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Philippe Blanchard (Autre)
EAN : 9782221050293
280 pages
Robert Laffont (12/09/1999)
3.5/5   22 notes
Résumé :
" Dans une prose élégante et fruitée, Henry James cède quotidiennement à sa passion du beau et du rare.
Même sous la bruine, il se laisse enivrer par les couleurs et les parfums d'un potager du Loiret, par la majestueuse architecture d'un château, par le charme des lingères agenouillées au bord de l'eau (...). Après la lecture enjouée de ce livre enchanteur, c'est avec la reconnaissance du cœur que le Français d'aujourd'hui accorde la naturalisation affective... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
En introduction, Léon Edel s'étonne de "l'impression d'aisance, de confort même, se dégageant d'une expédition que l'on trouverait aujourd'hui épuisante et fastidieuse..."

Henry James, né en 1843, décédé en 1916, était un écrivain américain du XIXème siècle. Grand voyageur, il aimait contempler la vieille Europe dans son architecture, ses terres, son histoire et son humanité.

Dans "Voyage en France", visions et sentiments extraits de ses notes, souvenirs parfois fugaces et incertains, il peint notre pays de manière réaliste et non caricaturale. Sa toile, il la prépare en racontant une vie, une histoire, avant de détailler le paysage. Ainsi, l'Histoire de France, celle de nos souverains, de nos auteurs, de nos artistes... se mêle à nos pierres et à notre terre.

Pour l'étranger qui s'aventure dans nos régions, Henry James dit que la France est plus qu'une capitale agrémentée de ses monuments et de sa Tour Eiffel. Elle est avant tout un pays morcelé de terroirs riches, nuancés et complexes. Plusieurs fois dans son récit, il rend hommage à Balzac, Sand, Rabelais... qui honorent la province dans leurs romans.
La littérature est un merveilleux support pour le tourisme !

1882,
Son périple débute à Tours. C'est en octobre, l'automne, avec des journées ensoleillées, pluvieuses, venteuses. La Touraine a une terre généreuse pour ses vignes, ses vergers... ses châteaux... et son "pedigree royal". La Loire, capricieuse et superbe, est un ornement, un bijoux qui scintille sous les couleurs du temps. L'auteur déploie sa fougue avec des mots qui chantent sa majesté. Ce n'est pas une écriture pompeuse, grandiloquente, mais simple, aisée, stylée, qui nous aimante.
Dans la ville, il recherche l'héritage historique et se montre très curieux pour la cathédrale.
De Tours, il arrive à Blois. La Renaissance domine les terres de la Loire.

Très scrupuleux, il prévient le lecteur-voyageur de quelques déceptions ou de certaines importances sur des constructions, une place, une petite rue, un escalier... une porte. Artistiquement, il met en scène le décor, les éléments, et devient le soupirant qui conte fleurette à sa demoiselle.
En une vingtaine de pages, il croque les villes. Il est bon de conseiller au lecteur de souligner les passages accrocheurs car Henry James a la précision d'un peintre, d'un architecte ou d'un paysagiste. Il ne complimente pas toujours ce qu'il regarde. Il ose traiter de "grotesque" et de "vulgaire" certaines choses sacrées par l'Eglise Catholique. Ses anecdotes abondent et rendent un recueil vivant et passionnant.

Chenonceaux... En ces lieux, il expérimente un adage... Que le monde est petit ! Il retrouve son gondolier vénitien attitré ! Henry James est aussi un amoureux de l'Italie, qu'il visite régulièrement.
Il compare le Château des Dames a une villa. L'intimité qu'il dégage, apporte à l'édifice un statut familier et non cérémonieux. Il est vrai que lorsqu'on voit pour la première fois le château de Chenonceau, on se sent en villégiature et on ne retient de son histoire que les fastes du temps de Diane de Poitiers et non la rigueur de Catherine de Médicis.

Azay-le-Rideau... Langeais... Chambord... Il trouve du charme à la pluie et au froid. Il est de bonne composition !
De Chambord, il dit que ses terres sont potagères. La terre sablonneuse est fertile. Il décrit la traversée du petit village qui s'épanouit à l'entrée du château, la taverne, la place, l'allée qui mène vers un palais enchanteur. La cour, l'escalier à double révolution, le vide intérieur... "sa séduction mystique"... C'est dans cette description que je me suis le plus projetée. Je lisais ses évocations et je revivais ma visite, une journée de bonheur en famille.

Il traverse des forêts pour aller à Cheverny, Chaumont, Amboise... il raconte des cocasseries avec les gens du cru, il rend une atmosphère, s'attarde volontiers sur le portrait d'un représentant de commerce, une hôtelière, une grand-mère... et dénigre les idées préconçues sur les Français ; ils ne sont pas tous bavards et bruyants !
A pied, à cheval, en train, en omnibus, en diligence, accompagné, solitaire, il semble avide de découvrir la moindre petite pierre, d'admirer toutes les voûtes des cathédrales et le secret des petites églises.
Ce n'est pas toujours sous la lumière qu'il accoste dans les ports. Ses arrivées se font aussi la nuit et elles prennent alors une autre dimension.

Loches, Bourges, le Mans... A cette époque, les rentrées scolaires se faisaient en octobre. Sur le quai de la gare, l'effervescence est estudiantine.
Angers, Nantes, La Rochelle, Poitiers... Les villes ne se confondent pas, mais l'enchaînement rend des similitudes entre elles. L'oeil du connaisseur cherchera dans sa lecture le plaisir des descriptions et celui qui projette son voyage notera avec délice les "petits trucs" de l'éclaireur parti en reconnaissance.
Angoulême, Bordeaux... Vision d'un autre siècle sur les quais bordelais. Ville marchande, ruche rugissante, on y côtoie des hommes rudes, les Basques.

Toulouse, Carcassonne, Narbonne, Montpelliers, le Pont du Gard... le sud est éclatant, même sous la pluie et le vent automnal. Il rappelle les écrits de Stendhal sur "Ses mémoires d'un touriste" et souhaite percevoir l'antique nation de Rome dans l'architecture de ces villes. Mais à son grand désespoir, les monuments sont bien souvent délaissés à leur état de ruine.

Aigues-Mortes, Nîmes, Tarascon, Arles, Les Baux, Avignon, Villeneuve-lès-Avignon, Vaucluse, Orange... La boucle va bientôt se refermer... Mâcon, Bourg-en-Bresse, Beaune... et Dijon.

"Sur la berge la plus proche, je trouvai un banc sur lequel je m'attardai un moment : c'est exactement ce genre d'endroit que j'aime. C'était le terme ultime de mon petit tour de France. Comme j'étais assis là, j'y repensai, avant de prendre le lendemain l'express pour Paris ; et tandis que la lumière baissait sur le parc, certaines des choses que j'avais vues m'apparaissaient avec plus de clarté."

S'asseoir un petit moment et retrouver les images, les impressions figées dans notre mémoire. Des détails ont fuit, mais ils reviennent à l'évocation d'un ressenti ou à l'imbrication d'éléments que l'on énumère. Henry James le reconnaît dans sa dernière strophe. C'est ce que j'ai fait... Lire ce carnet de voyage et revivre mes visites. La magie a opéré. Entre les pages, j'ai revu des châteaux, la cathédrale de Bourges et ses vitraux, Nîmes et son arène, sa maison carrée, les murs de la citadelle de Carcassonne et ceux de la Cité des Pâpes à Avignon... L'espace du temps qui nous sépare est aboli, on voit les mêmes choses, on respire le même air.
Pour les lieux que je n'ai pas explorés, j'ai pris des notes. Depuis longtemps, je voudrais aller à Beaune. J'aurais alors le privilège d'admirer le polyptyque du Jugement dernier, le retable peint par Roger van der Weyden qu'Henry James n'a pas eu le plaisir de voir ! A l'heure où il était, les soeurs hospitalières des Hospices déjeunaient dans leur réfectoire face à la peinture flamande et il n'était pas possible de les déranger... Nous en garderons une leçon, comme quoi en voyage, il est judicieux de tout programmer !

Pour ceux et celles qui désirent prendre les routes de France, baguenauder dans nos campagnes, s'imprégner de l'Histoire à travers nos pierres et notre art, laissez Henry James vous accompagner... il paraît être un homme charmant et de bonne compagnie.
Ce carnet de voyage amène aussi le rêve... au fond d'un canapé ou à l'ombre d'un arbre dans son jardin.

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Ce récit est une vraie invitation au voyage, une douce promenade à travers la France. Henry James a effectué son « Little tour » dans notre pays en 1877 durant six semaines. Grand connaisseur de l'Italie, la France à qui il trouvait des similitudes l'intriguait beaucoup. Et comme il était fréquent à l'époque pour les écrivains-touristes (Stendhal, Mérimée, Flaubert entre autres), Henry James notait ses impressions sur un petit carnet à chaque visite. le récit sur son voyage en France sera publié pour la première fois en 1884 dans The Atlantic Journal.
L'auteur débute son « circuit touristique » à Tours et sillonnera ainsi une quinzaine de villes et de lieux qui méritent le détour dont Blois, Chambord, Chenonceaux, Bourges, le Mans, Nantes, La Rochelle, Poitiers, Toulouse, Carcassonne, Montpellier, le pont du Gard, Tarascon, Arles, Avignon, Orange, Bourg-en-Bresse, Beaune et terminera sa route dans la capitale bourguignonne Dijon.
Henry James ne se contente pas de décrire les cités, châteaux et autres monuments, il pose un regard juste et sensible sur ce qu'il voit. de la beauté des paysages à la dureté des batailles anciennes, en passant par des images pittoresques de femmes aux lavoirs et de paysans aux labeurs des champs, il propose au lecteur ses reflexions et ses humeurs. Il aime observer les petites choses, les détails que personne ne voit, une ruelle singulière, un rayon de soleil frappant une pierre ou un jardin. Evidemment, l'ouvrage est parsemé de références historiques mais offre aussi un éclairage intéressant sur l'époque dudit voyage – la vie quotidienne dans les campagnes à la fin du dix-neuvième siècle –.
le tourisme de masse n'existait pas encore, ce qui fait que le regard d'un écrivain , étranger de surcroît, est d'autant plus précieux. Et les yeux de l'auteur américain nous apparaissent ici d'une grande bonté. Il aime les gens. Il aime les regarder « évoluer » dans leur pays, observer leurs activités et leurs habitudes. Il s'intéressent aux hommes et aux femmes autant qu'au décor environnant, semblant rechercher une certaine harmonie, un équilibre entre eux et le milieu dans lequel ils vivent. Un voyage délicieux.

Lien : http://lesmotsdelafin.wordpr..
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Au début du vingtième siècle, Henry James, l'écrivain le plus lu à cette époque (aux états Unis et ailleurs) fut chargé par le New York Times de visiter la France pendant six mois afin d'envoyer aux lecteurs, chaque semaine un compte rendu des monuments à voir, des sites à visiter, des hôtels recommandables et des meilleurs restaurants – une sorte de guide pour touristes (obligatoirement riches à l'époque).
Il s'acquitta de façon très professionnelle de sa tâche, dans tous les domaines, mais bien sûr avec une attention particulière pour la gastronomie. C'est ainsi qu'il mangea dans tous les restaurants qui plus tard (à partir de 1926) se verraient récompenser par des étoiles Michelin.
Lors de son périple, il arriva à Mâcon, et décida de prenndre une journée de plus pour se rendre à Bourg en Bresse, visiter le Monastère royal de Brou.
Après la visite – je vous la recommande, les sculptures, les proportions sont splendides, et le musée est très riche tant en sculptures (une splendide vierge en bois polychrome de 14° entre autres) qu'en peinture (à côté de Doré vous verrez Degottex, Soulages...) - il était l'heure où il avait faim...à cette époque , il y avait une seule auberge devant le monastère, sans enthousiasme mais affamé, il s'y rendit.

Et, O! Merveille, il fit le meilleur repas de sa vie, ce repas, se composait, nous dit-il, d'une omelette de douze oeufs, d'une miche de pain et une livre de beurre d'Etrez – vous avez bien lu, une livre; 500 grammes!
Je vous confirme trois points:

1 la visite du monastère de Brou est toujours d'un très grand intérêt,

2 on mange toujours bien devant le monastère,

3 le beurre d'Etrez est encore le meilleur beurre que vous puissiez manger. (Je n'ai aucun lien de quelque nature que ce soit avec la fromagerie d'Etrez)

Etrez est une commune de l'Ain à une quinzaine de kilomètres de Bourg en Bresse.
Lien : http://holophernes.over-blog..
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Un beau tour de France que voilà. Nous sommes en 1882 et Henry James entreprend de visiter quelques lieux à travers la France. Des châteaux de la Loire à Beaune et Dijon, en passant par quelques villes (Nantes, Bordeaux, Toulouse, Montpellier) et la Provence (Avignon, Aigues-Mortes, Pont du Gard ...) on se régale de ces chroniques.

Évidemment à l'époque le tourisme est balbutiant, et la plupart des lieux tels qu''on les connaît aujourd'hui sont parfois à peine restauré, voire en état de quasi abandon. La structure touristique n'existe pratiquement pas, on va, on vient, on trouve un gardien qui ouvre des portes, explique le monument et éventuellement vend des photos ou un guide. Car c'est sous l'angle du patrimoine architectural et plastique (peinture et sculpture essentiellement) que les commentaires sont rédigés. Mais au delà, on mange et on couche dans des auberges pour voyageurs de commerce, et les déplacement en train ou en patache sont parfois épiques.

Ne cédant en rien à la facilité, Henry James donne une opinion, il assume la subjectivité de son jugement qu'il cherche néanmoins à tempérer.

Sans être un guide de voyage, la lecture s'apparente plutôt à une aventure touristique, à une expérience unique que le voyageur du XXIème siècle envie à tout point de vue.
Lien : http://animallecteur.canalbl..
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Interessante photographie d'une partie de la France en 1882 par un touriste américain qui a tout son temps (le rêve !) pour découvrir, visiter, critiquer, admirer mais aussi détester quelques villes et leurs monuments, quelques provinces et leurs paysages. Très subjectif mais on passe un bon moment ne serait ce que pour comparer les lieux avec l'époque actuelle.
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critiques presse (1)
Telerama
04 juillet 2012
Cette œuvre méditative et colorée, pétrie de références culturelles, n'est jamais pédante, car l'homme sait regarder et transmettre, rêver entre passé et présent.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
L'herbe était parsemée de petites pierres blanches et quelques oliviers bas y poussaient. L'après-midi était d'un jaune éclatant. Je m'assis dans l'herbe, sous un des petits arbres, dont les branches n'étaient guère loin de ma tête, et je me reposai en regardant Avignon de l'autre côté du Rhône. C'était très doux, très tranquille et très agréable, bien que je ne sois pas certain que ce fût tout ce que je me serais attendu à trouver dans une semblable combinaison d'éléments : le mur d'une vieille cité comme toile de fond, un baldaquin d'oliviers et, comme couche, la terre provençale. 
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Toutefois, si vous suivez cette rue jusqu'au bout, vous rencontrez à profusion ces détails qui font la beauté ordinaire d'un village français : petits bassins ou réservoirs sur le rebord desquels des femmes agenouillées frappent et battent un paquet de linge trempé ; vieilles femmes dont le visage bruni fait paraître éblouissant le bonnet de nuit (dont elles se couvrent pendant la journée) ; ruelles qui trouent l'épaisseur d'une rangée de maisonnettes et qui laissent fugitivement apercevoir, en arrière, l'éclat vert d'un jardin. 
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Il n'y a d'ailleurs en France aucune branche de l'activité humaine où l'on ne risque pas de trouver une femme. De fait, les femmes ne sont pas prêtres, mais les prêtres sont, plus ou moins, femmes. On dira peut-être qu'on ne les trouve pas dans l'armée : quelle importance, l'armée c'est elles. Elles sont redoutables. En France, il faut compter avec les femmes.
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Je ne connaissais pas du tout Henry James lorsque j'ai racheté ce petit livre à la vente de la bibliothèque municipale. Et dire qu'il allait partir au pilon ! Cela aurait été dommage !
Moi qui aime bien visiter la France, qui sort à toutes les sorties d'autoroute dès que je vois un panneau touristique, je me suis plongée avec plaisir en cette période où je devais rester au port.
Non seulement j'ai voyagé par procuration mais en plus avec un compagnon de voyage des plus agréables. Tellement civile que j'ai dû vérifier en route qu'il était bien américain et non anglais comme j'avais fini par me l'imaginer.
En plus des plaisirs du "voyage en fauteuil", ce "petit tour de France" m'a fait découvrir des réalités historico-géographiques qu'on ne soupçonne plus de nos jours comme par exemple lorsqu'il parle de la Sologne comme d'une grande plaine sablonneuse. On est loin du paysage de forêt parsemée de demeures coûteuses !
Ah oui ! J'allais oublier ! L'humour ! Je n'ai pas arrêté de ricaner toute seule en lisant ce livre, voir à rire franchement !
Bref, un très bon récit de voyage, léger et profond à la fois.
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 Les personnages que je viens de citer n'ont pas l'identité flou qui afflige les personnages historiques ; ils sont réels, suprêmement réels, car ils sont les fils du grand Balzac qui leur a fabriqué une réalité artificielle infiniment supérieur à la réalité vulgaire, comme la soupe de tortue fantaisie l'est au liquide qu'elle imite.
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Visuel de la vignette : "La Bête" de Bertrand Bonello, 2024 - Carole Bethuel
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