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EAN : 9782207140680
304 pages
Denoël (18/01/2018)
3.88/5   1253 notes
Résumé :
Une petite barque, seule sur l’océan en furie.
Trois enfants isolés sur une île mangée par les flots.
Un combat inouï pour la survie d’une famille.

Il y a six jours, un volcan s’est effondré dans l’océan, soulevant une vague titanesque, et le monde a disparu autour de Louie, de ses parents et de ses huit frères et sœurs. Leur maison, perchée sur un sommet, a tenu bon. Alentour, à perte de vue, il n’y a plus qu’une étendue d’eau argent... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (350) Voir plus Ajouter une critique
3,88

sur 1253 notes
Waouh !! Je ressors de cette lecture totalement époustouflée et de plus en plus admirative du talent de cette auteure !
Ce roman est pour moi un gros, un énorme, un gigantesque coup de coeur !

Sandrine Collette nous plonge dès les premières pages dans une atmosphère de fin du monde. Six jours après l'effondrement d'un volcan dans l'océan. La mer a tout ravagé.
Seul paysage... l'océan à perte de vue.
Et il y a cette famille qui a survécu au grand raz-de-marée: un couple et ses neuf enfants. Juste eux, perdus au milieu de cette immensité.
Dans l'attente et l'espérance d'une décrue possible, la famille se soude et observe.
Mais non, la mer ne l'entend pas ainsi et au contraire, elle ne cesse de monter.
Seul issue possible: partir. Trouver les terres hautes. Sauf qu'avec une barque trop petite, certains devront rester et attendre qu'on revienne les chercher.
Commence alors l'incroyable histoire d'une famille déchirée. D'un côté, les trois enfants restés sur l'île et de l'autre, le périple de la famille partie en pleine mer.

J'ai adoré lire cette histoire ! Comme d'habitude, Sandrine Collette trouve les mots justes pour planter son décor. Elle nous y entraîne avec une force prodigieuse. Cette atmosphère apocalyptique, avec la mer comme une entité vivante, effrayante, implacable, nous fait frissonner.
On va de surprise en surprise. Malgré un climat oppressant, comme si le monde s'était arrêté, Sandrine Collette à une imagination débordante. On ne s'ennuie pas une seconde.
Je me suis attachée à ces trois gamins abandonnés sur l'île. On vit avec eux leur détresse et cette question qui les obsède: pourquoi eux ?
Douze jours à attendre le retour du père. L'auteure montre parfaitement que la notion du temps n'est pas la même quand on est enfant. Un temps qui leur paraît interminable !
Tout au long de l'histoire on se demande si à leur place on auraient préféré rester sur l'île ou être sur la barque. Car c'est aussi périlleux d'un côté comme de l'autre.
La survie est la préoccupation de chacun.

J'ai vraiment aimé la relation entre les différents membres de la famille.
L'attachement et le lien de Maddie pour ses enfants est extrêmement bien décrit. L'auteure trouve encore une fois des mots puissants pour retranscrire cet amour maternel, un amour inconditionnel.
Elle montre aussi comment l'instinct de chacun se révèle être bon ou mauvais lorsqu'il s'agit de sauver sa peau.
La fin est un peu prévisible mais elle n'enlève en aucun cas l'immense plaisir que m'a apportée cette lecture.

Ce roman mérite une vraie vague de succès ! Avec les Six fourmis blanches, je le classe au top des romans de l'auteure.
Amis lecteurs, jetez-vous à l'eau sans plus attendre !

Un énorme merci à Babelio pour ce superbe roman et merci de m'offrir également l'opportunité de vivre une rencontre avec cette auteure que j'affectionne énormément.
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A partir d'une situation classique type post apocalyptique - une vague géante à submerger une partie de la Terre, des survivants dans un monde devenu hostile - Sandrine Collette choisit de partir sur autre chose : pas de développement prophétique, moralisateur ou politique, pas de dénonciation de l'impact dévastateur de l'homme sur la planète ( jamais on ne saura la cause initiale de ce tsunami ), non juste une famille au coeur du chaos, 11 personnes face à leur instinct de survie, face à leurs ressources mentales, redevenues des bêtes comme les autres dans une nature pour laquelle ils ne sont plus adaptés.

C'est très habile d'avoir imaginé dans ce décor une famille aussi nombreuse ( les deux parents + neuf enfants ), une infinité de possibles avec cette minuscule société qui va être confrontée à un terrible choix : une embarcation qui ne peut contenir que 8 personnes, 3 enfants à laisser, de ces choix impossibles qui déchirent à jamais. L'intrigue bascule ainsi très vite dans le thriller psychologique lorsque le groupe se sépare entre ceux qui abandonnent et ceux qui sont abandonnés.

L'écriture de Sandrine Collette est d'une grande précision au service d'une puissance d'évocation remarquable, décrivant parfaitement le déchaînement des éléments de cette mer, ses vagues, cette eau qui rend la vie si précaire. Même si c'est parfois répétitif, le lecteur est plongé dans un état de stress et d'angoisse très fort, sentant que tout peut arriver et que les échappatoires vont être limités.

Le talent de l'auteure réside également dans la justesse psychologique des personnages. Des enfants en premier lieu, surtout les trois abandonnés, restant malgré tout des enfants même dans cette situation terrifiante, vivant dans l'immédiateté du moment sans représentation précise de la mort, alors que les parents vivent dans la conscience de cet abandon auquel ils ont été contraints. Justement, le personnage de la mère est magnifique, on ressent toute la souffrance qui l'assaille dans sa chair, son amour inconditionnel pour ses enfants au-delà du tourment de la culpabilité. A chaque instant, je me suis demandée ce que j'aurais fait à sa place, ce que j'aurais ressenti dans cette quasi tragédie antique.

Un thriller psychologique très réussi, intelligemment mené.
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Du bleu à perte de vue... Pas une âme qui vive à l'horizon depuis qu'un volcan s'est effondré sur l'océan et que la vague a déferlé sur le monde, emportant tout sur son passage. Maison, arbre, voiture, corps humain. Seule subsiste une famille, coincée sur une petite colline. Isolée du reste du monde, elle tente de survivre depuis six jours. Pata, Madie et leurs neuf enfants, âgés de 1 à 15 ans. La nourriture commence peu à peu à diminuer, il est certain qu'ils ne pourront pas rester éternellement sur cette colline d'autant que le niveau de l'eau ne cesse de monter. Alors, il faut partir, coûte que coûte. Essayer de rejoindre les terres hautes. Malheureusement, avec pour seul moyen de navigation cette petite barque, Pata et Madie ne peuvent emmener tous leurs enfants. Reste cette décision cruciale à prendre : quels enfants embarquer ? Quels enfants laisser avec l'espoir de revenir les rechercher ?

Dès les premières pages, l'on plonge littéralement dans cette intrigue apnéique. Un petit bout de terre où survivent des enfants, une barque en plein milieu de l'océan. Et l'eau qui manque, inexorablement. Vont-ils tous s'en sortir ? L'on retient notre souffle et l'on assiste, impuissant, à ces combats inégaux, à cette lutte sans merci contre la Nature, à cette effroyable course contre la montre. Aucun répit ne sera laissé à cette famille écartelée. Celle affrontant la mer, bravant les éléments, l'âme chevillée au corps. Celle devant survivre sur la colline, les yeux tournés vers l'horizon, avec l'espérance de ne pas avoir été abandonnée. Dans cette quête de plus en plus primaire et égoïste, Sandrine Collette plonge le lecteur au sein d'une intrigue captivante de bout en bout et à l'ambiance de plus en plus oppressante et froide. Englouti dans ce récit à la fois terrifiant et émouvant, l'on en ressort essoré...
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Collette, c'est chouette...habituellement.

La mode est aux romans (films) post-apocalyptiques, ça tombe bien, je ne m'en lasse toujours pas.

Mais le fait d'apprécier le genre ne veut pas dire valider guillerettement et systématiquement, l'oeil ébaubi et la lèvre inférieure tremblotante d'excitation préconçue, le moindre écrit s'y référant.

Une fois de plus, la grosse et méchante vague a tout emporté sur son passage.
Ne subsistent que quelques naufragés climatiques claquant du fessier quant à leur avenir un brin compromis, du coup.
Le terrain, ultra balisé, peine déjà à me donner ♫l'en-vie d'ai-meeuuuuh♪
Mais peu n'importe, n'écoutant que mon courage relatif, je poursuis.
D'un oeil blasé, les pages défilent mollement jusqu'à la divine surprise, un choix cornélien de parents indignes prêts à sacrifier deux-trois rejetons afin de sauver le reste de la fratrie. Faut dire qu'avec neuf gamins, la barcasse salvatrice apparaît bien frêle.
Là, ça devrait dépoter que je me suis dis, de mémoire.
Plouf : ressenti général persistant une fois le twist de malade mental digéré et j'ai la digestion quasi spontanée.
Exceptées deux-trois situations critiques qui eurent le mérite de me faire entrouvrir les deux ye.., un oeil, entre deux soupirs désillusionnés, rien de neuf à se mettre sous la dent si ce n'est moult scènes rebattues à l'envi même si narrées avec un certain brio, il faut bien le reconnaître.
Ah si, j'ai bien aimé ce personnage à part entière, tour à tour rassérénant et mortellement inquiétant, j'ai nommé l'océan.
De là à m'y noyer de ravissement...

Vaguement apprécié juste après la vague mais p'têt bien que j'divague...
Ressenti a-mer, quoi qu'il en soit.
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La vague est passée. Elle a tout emporté, tout balayé. Les humains comme les animaux, les constructions tout est parti, liquidé.
Une famille de onze personnes un peu plus haut perché que les autres a résisté. Mais la situation n'est guère brillante. A perte de vue ce n'est qu'une gigantesque étendue d'eau.
L'eau qui irrémédiablement continue de monter. Lentement … inexorablement.
Le père doit prendre une décision. Une terrible décision. La barque n'est pas assez grande pour emporter dans un lieu sûr toute la famille. Les grands viendront et participeront à l'avancée du rafiot, les petits ne sont pas autonome. Ce sont les trois du milieu qui se réveillent un jour et qui trouve le mot sur la table ...
Alors à chaque chapitre on s'interroge : est-ce-que ça peut être pire ? Oui. Sans cesse comme une vague qui vient et qui revient la situation glisse, dérape vers plus d'horreur.
C'est armé de mots simples que l'auteure distille tout doucement cette intrigue. Des mots simples pour décrire des émotions et des comportements humains plus vrais que nature.
Sandrine Collette a un talent indéniable pour nous conter un huis-clos glacial, terrifiant avec des descriptions à couper le souffle.
Ce n'est pas le premier que je lis d'elle … sûrement pas le dernier.
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critiques presse (1)
Actualitte
15 février 2018
Plus que le suspense ou les rebondissements, c’est avant tout une ambiance pesante, un cadre resserré, une situation tragique inéluctable d’emblée exposée, qui ancrent le lecteur dans un état de stress et d’angoisse et lui laissent peu d’échappatoire.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (162) Voir plus Ajouter une citation
Après le dîner, ils s’enroulent dans les couvertures, les yeux à demi fermés par l’épuisement. Autour d’eux, le reflet des étoiles inscrit des millions de lumières sur la mer, comme des lampions un jour de fête ; si nombreuses qu’ils ne voient plus l’eau noire en dessous d’eux, brodant un tapis de minuscules soleils dont ils contemplent l’écho la tête renversée en arrière, jouant à retrouver sur l’océan les constellations qu’ils repèrent dans le ciel, et qui tremblent et clignotent tandis qu’ils les montrent du doigt en s’exclamant, déçus d’en connaître si peu, fascinés par les lueurs et les éclats. Quand Noé se penche pour éclabousser la mer des deux mains, l’univers se trouble et se plisse, les étoiles se floutent. Il faut longtemps pour que la mer retrouve sa surface étale, que les vaguelettes se calment – pas grave, ils regardent le ciel à nouveau, immobile malgré les sillages des satellites, Perrine a reconnu la Petite Ourse et, un peu plus haut, l’étoile Polaire. Ils s’endorment trop vite, la fatigue a raison d’eux. Et s’ils se réveillent dans la nuit, quand le gloussement d’une poule qui rêve les dérange, ils se rassurent aussitôt, bercés par les lumières d’un monde qui veille sur eux.
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Ils étaient là tels des chatons trempés sous la pluie, calés les uns contre les autres avec leurs regards hébétés, les yeux qui cillaient à cause des rafales de vent et des averses chaudes. Devant eux, c’était la mer, mais pas que. Derrière, à gauche, à droite, c’était aussi la mer. En six jours, ils n’avaient pas eu le temps de s’habituer, mais ils avaient compris que le monde ne serait plus jamais comme avant. Ils ne disaient rien. Juste, ils se tenaient par la main tous les onze, le père, la mère et les neuf enfants, visages fouettés par le temps devenu fou, par le déluge qui ne s’arrêtait pas, ou si peu, les obligeant à se replier autour de la maison.

Six jours depuis la vague.

Le raz-de-marée était arrivé et personne ne l’avait entendu. Ou si quelqu’un l’avait entendu, c’était déjà trop tard.

S’ils auraient dû le prévoir ? À quoi bon se torturer, avait chuchoté le père, à présent que c’est fait.
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Alors pas de quoi remercier le ciel ou le sort ou quoi que ce soit, rumine Madie. La douleur, elle en a eu son content, et si elle a mis des enfants au monde, ce n’est pas pour qu’on les lui prenne. Avant qu’elle pardonne au monde, il va se passer un moment. C’est qu’elle a de la rancune, Madie : une semaine de deuil et le destin en serait quitte avec elle ? À d’autres. À peine eu le temps de se rendre compte. D’ailleurs Madie lui garde un chien de sa chienne, au ciel, à commencer par le mépris dont elle le couvre. Un crachat dans l’eau, quand Pata a le dos tourné. Un poing vengeur, un regard furieux. Elle aime croire que cela le blesse. Au fond, elle n’en mène pas large. Tant pis, elle crâne. Parie que le ciel n’osera pas venir la trouver deux fois de suite, pas si vite.
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Le temps glisse sur elle. La mort de Lotte lui a fait une étrange carapace. Personne ne la voit qu'elle, une toile transparente qui lui amène les bruits feutrés, les images voilées. Les lumières atténuées, et les voix qui se déforment. La mère n'y peut rien, c'est venu tout seul. Parfois cela l'arrange ; parfois elle aimerait s'en détacher car quelque chose en elle est conscient que cette curieuse léthargie ne doit pas vaincre tout à fait, qu'il faut l'en empêcher sinon elle sombrera pour de bon, ce qui ne la gênerait pas tant, Dieu, mais tout de même, il y a les autres. Elle ne devine pas que son cœur lentement se répare, jouant des aller-retours sur le chemin d'une guérison qui n'en sera jamais une, un pansement peut-être, une compresse pour appuyer bien fort là où cela saigne, juste de quoi continuer, se lever le matin, une pommade pour l'enfant disparue.
Mais non, Madie n'en a pas idée, c'est trop vite. Elle n'imagine pas que la nécessité puisse avoir raison de la douleur de cette façon-là, avec tant d'indifférence et tant de renoncement. Le chagrin la dévore et la déserte. 
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Les larmes, bien sûr.
Noé s'agenouille le premier. Il appelle leur mère. Perrine s'assied à côté de lui, le prend dans ses bras. Louie s'ajoute. Tous les trois ils se tiennent ensemble, mains serrées, blanchies par l'énergie qu'ils mettent à se promettre en silence de ne pas se quitter. Trois petits êtres qui pleurent joue contre joue, avec des mots en sanglots que le vent emporte.
Ont peur.Ils ne savent pas qui le dira le premier : pourquoi les parents les ont-ils laissés ? [...] Pourquoi pas les autres.C'est Noé qui demande.
- Je sais pas, murmure Louie d'abord.
Perrine renifle sans quitter l'horizon du regard, comme si elle pouvait manquer les parents sur la barque, là-bas sur l'eau. Sa petite voix claire, pareil. Je sais pas.
- Parce qu'on fait des bêtises ?
Silence. Peut-être qu'ils réfléchissent. Noé reprend.
- Parce que je suis trop petit, que Louie a une jambe malade et Perrine un seul œil, c'est pour ça qu'ils nous ont laissés ? Parce qu'ils ne nous aimaient pas ?Au même instant, ils répondent dans un souffle.
- Non, dit Perrine.
- Oui, dit Louie.
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Vidéo de Sandrine Collette
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