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Jean-Clarence Lambert (Traducteur)
EAN : 9782070719679
264 pages
Gallimard (26/03/1990)
3.98/5   54 notes
Résumé :
'Le Mexicain n'est pas une essence, mais une histoire, écrit Octavio Paz. De ce point de vue, le caractère des Mexicains n'a pas une fonction différente de celui des autres peuples : d'une part, il est un bouclier, un mur ; d'autre part, un faisceau de signes, un hiéroglyphe. Dans le premier cas, c'est une défense contre le regard d'autrui, mais qui nous immobilise et nous emprisonne ; dans le second, c'est un masque qui, en même temps, nous exprime et nous étouffe.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Je me suis fiée au titre de ce livre. Quelle déception. Rien à voir avec les labyrinthes, ni même avec la solitude. Essai de politique géographique, philosophie du sentiment d'identité nationale – identité mexicaine en plus, comme si ça me faisait quelque chose. Vous devriez savoir que je n'en ai rien à foutre de l'identité nationale, tout comme de la politique et de l'éducation civique au lycée.


Je m'informe parfois des nouvelles du monde lorsque je vais chez le dentiste qui, préoccupé de mon instruction politique, me branche sur la chaîne BFMTV. Récemment encore (2018) j'eus le loisir d'assister au mariage de deux célébrités royales britanniques et de convoler aux funérailles de Johnny Halliday qu'on appelle aussi « Jojo la combine » par chez nous.


O. Paz déplore que le mexicain moyen n'ait pas cultivé son art du sentiment d'identité nationale à l'heure du capitalisme. le capitalisme a fait ressortir l'identité a-dentitaire du mexicain. C'était comme ça partout avant que l'idée de nation apparaisse. On se contentait autrefois de se réunir par villages et vallées, et ça allait fort bien. Les mexicains ont peut-être juste été un peu plus longs à la détente que les autres, et encore. Qui n'a jamais entendu parler des nachos ?


On retrouve les labyrinthes, et un peu de solitude, lorsque O. Paz se tourne avec nostalgie vers la mythologie aztèque, pensant tenir là quelque chose qui pourrait plaire aux touristes. Trop de noms compliqués pour moi. Encore une fois, je n'en retiendrais rien (et le temps le prouve : 2018-2020, ce livre a chu dans le néant). La mémoire possède-t-elle un sentiment d'identité personnelle ? La mémoire ne se soucie pas du sentiment d'utilité nationale.


Le Mexique a pourtant bien essayé de se chercher, allant sur la voie de l'individuation comme nous autres de part le monde, virant d'un extrême révolutionnaire à une nouvelle décadence réformiste, sans réussir à trouver le juste milieu, la fonction ternaire comme dirait l'ami Jung, bien que ça n'ait aucun rapport. The best in Mexico se sont tirés vers l'Europe et ont laissé les autres dans la merde, ce qui n'a pas arrangé la situasse.


Les mexicains, comme tous les peuples du monde entier, sauf quelques exceptions dégénérées, se foutaient bien d'entrer dans le CAC40. Mais c'est devenu une obligation. Ils se sont fait secouer les puces pour se trouver des petites particularités narcissiques qui feront le bonheur des touristes et donneront l'illusion de l'existence d'une culture nationale. Les mexicains sont désormais piégés dans la civilisation du nachos et des aztèques.


O. Paz a des soluces pour faire avancer le merdier : « Une philosophie mexicaine devra affronter l'ambiguïté de notre tradition et de notre volonté d'être, qui veut une pleine originalité nationale et ne saurait en même temps se satisfaire de quelque solution qui n'ait pas une valeur universelle. »


Ok.


Et puis ensuite il faut réformer l'homme lui-même pour qu'il puisse accepter la chienlit du monde moderne sans se morfondre de trop sur son passé – bref, il faut le rendre adaptable aux nouvelles circonstances : « L'homme moderne a la prétention de penser éveillé. Il identifie la pensée avec l'état de veille. Mais cette pensée éveillée nous a conduits par les corridors sinueux d'un cauchemar, où les miroirs de la raison multiplient les chambres de torture. En sortant, nous découvrirons peut-être que nous rêvions les yeux ouverts, et que les songes de la raison sont atroces. Et alors, nous recommencerons à rêver les yeux fermés. »


La vraie solitude se retrouve parfois en ne lisant aucun livre.
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LE LABYRINTHE DE LA SOLITUDE d'OCTAVIO PAZ
Qui sommes nous et comment réaliserons nous ce que nous sommes, ainsi commence ce livre par cette question. Paz va s'interroger sur l'histoire de son pays, le Mexique, en dépit du côté illusoire des essais de psychologie nationale, il est lucide. Après la phase explosive de la révolution, c'est le temps de la réflexion pour analyser ceux qui ont conscience d'être mexicains, ce qui représente en fait peu de monde. Analyse des mexicains de Los Angeles, les Pachucos, jeunes qui se caractérisent par leur conduite et leur langage, qui ne veulent plus être mexicains sans pour autant vouloir être américains, alors ils deviennent des »clowns sinistres » qui cherchent uniquement à faire peur. Quand Paz écrit cet essai on est en 1950, il y a environ un million de mexicains à L. A. aujourd'hui bien qu'on ne comptabilise que les « hispaniques » il sont 4 ou 5 fois plus nombreux. L'histoire contemporaine réfute la croyance en l'homme, créature susceptible d'être modifiée dans son essence par n'importe quel instrument pédagogique ou social, bien que Paz croie, un peu, à la naissance d'un être nouveau. le mexicain ne peut pas s'ouvrir, se fissurer, car pour lui ce serait abdiquer, s'aliéner, la femme est un reflet de la volonté et du désir masculin. le mexicain est seul, c'est pourquoi tout est bon pour rompre cette solitude, fêtes, danses, cérémonies, ce sont les moments où passé, présent et futur se réconcilient. Les Aztèques étaient aussi peu responsables de leurs actes que de leur mort, la notion de liberté n'existait pas, seuls les dieux étaient libres. le mexicain ne craint pas la mort, la vie l'en a guéri, il ne transcende pas sa solitude, il se ferme au monde par la vie et par la mort. Paz étudie ensuite la religion, la Vierge de Guadalupe, mère Vierge à la Chingada, vierge violée puis enfin la Dona Malinche, maîtresse de Cortes qui s'est donnée à lui volontairement et qui incarne les indiennes séduites par les espagnols. le mexicain se veut fils du néant, ni indien ni espagnol. Paz analyse la méso Amérique à l'arrivée des espagnols, plus ou moins unifiée par les Tolteques mais les cités se rallièrent facilement à Cortes en raison de l'oppression exercée par les Aztèques et quand Montezuma a cédé c'est parce que les dieux l'ont abandonné, c'est une forme de suicide. Les prêtres catholiques n'auront aucun mal à remplacer les dieux déchus et les anciennes croyances, la population se sentant orpheline. Paz étudiera enfin le passage à l'indépendance, qui vint naturellement tant les liens avec Madrid étaient distendus, mais moins importante pour les mexicains que la lutte contre les latifundia et la répartition de la terre.
Paz terminera par une étude détaillée de cette solitude chez les mexicains dans ce qu'il appelle « la dialectique de la solitude »mythe du labyrinthe au milieu duquel se trouve un « talisman, une solution a tout »après une période de pénitence ou d'expiation du héros.
Vingt ans plus tard Paz reprendra ce texte pour en faire une mise à jour qui intègrera les bouillonnantes années soixante, le développement du Mexique, les jeux olympiques et le massacre de 325 étudiants en octobre 1968 qui le pousseront à démissionner de son poste d'ambassadeur en Inde.
Un essai passionnant.
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On ne trouvera pas une claire explication du « labyrinthe de la solitude », mais l'on devine que pour Paz la solitude est un lieu fermé, oppressant, aveugle, quand elle évoque l'image altière de la montagne chez Zarathoustra ou Empédocle. Chez Paz, Zarathoustra et Empédocle, la solitude est proche de la mort, la mort comme devenir ou comme retour à la religion, comme jeu ou comme découverte, comme crime ou sacrifice, comme intelligence ou négation dans le suicide, bref la mort comme ressource intellectuelle ou poétique. La Toussaint, jour des Morts, inspire à Paz des pages emportées sur « la Fête », « le Mexicain », « l'Aztèque », « l'Américain » (voir citation), dans une anthropologie qui ferait sourire Marcel Mauss, puis une réflexion pascalienne : la mort comme thème fertile, si l'on ose dire, ou comme réservoir de concepts. Éloquent brasseur d'idées, Paz nous offre de longues improvisations où la formule est plus convaincante que la pensée : « Nous sommes seuls. La solitude, fond obscur d'où l'angoisse sourd, commence le jour où nous quittons le sein maternel et où nous tombons dans un monde étrange et hostile. Nous tombons ; et cette chute, cette conscience de nous savoir tombés, nous rend coupables. Coupables de quoi ? » (p 93).

Les dernières phrases de Paz font écho à un autre poète : « Tous les hommes attendent que la société en revienne à la liberté originelle, et eux-mêmes à l'innocence primitive. Alors cessera l'Histoire. le temps (le doute, le choix forcé entre le bien et le mal, entre le réel et l'imaginaire) cessera de nous faire souffrir. Reviendra le règne du présent fixe, de la communion perpétuelle : la réalité mettra bas ses masques et nous pourrons enfin la connaître et connaître nos semblables ». Rimbaud préfère la vérité à la communion quand il conclut la Saison en enfer : « … et il me sera loisible de posséder la vérité dans une âme et un corps ».
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Je ne connais pas du tout le peuple mexicain et son histoire ; c'est sans doute pour cela que la lecture de cet essai a été laborieux malgré une écriture simple et fluide.
L'auteur présente la société mexicaine par ses croyances, son multiculturalisme, ses fêtes religieuses, ses minorités, sa pauvreté, sa solitude car le mexicain est un être solitaire - Octavio Paz le formule ainsi "Se sentir seul possède une double signification : c'est, d'une part, avoir conscience de soi, et d'autre part, avoir le désir de sortir de soi" - et religieux. Migrant aussi.
Le Mexique a été conquis par les espagnols ( la dynastie des Bourbons), a gagné son indépendance (1822) puis a réalisé, comme la Russie, son indépendance (1910). Mais à quel prix !
Le labyrinthe de la solitude a été écrit dans les années 50 (essor économique important) suivi de la critique de la pyramide 20 ans plus tard (organisation des jeux olympiques en 1968). Ses relations avec son imposant voisin sont difficiles. le Mexique est un pays aux ressources en matières premières considérables mais le tissu économique et industriel est à la peine.
Intéressant mais je préconise d'autres lectures sur l'histoire de ce pays avant de s'attaquer à cet essai. Ce que je vais m'empresser de faire.
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Octavio Paz a écrit cet essai en 1950, et l'a réactualisé en 1970. C'est un voyage à travers la mentalité mexicaine, l'histoire de ce pays et sa spécificité. Un petit extrait:
"Le Mexicain n'est pas une essence mais une histoire.. le Mexique est une partie d'une histoire beaucoup plus vaste; les révolutions contemporaines en Amérique latine ont été et sont des réponses à l'insuffisance du développement...Gens de la périphérie, habitants des faubourgs de l'Histoire, nous sommes, Latino-Américains, les commensaux non invités, passés par l'entrée de service de l'Occident... Nos peuples ont dormi tout un siècle et pendant qu'ils dormaient on les a dépouillés.."
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Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Ce système américain ne veut considérer que la partie positive de la réalité. Dès l’enfance, les hommes et les femmes sont soumis à un inexorable processus d’adaptation ; certains principes, enfermés dans des formules brèves, sont repris sans trêve par la presse, la radio, les églises, les écoles et ces êtres débonnaires et sinistres que sont les mères et les épouses américaines. Prisonniers dans ces schémas, comme la plante dans son pot qui l’étouffe, l’homme et la femme ne sauraient se développer et mûrir. De semblables conditions doivent fatalement provoquer les révoltes individuelles les plus violentes. La spontanéité se venge de mille façons, subtiles ou terribles. Le masque bienveillant et poli, désert aussi, qu’on substitue à la mobilité dramatique du visage humain, et le sourire qui le fige presque douloureusement, montrent jusqu’à quel point l’intimité peut être dévastée par l’aride victoire des principes sur les instincts. Le sadisme sous-jacent, qu’on trouve dans presque toutes les formes de relations de la société américaine, n’est peut-être finalement qu’une manière d’échapper à la pétrification qu’impose la morale de la pureté ascétique. De même, les religions nouvelles, les sectes, ou l’ivresse qui libère et ouvre les portes de « la vie ». On est surpris par la signification presque physiologique et destructive de ce mot. Vivre veut dire : se dépasser, rompre les normes, aller jusqu’au bout (de quoi ?), « trouver de nouvelles sensations ». Faire l’amour est une « expérience » (et par là même, unilatérale et frustrée).
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Pour l'habitant de Paris, New York ou Londres, la mort est ce mot qu'on ne prononce jamais parce qu'il brûle les lèvres. Le Mexicain, en revanche, la fréquente, la raille, la brave, dort avec, la fête, c'est un de ses amusements favoris, et son amour le plus fidèle. Certes, dans cette attitude, il y a peut-être autant de crainte que dans l'attitude des autres hommes : mais au moins, le Mexicain ne se cache pas d'elle, ni ne l'a cache ; il la contemple face à face avec impatience, dédain ou ironie : "S'ils doivent me tuer demain, qu'ils y aillent pour de bon."
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Entre naître et mourir coule notre vie. Expulsés du sein maternel, nous avons devant nous un saut angoissant, véritable saut de la mort, qui prendra fin qu'avec notre chute dans la mort. Mourir serait donc revenir là-bas, à la vie d'avant la vie? Serait-ce vivre à nouveau cette vie prénatale dans laquelle repos et mouvement , jour et nuit, temps et éternité cessent d'être contradictoires? Mourir serait donc cesser de devenir, être définitivement? La mort est peut-être la vie véritable? Et naître mourir, et mourir naître? Nous n'en savons rien. Et bien que nous n'en sachions rien, tout notre être aspire à échapper à ces contradictions qui nous déchirent.
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Tous, tant que nous sommes, nous avons, à un certain moment, découvert notre existence comme quelque chose de singulier, d’intransférable, de précieux. Presque toujours, cette révélation se situe dans l’adolescence. La découverte de nous-mêmes, c’est tout à coup de nous savoir seuls ; entre le monde et nous s’élève soudain une barrière impalpable et transparente : celle de notre conscience.
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L’amour est une tentative de pénétrer dans un autre être, mais qui ne peut se réaliser qu’à condition que l’abandon soit réciproque. Cet abandon de soi-même est toujours difficile ; rares sont ceux qui parviennent à coïncider dans l’abandon et, plus rare encore, ceux-là qui savent dépasser cet état possessif et jouir de l’amour en ce qu’il est réellement : une découverte ininterrompue, une immersion dans les eaux de la réalité et une recréation constante. Nous concevons l’amour comme une conquête et comme une lutte.
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Videos de Octavio Paz (21) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Octavio Paz
« […] […] comme le dira Octavio Paz (1914-1998), “la poésie mexicaine ne trouvait pas sa forme propre. Chaque fois qu'elle se risquait à exprimer le meilleur et le plus secret de son être, elle ne pouvait que mettre en oeuvre une culture qui ne lui appartenait que par un acte de conquête spirituelle“. […] Enrique González Martínez annonçait qu'il fallait “tordre le cou au cygne“ moderniste pour pénétrer dans la réalité concrète de la vie quotidienne : “Cherche dans tout chose une âme et un sens / caché ; ne te drape pas dans la vaine apparence“ […] »
« Le poème tournoie sur la tête de l'homme en cercles proches ou lointains
L'homme en le découvrant voudrait s'en emparer mais le poème disparaît
Avec ce qu'il peut retenir l'homme fait le poème
Et ce qui lui échappe appartient aux hommes à venir » (Homero Aridjis, « Le Poème », in Brûler les vaisseaux, 1975.)
0:00 - EFRAÍN BARTOLOMÉ 1:49 - MANUEL ULACIA 3:40 - VERÓNICA VOLKOW 4:36 - MARISA TREJO SIRVENT 5:41 - AURELIO ASIAÍN
6:12 - Générique
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Référence bibliographique : Poésie mexicaine du XXe siècle, traduction de Claude Couffon et René Gouédic, Genève, Patiño, 2003.
Images d'illustration : EFRAÍN BARTOLOMÉ : https://es.wikipedia.org/wiki/Efraín_Bartolomé#/media/Archivo:Efraín_Bartolomé_en_Berna,_1999.jpg MANUEL ULACIA : https://www.lavenderink.org/site/books/manuel-ulacia/?v=76cb0a18730b VERÓNICA VOLKOW : https://www.rogeliocuellar.mx/archivo/fotografia/4559/mx-rcu-esc-vovo-a-00020 MARISA TREJO SIRVENT : http://www.elem.mx/autor/datos/109900 AURELIO ASIAÍN : https://www.amazon.es/Aurelio-Asiaín/e/B001JWYBQ2/ref=dp_byline_cont_pop_book_1
Bande sonore originale : Mike Durek - The Good News Or The Bad News The Good News Or The Bad News by Mike Durek is licensed under a CC-BY Attribution License.
Site : https://freemusicarchive.org/music/Michael_Durek/Piano_Music_for_The_Broken_Hearted_1221/05_The_Good_News_Or_The_Bad_News/
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