Questions-Réponses

Bonjour,


La machine de René Belleto, livre lu juqu'au bout et je n'ai pas aimé du tout. Je ne le relirai jamais.

Simon Liberati  California girls récit du crime de Sharon Tate par l'effrayante bande de dingues manipulés par Charles Manson.

Sans hésitation, 1984 de George Orwell.

L'alliance de la brebis de Gabrielle Lavallée

My Absolute Darling  de Gabriel TALLENT.
Je n'avais qu'une hâte : achever ce livre encensé par la critique, voire qualifié de chef-d'œuvre, qui m'a véritablement mise très mal à l'aise. Je me demande encore ce que l'auteur a cherché à faire..

Le premier, c'est Il faut qu'on parle de Kevin, de Lionel Shriver. Je ne pensais pas qu'il était possible de me faire revivre ça, et puis j'ai lu La vraie vie, d'Adeline Dieudonné.   Vala vala.

Pour moi ce fut les rivières pourpres, de Jean-Christophe Grangé. On me l'avait offert., il doit bien y avoir 20 ans ! C'était la première fois que je lisais un roman aussi glauque : les descriptions sont si bien faites que l'on visualise très bien tous les détails des tortures;. le livre est captivant car je l'ai terminé mais je n'ai plus jamais ouvert de livre de Grangé.  Glacé de Minier m'a fait un peu la même impression. !

Je citerai Jean-Christophe Grangé... c'est assez sanguinolent... Les Rivières Pourpres - le Vol des Cigognes.

Le livre le plus terrifiant que j'aie lu?
Sérotonine de Michel Houellebecq. C'est l'horreur vraie, celle de la vie, et de la dépression. C'est par ailleurs un chef d'oeuvre
Le fantastique n'est qu'un aimable divertissement qui fait oublier la réalité.
Une exception pour Simetierre de Stephen King, dont le vrai sujet est la réalité de la mort
Quant à l'horreur, si on entend par là le gore, le sang et les tripes, ce n'est qu'une forme de pornagraphie

De mon côté il ne s'agit pas d'un livre d'horreur mais le livre Entrez dans la danse de Jean Teulé m'a réellement angoissée, je n'ai même pas pu garder ce livre chez moi je l'ai déposé dans une boîte à livres.

Terreur et l'échiquier du mal
Dan Simmons

Assez bizarrement "Les loyautés" de Delphine de Vigan.