Emily Brontë, qui, si sa soeur Charlotte n'avait pas découvert le roman qu'elle écrivait (Wuthering Heights-Les Hauts de Hurlevent), elle l'aurait jalousement gardé par devers elle. Les colères enflammées d'Emily, qui ne pouvait supporter de rester trop loin de Haworth et de ses landes désolées, sont légendaires. C'est un peu son Heathcliff au féminin. Emily Brontë, du fin fond de son Yorkshire natal, nous dit Lydie Salvayre, nous donne « une leçon de ténèbres » en plongeant dans les grandes profondeurs du sentiment humain, de la passion absolue et dévorante.
Djuna Barnes traverse le Paris des années 1920 comme une comète et croise les expatriés de la « Lost Generation » (Hemingway, Fitzgerald, Gertrude Stein, Joyce et toute la clique…) a droit aussi à une mention spéciale puisqu'elle ne se départit jamais de son franc-parler, de ses manières rudes et, quel bonheur quand je l'ai appris- elle m'était déjà sympathique – détestait Edith Wharton et ses écrits sur la bourgeoisie et qui « s'offusquait », paraît-il « des déviances sexuelles » exprimées par Proust. Gloire à elle !
Sylvia Plath qui ne réussit jamais à trouver le compromis entre la maternité, le mariage et la poésie et qui avait un problème à régler avec son père allemand, chargé par elle de supporter tous les crimes de l'Holocauste (« Daddy ») tout comme Ingeborg Bachmann dont le père était engagé chez les nazis et qui était amoureuse d'un juif. Elle brosse d'ailleurs un portrait sans concession de son Autriche natale.
Virginia Woolf, issue de la bourgeoisie lettrée de Londres alterne entre périodes euphoriques et créatives et moments de déprime profonde. Elle règle le problème au fond de l'Ouse, rivière du nord- est de l'Angleterre, célébrée il y quelques années par Graham Swift.
Colette qui choqua par sa liberté de moeurs passe souvent à présent pour une réactionnaire mais se donne toute entière dans le magnifique, la naissance du jour.
Marina Tsvetaeva, encore une « pure » qui ne se laissa jamais corrompre par le stalinisme ambiant malgré l'acceptation voire la capitulation de Boris Pasternak, son grand ami (amoureux) épistolaire.
Sans la prétention d'être un ouvrage de littérature pas plus qu'un essai, on notera ce livre comme une série d'impressions personnelles de l'auteure qui intervient souvent pour donner au lecteur la piste qui l'a conduite vers ces écrivaines et poétesses, les circonstances, l'âge et c'est très rafraîchissant. Par exemple, elle rêve au grand amour au fond de son pensionnat de jeunes filles et se prend pour Heathcliff. Tout se lit agréablement. On passe facilement d'un univers à l'autre, des Etats-Unis à la France en passant par la Russie, l'Autriche et la vieille Angleterre avec des arrière-plans politiques souvent lourds et liberticides. D'où leur lutte.
Lydie Salvayre nous montre que nous sommes tous égaux devant la littérature pourtant accouchée dans la douleur par ces femmes d'exception. En tout cas, elle nous donne envie de lire celles que l'on ne connaissait pas et c'est déjà beaucoup. On lui dit « merci » en refermant le livre.
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J'ai beaucoup aimé que ce livre mêle le destin de ces femmes et des questions ou événements directement liés à l'auteure. L'auteure ne manque pas non plus d'humour, ce qui est bien agréable car le destin de ces sept femmes ne fut pas très heureux. Ces bouffées d'oxygène font du bien:

Lien : http://vallit.canalblog.com/..
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L'auteure a choisi sept femmes épatantes par leur parcours de vie et leur plume. La présentation est bien subjective et parcellaire, il ne faut pas s'attendre à une biographie fidèle mais plutôt à une déclaration d'amour d'une femme écrivaine à d'autres femmes écrivaines qui l'accompagnent dans sa vie. J'en ai découvert certaines et j'ai eu plaisir à en retrouver d'autres.

Le style de Lydie Salvayre est travaillé et au détour d'une phrase, il peut être utile parfois de prendre son dictionnaire pour des « revenus cachectiques ». J'ai lu les chapitres comme une balade à travers les époques. Ce que les femmes ont le droit de faire, ou pas, la façon dont elles font face ou dont elles baissent les bras ; je suis passée de l'admiration à la compassion, à la colère, au dépit. Quel gâchis souvent que ces sociétés qui briment !
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Aujourd'hui, j'ai terminé de lire Sept femmes de Lydie Salvayre. Ce livre m'a véritablement enflammée et j'ai vibré tout au long avec ces femmes que j'admire. L'auteur arrive avec brio grâce à sept biographies condensées en un seul volume à nous évoquer sept femmes iconiques dont l'oeuvre nous a tant marqué. L'écriture de Lydie donne l'impression de vivre à côté d'elles, au sein de leur époque, de ressentir ce qu'elles ressentent. On imagine la lutte de Marina pour qui il ne s'agit plus d'écrire mais de vivreécrire, on découvre Haworth, village du bout de la terre, la vie austère et solitaire d'Emilie au presbytère. Emilie, pleine de dévotion, l'enfance d'Emilie, les histoires inventées avec ses frères et soeurs, l'espérance des soeurs pour leurs premières parutions, la difficulté de l'époque d'obtenir de la reconnaissance pour son travail quand on est une femme, l'injustice, la rébellion, son refus de quitter Haworth pour une vie qui ne lui ressemblerait pas. Émilie si austère et qui fût pourtant à l'origine des Hauts de hurlement et de son feu si submersif pour l'époque. On découvre Colette apaisée à la fin de sa vie, savourant le moment présent et la beauté des petites choses qui rendent la vie belle. On accompagne Djuna dans ses chasses nocturnes à la recherche de son amante Thelma, sa découverte d'un Paris d'antan habité par de jeunes artistes devenus iconiques depuis, on déguste des omelettes au café Flore avec elle. On redécouvre l'angoisse de Sylvia Plath face à la maternité, sa difficulté à concilier l'écriture et la femme au foyer, l'ombre de son mari Ted sur elle. Mais on redécouvre aussi Virginia et Ingeborg. Je ne saurais tout vous détailler de ce livre qui nous raconte le combat de femmes passionnées qui ont lutté pour leurs convictions, des femmes fortes et qui sont des modèles. En les lisant, on se sent moins seule, en écoutant leurs angoisses, leurs élans, leurs fragiles victoires d'autrefois et pourtant si actuelles, on se prend une claque. @monprecieuxlivre
Lien : http://monprecieuxlivre.wixs..
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Livre pas inintéressant , un peu frustrant parfois...Dans un style incandescent, Lydie Salvayre pose un regard affûté et sensible sur sept parcours féminins de la littérature du 19è et 20è siècles. Pour chacune de ces femmes, elle dresse un portrait savoureux et poignant tout en n'omettant pas d'évoquer le contexte dans lequel elles ont vécu, écrit, aimé et souffert. 7 femmes qui ont marqué leur époque. 7 femmes qui ont vibré, exprimé, se sont révoltées par la plume. Une femme leur rend hommage dans un même ouvrage : merci pour ces 7 mini-voyages écrit avec respect, pudeur et passion. Certaines sont très connues pour leur engagement, c'est l'occasion, pour d'autres, de dépasser certains a priori.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Avec une écriture âcre, LS décrit avec intensité le destin tragique de ces femmes C'est vraiment intéressant. Je le conseille
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L'auteure, qui traverse une période sombre "le goût d'écrire m'avait quittée", se penche sur l'oeuvre et la vie de sept femmes qui l'ont transportée à son adolescence et lui ont ouvert des mondes insoupçonnés.

Emily Brontë, Marina Tsvetaeva, Virginia Woolf, Colette, Sylvia Plath, Ingeborg Bachmann, Djuna Barnes, la majorité de ces femmes ont en commun un destin malheureux. Si je connaissais assez bien la vie de cinq de ces écrivaines, j'ignorais presque tout d'Ingeborg Bachmann et de Djuna Barnes.

Ce sont souvent des personnalités fortes, entières, qui ne veulent céder devant rien, qui sont hantées par le besoin d'écrire et d'écrire ce qu'elles veulent, contre vents et marées. Se faire éditer est une autre histoire, liée à l'époque, au rejet de la bonne société ou de la politique du moment.

C'est un bonheur de lire la trajectoire de ces femmes sous la plume de Lydie Salvayre qui les aime, qui imagine ce qui a pu les traverser, sans en faire des statues intouchables, mais des êtres de chair et de sang, dont le drame est souvent d'être trop en avance sur leur temps.

Une lecture passionnante.

Lien : http://legoutdeslivres.canal..
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Lydie Salvayre joue ici un coup de maître. Avec un talent fou, elle nous dresse ici 7 portraits de figures féminines emblématiques de la littérature (classées ici par ordre chronologique et non par ordre de présentation de ces auteurs dans le recueil) :

- Emily Brönte (1818-1848),
- Colette (1873-1954),
- Virginia Woolf (1882-1941),
- Djuna Barnes (1892-1982),
- Marina Tsvetaeva (1892-1941),
- Ingeborg Bachmann (1926-1973)
- Sylvia Plath (1932-1963).

Pourquoi ces 7 femmes ? Pourquoi uniquement des femmes ? Pourquoi 7 ?
Lydie Salvayre s'amuse de ces questions et ne nous donne que des réponses partielles (Lydie Salvayre choisit de ne raconter que des fragments de vie de ces auteurs).

Nous ne pouvons que subodorer des explications :
- pour réhabiliter ces auteurs, méprisées de leur temps, pour certaines (presque) oubliées aujourd'hui,
- pour mettre en valeur les qualités humaines & esthétiques des écrivains féminins, écorchées par la vie, déchirées par leurs sentiments,
- pour raccrocher ce chiffre 7 à sa signification à la fois biblique & littéraire.
Chacune de ces artistes a vécu une vie extra-ordinaire :
- par son choix de vie (mondaine ou bohème),
- par sa condition de femme (soumise aux carcans patriarcaux et matrimoniaux),
- par son lieu de vie (le Paris des années folles, la Russie stalinienne),
- par son époque (début du 19ème siècle ou fin du 20ème siècle),
- par sa santé physique et morale (suicidaires ou enchantées, dépressives ou optimistes),
- par ses choix sexuels (homosexuelle, hétérosexuelle, asexuée ou bisexuelle),
- par ses conditions de vie (aisée ou misérable).

Mais les choix de Lydie Salvayre ne sont pas anodins : déjà parce qu'ils ont marqué sa vie d'auteur & de femme, mais aussi parce que d'une certaine façon, toutes ces destinées se rejoignent pour former une constellation d'idées & de mots parsemés dans la voie lactée littéraire.

"7 Femmes" se lit comme un recueil de contes : un chapitre, une histoire. Toujours fascinante, toujours prenante.

"7 Femmes" s'écoute aussi comme un poème déclamé ou un disque musical : chaque piste propose un nouveau morceau, où les paroles sont différentes mais où la mélodie est homogène.

Au-delà de Emily, Colette, Virginia, Djuna, Marina, Ingeborg & Plath, c'est aussi Lydie qui se dévoile à nous dans ce livre. On découvre Lydie enfant aux prises avec une histoire familiale difficile, une Lydie adolescente qui nous raconte ses premiers émois amoureux et littéraire, une Lydie devenue une jeune femme voulant se lancer dans l'écriture, et la Lydie adulte, auteur consacrée en 2014 par le "Prix Goncourt" pour son roman "Pas pleurer" (citation qui lui vient d'une de ces figures féminines clés pour elle - pardonnez-moi, je ne me rappelle plus laquelle).

C'est donc 8 femmes emblématiques de la littérature que nous (re)découvrons. Des femmes qui ont des relations inextricables avec la vie, avec l'amour et surtout avec l'écriture. Des femmes passionnées, au bord de la folie (ou est-ce davantage du génie ?). Des femmes dérangeantes, scandaleuses et sombres.

Chaque citation a soulevé en moi une vague d'émotion intense (positive ou négative, qu'importe !) : à mon tour, je veux découvrir ces vies, ces oeuvres citées et trouver mes propres moments d'illumination littéraire. Probablement différents que ceux de Lydie Salvayre mais là est tout le plaisir. Je ne peux que saluer le talent de portraitiste de Salvayre qui réussi à marquer notre vie à son tour.

Chaque phrase est à méditer & à conserver : des pépites !

Moi qui n'avait qu'apprécié moyennement "Pas pleurer" lors de ma lecture du roman en septembre 2014 (justement à cause du mélange franco-espagnol et de la ponctuation aléatoire du récit - dont Lydie Salvayre parle déjà ici), je suis plus que ravie d'avoir lu une autre oeuvre de cet auteur. Je suis littéralement enchantée. Et j'adore pouvoir tisser des liens entre les différents ouvrages de Lydie Salvayre et découvrir différentes facettes d'elle, sous des angles si variés.

Un tel coup de coeur que j'ai couru acheter "7 Femmes" directement chez mon libraire, après l'avoir rendu à ma bibliothèque !
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