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EAN : 9782080295606
224 pages
Mialet Barrault (18/10/2023)
3.71/5   98 notes
Résumé :
Jean aimait rire de la mort. Il se moquait de l'embarras des survivants. "Je vous préviens : je n'irai pas à votre enterrement", et il éclatait de ce rire énorme dont il avait le secret.
Le 18 octobre 2022, une bactérie sournoise l'a foudroyé. Il laisse un vide, un silence, un manque insondable. Il laisse aussi la première partie du manuscrit qu'il était en train d'écrire. L'histoire de Louis XI, ce monarque singulier qui, tout en étant de ceux qui ont posé ... >Voir plus
Que lire après L'histoire du roi qui ne voulait pas mourirVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (30) Voir plus Ajouter une critique
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Jean, je t'ai découvert avec “Bloody Mary”, cette B.D. que tu m'as dédicacée, puis j'ai retrouvé ton allure de grand dégingandé qui rentrait pourtant dans le cadre du petit écran de “l'assiette anglaise”, enfin, quel plaisir de lire ton Montespan ou ton Baudelaire au langage “fleuri” comme toute ton oeuvre littéraire.

Toujours souriant et plutôt bonhomme, tu étais aussi truculent.
Et l'on retrouve ta truculence dans ce dernier roman consacré à Louis XI, trop tôt arrêté par cette visite aux “fillettes”, illustrée d'après une gravure d'époque qui a marqué notre jeunesse dans je ne sais plus quel manuel d'histoire.
Même si tu sembles encore te complaire dans la description de l'immonde (voir la citation de la nuit de noces), tes romans sont toujours liés à des faits historiques ; preuve en est que, mourant très jeune, à 20 ans, la première femme de Louis XI soupira ces ultimes paroles : “Fi de la vie !...qu'on ne m'en parle plus…”

Ce roi, si moche, refusait que l'on prononçât le mot “mort” devant lui et c'est cette idée contenue dans le titre qui donne l'angle de ton roman dont les soixante pages n'auguraient que du bon.

Je regarde les photos avec tes amis qui ont tenu à te rendre hommage en complétant cet ultime ouvrage inachevé ; Jaenada parle de toi, de manière touchante, comme d'un “grand Pokémon” aux petites méchancetés cinglantes et drôles. Tu aurais apprécié les illustrations de Dominique Gelli, Enki Bilal, Florence Cestac, Philippe Druillet, potes historiques de la Bande Dessinée et du club de football, le “Mickson BD Club” (1982). “Teulé, le plus grand joueur que la BD ait connu (1,92m). Malheureusement trop gentil sur le terrain, Jean n'ose pas prendre le ballon à plus petit que lui…ce qui lui vaut l'estime de ses adversaires !”

Foot (amateur), BD (à l'époque de son envolée), télévision (de qualité), littérature (pittoresque), tu auras accompagné ma vie.
Salut l'artiste, il me reste quelques-uns de tes romans à lire …
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Bien trop court !!!

Vous, Monsieur Teulé qui étiez de grande taille ..... Trop court, vraiment trop court .... Vous m'avez mis l'eau à la bouche, puis , vous voilà terrassé !

Quel dommage ! Quelle tristesse !

" Et, Paf ! "... Vous, qui auriez dit :
- Heureusement, j'ai fini mon chapitre !

Vous qui étiez selon votre ami Dominique Gelli,
enthousiaste, volontaire,
Vous qui dégagiez une énergie positive,
avec le goût de l'humour et de l'insolence.
Vous, dégingandé, qui maniiez si bien des croustillances.

Louis XI, le Toqué "Universelle araignée", cruel, féroce, malsain,
aura été votre dernier monarque singulier, dont vous commenciez à peine à nous narrer ses plus effroyables crimes.

Florence Cestac dit de vous :
- Il maniait si bien l'humour-amour !

Et Philippe Druillet d'écrire :
" Pour moi, Jean est un Céline contemporain sans le côté nauséabond".

Ah ! Donnez moi de l'immortalité !

Vos livres, sans nul doute, y contribueront et de là où vous êtes aujourd'hui
votre bonne étoile vous tient compagnie.

Au tomber de rideau, le fauteuil est vide !
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A François Busnel qui lui demandait quelle épitaphe il choisirait, Jean Teulé avait répondu : " Et paf !"....

"Et paf !", Teulé est mort ! Et ça fait mal. A ses amis et à nous, lecteurs, qui attendions chaque année son nouveau roman. Et paf, ces rendez-vous n'auront plus lieu !. Quelle sale blague nous a-t-il fait !

Teulé était en train d'écrire (comme toujours) un roman. Il n'était pas question pour ses proches et ses éditeurs que ce roman, en plus d'être orphelin, reste dans les ténèbres.

Difficile de chroniquer un roman inachevé même si, tout de suite, on reconnaît le Teulé qu'on aime lire, bien que le premier chapitre étonne par son exotisme. Car nous voici sur une plage insulaire de mer très lointaine, au loin, une magnifique nef ventrue... et sur le balcon de la proue, le vicomte de la Falaise en train d'aboyer des ordres aux marins absorbés à remonter d'énormes filets de pêche remplis de tortues... dont le sang est destiné à devenir un remède miraculeux et régénératif au monarque de France. C'est que Louis XI puait la maladie, la mort a venir. "Je pue le vieux" , s'exclame-t-il sous la plume de Teulé.

On le reconnaît là, Teulé qui s'intéressait aux personnages sombres et torturés. Il ne pouvait pas mieux choisir que Louis XI, le surnommé "l'Universelle Araignée ", réputé pour être le contraire d'un fanfaron, pour sa laideur et sa supposée manie d'enfermer ses ennemis dans des cages en fer. du pain béni pour Teulé que ce personnage ! Les historiens rétorqueront que cette vision est simpliste, que Louis XI ne fut pas qu'un homme cruel mais qu'il était aussi et surtout un roi visionnaire et moderniste. Mais, comme l'écrit Philippe Jaenada, Jean n'était pas un historien et que, ce qui l'intéressait dans ce personnage, c'était avant tout sa folie, ses peurs, ses crimes, que ça, c'était plus marrant. "Le reste, je m'en fous ", disait-il.

Page 89, le roman inachevé se ferme. Dommage, j'étais aux anges.

Sur le bureau de Jean Teulé, des notes et des notes en vrac attendent pour l'éternité d'être triées, travaillées. La seconde partie et la dernière ne seront jamais écrites par Teulé et pas question qu'elle le soit par un autre. Alors, ses fidèles amis que sont les dessinateurs, Philippe Druillet, Enki Bilal, Florence Cestac et Dominique Gelli, les écrivains, Philippe Jaenada et Benjamin Planchon, l'artiste plasticien et photographe, François Delebecque, ont décidé d'en écrire l'épilogue à leur façon pour lui rendre hommage.

Et paf ! Exclamation choisie par Jaenada pour intituler son texte à la fois drôle et émouvant, plein de ses disgressions et parenthèses habituelles. Dominique Gelli choisit d'inventer un savoureux face-à-face entre Jean Teulé et son personnage ( "Salut, mon Loulou! La forme ? " "Insolent ! Appelle moi Majesté, comme tout le monde "). Florence Cestac, son amie de toujours, dessine sa rencontre avec Jean Teulé devenu son porte-bonheur et le parrain de son fils. Enki Bilal illustre à merveille quelques extraits du roman.

Les textes et photos se succèdent pour accompagner l'Ami Teulé, certainement pas au paradis, lui qui ne croyait à rien d'intagible. " Il n'y a rien avant la naissance, rien après la mort, et pas grand chose entre les deux", a-t-il pu dire.

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Jean Teulé est mort en octobre 2022. Bon vivant, c'est une bactérie foudroyante, responsable d'une intoxication alimentaire, qui a eu raison de lui. Il avait seulement 69 ans. du point de vue de la littérature française, il laisse derrière lui une série de romans variée, faite de BD et de romans, majoritairement tournés vers l'Histoire, avec quelques incursions dans le genre du « true crime ». Mais il était aussi acteur, journaliste, chroniqueur TV, réalisateur.

Lors de son décès il travaillait à un nouveau roman historique autour de la personnalité du roi Louis XI. Un roi de France qui n'avait laissé dans ma mémoire d'écolière que l'image d'un portrait : un physique disgracieux et une tête couverte d'un bonnet lui-même recouvert d'un chapeau. Hélas le roman restera inachevé. C'est donc un ouvrage en devenir qui est publié en octobre 2023, à la demande des amis de l'auteur nous dit l'éditeur.

Difficile dès lors d'émettre un jugement. le livre comporte deux parties. La première, d'à peine 80 pages, est le travail inachevé de Jean Teulé. On découvre un texte qui s'inspire largement de la « légende noire » qui entoure le roi (merci wiki). Jean Teulé y dresse le portrait d'un monarque vieillissant, qui a peur de la mort, hypocondriaque et superstitieux, mais surtout d'une extrême cruauté.
La méchanceté de l'humanité, voilà un sujet que Jean Teulé aimait traiter. Il le faisait toujours avec beaucoup d'ironie, d'humour, jouant sur le registre de l'absurde. Et c'est bien ce qui m'a manqué dans ce texte « works in progress ». Très peu de traces de cet humour que j'apprécie tant chez l'auteur (sauf dans la scène de la crise hémorroïdaire). Et je me demande alors s'il était nécessaire de publier cette ébauche de roman.

La seconde partie du livre a plus retenu mon attention. Elle est constituée de textes et dessins rédigés par les amis littéraires proches de Jean Teulé. Après le (trop) long texte de Philippe Jaenada, j'ai savouré les hommages d'Enki Bilal, de Dominique Gelli, de Florence Cestac, de François Delebecque, de Philippe Druillet, et surtout la vision de la première au théâtre de l'adaptation de ce dernier roman. Dans ces pages on lit tout l'amour qu'ils et elle portent à ce bon vivant, ce jouisseur de la vie parti trop tôt et qui nous laisse non pas un vide mais des abysses insondables.

Merci M. Teulé pour vos chroniques dans « L'assiette anglaise » , pour vos livres qui m'ont fait rire (parfois jaune) et m'ont fait connaître une histoire de France savoureuse et dramatique bien plus vivante que celle apprise sur les bancs de l'école.
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Jean Teulé - L'histoire du Roi qui ne voulait pas mourir - éditions Mialet Barrault - 2023 - 21€
Départ en demi teinte avec une chasse aux tortues géantes. (Càd j'ai rien compris!).
L'histoire semble se passer au 15ème Siècle.
On peut y découvrir dès le début Louis XI prendre un bain de sang et discuter avec Satan. C'est drôle de voir Louis XI avoir une autorité sur Satan.
J'avais des à priori mais au final c'est pas si mal. Ce dont je n'aurais pas à me plaindre, c'est de l'oralité du style.
Le livre est un très bel objet;
Zut alors !! le 18 Octobre 2022 Jean Teulé à trouvé la mort ! Je ne savais pas! Ca fait un petit choc. J'avais lu plusieurs de ses livres et même si je ne les portait pas forcément tous dans mon coeur, il n'y à pas de quoi souhaiter la mort des gens...
Ce livre "L'histoire du Roi qui ne voulait pas mourir" relate avec emphase les passages "à la mémoire de...."
Phoenix
++
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
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critiques presse (2)
LeJournaldeQuebec
08 janvier 2024
Toujours aussi truculente, la plume de Jean Teulé nous permet d’approcher de loin cet homme épouvantable, nous offrant ainsi un plaisir bref, mais intense.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Bibliobs
19 décembre 2023
A la veille de disparaître, Jean Teulé a raconté l’histoire de Louis XI, le souverain qui ne voulait pas mourir.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Philippe Jaenada

Il était exubérant, il était grand, un grand corps, de grands gestes, de grands pas, il riait fort, sans arrêt, un grand rire, il faisait tout en grand, en trop. Le mouvement, la voix forte, l'étonnement permanent, il était l'incarnation de la vie. Même si ce n'était qu'une apparence, qu'une surface (la vie souvent ne brille qu'en surface) - comme les fenêtres qu'on voit éclairées quand on quand on passe en train : ça fait plaisir à regarder, on a l'impression que tout est agréable derrière, que la vie est belle, que la pièce est chaude et confortable et que ceux qui s'y trouvent sont paisibles, insouciants ; alors que non, bien sûr. Jean était comme une fenêtre éclairée. Qui s'est éteinte. C'est difficile à croire.
Louis XI sentait la mort, exhalait la mort des pieds à la tête et la répandait, Jean la cachait à l'intérieur de son grand corps (et dans ses livres). En société, avec son regard clair et sa tête d'éternel ahuri, surpris et heureux d'être là, il sortait du commun, il paraissait plus que vivant, comme une belle illusion, trop vivant pour risquer de mourir un jour (un peu, d'ailleurs comme le croyait Louis XI à propos de lui-même)....
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Lui, voulant prouver sa puissance à l'approche de ses quatorze ans et décidé à ce que Marguerite devienne femme, avance dans la cour du palais avec une assurance de criminel près de soldats qu'il cherche à épater et qui portent des torches. À l'intérieur de la forteresse, vers la nuit de noces qui se sera fait désirer à cause de l'urgence du siège de la ville rebelle, le bruit des éperons du dauphin résonne sur les dalles des marches qui mènent à l'étage. Entrant dans la chambre conjugale, il la salue jusqu 'au sol, balayant le parquet de son chaperon puis annonce d'une voix haute et claire : «A l'attaque !» Chaud comme sang face à elle douillette comme plume, il s'engage dans quelque aventureuse guerre d'amour physique sans issue. La voila, à onze ans, vite toute en sueur et les yeux en lanternes. Il la chevauche tel que s'il débourrait une mule espagnole : « Je veux te réduire à l'obéissance !» Loin de l'onctueux «Je vous marie » prononcé en Latin lors de la cérémonie officielle, le nouvel époux se comporte comme un batteur de cuivre. Entendant ce qu'il se passe dans la chambre parce que sa fenêtre est restée ouverte, au milieu de la cour du château des courtisans se marrent : « Il m'est avis que notre dame Marguerite, ici, va très fort regretter sa moelleuse chambre de manoir écossais ! » Des dégâts, il y en a! Louis foule aux pieds l'innocence de la dauphine. Il attaque son hymen comme à la masse, la mord au sang, la gifle à lui casser des dents pour le plus grand plaisir des badauds dans la cour à qui il veut démontrer qu'il est un homme désormais. Tout encore exalté par la victoire de la veille, il guerroie sa frêle épouse avec la même frénésie que les murailles de Château-Landon, lui fait pousser des cris jamais entendus car, après avoir détaché sa courroie d'un talon, il ravage profondément l'entrejambe de Marguerite avec un éperon dont la molette tournoyante détruit tout l'intérieur des entrailles de la princesse. Ensuite, la laissant voilà qui est fait ! » laissant en torchis et riant dans ses yeux gris, il sort de la chambre en gueulant : "Parbleu, voilà qui est fait ! "
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Mon art m'offre des ressources infinies ignorées de tous les autres médecins, par exemple celle-ci. Écartez vos fesses.
Jacques Coictier agite, tel un hochet, devant Louis XI quelque chose qui ressemble à un suppositoire à base de racines d'iris enveloppées dans un morceau de laine cousu et trempé dans du miel et de la myrrhe
- C'est pour apaiser vos hémorroïdes internes. Allez, prenez courage, sire. Ce sera l'affaire d'un instant.
Outre ses indéniables talents médicaux, le docteur Coictier, qui a su trouver la faille mentale de son protecteur semblant maintenant prêt à délier largement les cordons de sa bourse et à combler d'honneurs et de récompenses si on lui promet de vivre encore, trouve aussi, parmi le fatras de boursouflures couvertes de jaune d'oeuf, l'entrée du douloureux anus royal à l'intérieur duquel il glisse sans façons un doigt pour pousser le suppositoire en laine (rêche, pas en cachemire ! ) tout en réclamant :
- Pour mon neveu, je veux l'évêché d'Amiens!
- Hou, que ça pique! ll est évêque votre neveu ?
- Non, curé.
-Évêché accordé !
Coictier glisse un second doigt:
- Et pour moi, j'exige la châtellenie de Saint-Germain- en-Laye qui vient d'ètre libérée car sans héritiers.
-Je vous la donne aussi, mais retirez vos doigts de mon cul !
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Même si ce n'était qu'une apparence, qu'une surface (la vie souvent ne brille qu'en surface) -comme les fenêtres qu'on voit éclairées quand on marche seul la nuit, ou quand on passe en train : ça fait plaisir à regarder, on a l'impression que tout est agréable derrière, que la vie est belle, que la pièce est chaude et confortable et que ceux qui s'y trouvent sont paisibles, insouciants ; alors que non, bien sûr. Jean était comme une fenêtre éclairée. Qui s'est éteinte. C'est difficile à croire.
(Philippe Jaenada)
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Je n'en reviens pas. D'être en train de faire ce que je fais. Aligner des mots après ceux de Jean, essayer de prolonger ses dernières pages, pour que l'ensemble fasse un livre. Ses derniers mots :"Être impitoyable ". Ils sont troublants ces derniers mots, après tant d'autres. Ils lui ressemblent, et à la fois pas du tout. Et sa dernière page : l'hommage à François Villon - ça c'est lui, ça lui ressemble, ce dernier salut, après toute une vie d'écriture, d'anticonformisme, de poésie.
Philippe Jaenada
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