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Les enquêtes du commissaire Dupin tome 5 sur 11
EAN : 9782258146815
523 pages
Presses de la Cité (22/03/2018)
3.62/5   87 notes
Résumé :
Périls et mystères en mer d'Iroise... Trois cadavres en trois lieux de crime, et le commissaire Dupin est sur le pont ! Le premier corps est retrouvé au petit matin dans un local à filets de la criée de Douarnenez ; la victime est une pêcheuse professionnelle. Sur l'île de Sein, le corps sans vie d'une jeune chercheuse spécialiste des dauphins gît dans le cimetière dit "des cholériques". Le troisième cadavre, enfin, sur la presqu'île de Crozon, est celui d'un profes... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (29) Voir plus Ajouter une critique
3,62

sur 87 notes
Quand j'ai postulé pour « Péril en mer d'Iroise » lors de la dernière masse critique je me suis dit, tient un nouvel auteur breton, avec un nom pareil Bannalec, il ne pouvait en être autrement pour moi. Et bien non, Jean-Luc Bannalec alias Jörg Gong est allemand, il a pris comme pseudonyme un nom à parfaite consonance bretonne.
Il a déjà écrit quatre autres romans avec comme personnage récurrent le commissaire Dupin :
- Un été à Pont-Aven
- Étrange Printemps aux Glénan
- Les Marais sanglants de Guérande 
- L'Inconnu de Port Bélon
Me voici donc partie à la découverte de la pointe Finistère, qui porte bien son nom, de bout du continent.
Je découvre le commissaire Dupin et ses adjoints le Ber et Labat à la recherche du coupable de trois meurtres, l'un de Cécile Kerckrom, jeune femme pêcheuse professionnelle, l'autre de Laetitia Darot spécialiste des dauphins, ainsi qu'un professeur en virologie en retraite, Philippe Lapointe. Qu'est ce qui peut relier ces trois personnes.
C'est ce que vont chercher à comprendre le commissaire et ses deux acolytes.
Cette enquête est fort intéressante non seulement pour son caractère crapuleux, mais surtout pour tout ce qu'elle soulève de malversations, de trafic, de pollution des mers, d'écologie, de protection des systèmes marins. Les trois victimes oeuvraient à la protection de l'environnement, de la flore et de la faune à moins qu'ils ne soient à la recherche de quelques trésors enfouis.
J'ai trouvé amusant au fil de l'enquête, de suivre accessoirement un périple touristique à la pointe bretonne avec les légendes que racontent avec passion le Ber, passionné de sa région et de son patrimoine.
On navigue à travers les îles de Sein, de Molène, d'Ouessant, de l'île Tristan.
De Douarnenez à Audierne.
On sent que l'auteur aime passionnément cette région, il la décrit avec passion et parfois lyrisme !!! Il décrit les odeurs d'iode, de goémon , la mer à l'étal ou en furie avec justesse, on se retrouve pris dans les tourmentes de la mer comme si on était.
Il pointe aussi les derniers événements et manifestations de la région, ainsi que des problèmes socio-économiques liés à la pêche et à la baisse dramatique de la ressource de l'océan.
L'écriture est agréable, simple, fluide, les personnages principaux attachants.
J'ai passé un bon moment en leur compagnie. Un bon livre à lire cet été sur les plages bretonnes bien ensoleillées ;-) !!! Et oui car il ne pleut pas tout le temps en Bretagne...

Merci à Babelio et aux Éditions Presse de la cité pour ce partage qui m'a plongé dans ma Bretagne natale.

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Tout commence sur le marché aux poissons de Concarneau (Finistère). Une belle trentenaire est découverte égorgée dans la benne sanguinolente destinée aux déchets halieutiques…

Dans ce cinquième opus des enquêtes du commissaire Dupin, Jean-Luc Bannalec (alias Jörg Bong) nous emmène hardiment au large. Une fois n'est pas coutume, 80% de l'intrigue se déroule en mer, entre Molène et l'île de Sein.

A nouveau, Bannalec excelle dans l'art de faire évoluer ses personnages dans cet univers océanique si particulier du « bout du monde ». Mais, ô surprise, il y ajoute un volet résolument environnemental qui dépeint sans trop de nuances les ravages de la surpêche et l'impunité dont bénéficient les grands armateurs français...

Ouf, il était temps ! Même si l'écrivain ne pousse pas l'audace jusqu'à la critique sociale, il s'extrait enfin du petit monde « où chacun est à sa place » (et ne s'avise pas de juger l'autre) qui ôtait un peu de crédibilité aux premières enquêtes de son commissaire fétiche.

Un positionnement courageux qu'on ne peut qu'apprécier, même si l'univers communautaire qu'il dépeint se limite toujours à des adultes hétérosexuels âgés de trente à soixante ans, de race blanche, avec un revenu qui oscille entre le confortable et l'élevé, de nationalité française et sans opinion politique...

Une galerie de personnages pas forcément représentative de la Bretagne réelle, mais Jörg Bong n'en a cure, pour être tout à fait honnête, je peine à le lui reprocher : feuilleter ses romans équivaut à se plonger dans des eaux cristallines et bien tempérées loin des vicissitudes du 21e siècle.

En effet, bien que ses récits se veuillent contemporains, le lecteur se retrouve immergé dans la douce béatitude des années quatre-vingt où presque tout semblait « aller dans le bon sens » et où grâce au progrès technique, demain amènerait immanquablement son lot de surprises salutaires…

Une fiction « cocooning* » qui fait remonter, l'espace de quelques heures, les sensations et les souvenirs d'un âge d'or que j'ai eu la chance de vivre durant deux étés au Pouldu (29) il y a une quarantaine d'années. Alors, si vous désirez passer un bon moment « garanti sans tracas », cet excellent polar est fait pour vous !



* « Comportement psychosocial qui se caractérise par une tendance au repli dans le cocon protecteur du domicile que l'on tente de rendre le plus douillet possible » selon l'Office québécois de la langue française.
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Péril en Mer d'Iroise n'est pas une lecture désagréable, mais elle ne m'a pas enthousiasmée non plus.

En effet, aucune surprise avec ce nouvel opus du commissaire Dupin : du pittoresque avec la Bretagne en premier plan et une enquête qui semble parfois secondaire.

L'image donnée de la Bretagne est tellement idéalisée (avec des personnages passionnés, mais qui parlent comme des guides sur n'importe quel sujet pourvu que cela concerne la Bretagne) que je ne l'ai pas reconnue. Personne ne se lance dans de tels exposés sur la culture, l'économie, l'écologie aussi bien que sur la politique ou l'histoire à la moindre occasion.

Concernant l'enquête, je suis restée dans le flou jusqu'au bout, d'autant que pour maintenir une part de mystère, l'assassin n'a pas l'occasion de s'exprimer après avoir été démasqué. On ne sait donc pas exactement ce qui l'a poussé à tuer trois personnes, ni même ce qui liait vraiment les trois victimes. C'est assez frustrant.

Pas sûre que je lise le prochain tome...
Lien : http://lecturesdestephanie.b..
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Le commissaire Georges Dupin est un peu le pendant breton du commissaire Salvo Montalbano. L'un comme l'autre ont leurs propres méthodes pour résoudre les enquêtes qui leur sont confiées, méthodes qui déplaisent le plus souvent à leur hiérarchie (le questeur en charge de son secteur pour Montalbano, le préfet de son territoire pour Dupin).

Tous les deux ont des collaborateurs qui les agacent parfois prodigieusement (le lieutenant Labat pour Dupin, Catarella pour Montalbano) et d'autres sur lesquels ils savent pouvoir compter quelle que soit la situation.

Tous deux ont une petite amie qui réside loin d''eux, même si Claire, la fiancée du commissaire Dupin, s'embrouille moins souvent avec lui que Montalbano avec sa Livia.

Tous les deux sont gourmands et gourmets, et la qualité de leurs repas - et les vins qui les accompagnent - est de première importance : ils attendent toujours avec impatience le moment de passer à table, ce qui nous vaut forces descriptions qui nous mettent l'eau à la bouche.

Les enquêtes du commissaire Dupin sont truffées de proverbes bretons, tout comme celles de Montalbano d'expressions siciliennes.

Et tous deux sont passionnément attachés au paysage dans lequel ils évoluent.

Bref, si vous aimez les ouvrages d'Andrea Camilleri, vous apprécierez tout autant ceux de Jean-Luc Bannalec. Et pour la découverte de ceux-ci Péril en mer d'Iroise est un opus tout trouvé. Bonne lecture !
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Alban Hefin, la fête celte du solstice d'été. Dupin et Claire en ont bien profité et n'ont pas quitté l'Amiral avant deux heures du matin. Alors, quatre heures quarante-neuf, ce n'est pas le bon moment pour tirer notre commissaire du lit, surtout pour aller voir un cadavre jeté dans une benne à ordures pleine de « déchets de poissons, entrailles, estomacs, intestins » dégageant une odeur pestilentielle. Pourquoi avoir réservé ce sort affreux à une pêcheuse sans histoire de l'île de Sein ? Et ce n'est pas fini. D'autres corps attendent notre policier.
Voilà un bout de temps que je l'attendais, ce nouvel épisode d'un de mes personnages préférés (je les achète en format poche).
L'histoire commence mal, évidemment, et pas seulement parce qu'on découvre le corps d'une jolie jeune femme, égorgée et jetée comme un déchet parmi les restes de poissons, dont on a l'impression de sentir l'affreuse odeur, mais parce que le pauvre Dupin n'a presque pas dormi. Il n'est pas au mieux de sa forme pour investiguer.
Ce solstice d' été est une fête celte qui place d'emblée l'aventure sous le signe des sortilèges et maléfices. L'épigraphe : « Le diable... ou un miracle ? » pose la question qui perturbe le lecteur (et les personnages) tout au long d'une enquête qui, une fois n'est pas coutume, sera bouclée en deux jours seulement. Eh oui, ce pauvre Dupin, comme d'habitude, il est harcelé. Mais, pour une fois, ce n'est pas par l'horrible préfet. Retenu, celui-ci n'est pas pressé de voir se dénouer l'affaire : « D'ici lundi matin, je ne pourrai donc donner aucune conférence de presse pour annoncer l'issue victorieuse de l'enquête. », ce qui donne envie de l'assommer, comme tous ces supérieurs qui ne font rien et, selon la tournure des événements, soit s'attribuent à eux seuls les lauriers d'une réussite, soit font retomber les reproches d'un échec sur le dos de leurs subordonnés. Je fulmine, car une telle attitude est loin d'être une simple fiction !
Non, cette fois, c'est Madame Dupin qui sature de messages le téléphone de son fils. Depuis un an, elle prépare une cérémonie pour son anniversaire, et, telle une Louis XIV en jupons, elle ne veut pas entendre parler de problèmes ou de boulot. Aucune considération pour le travail de Dupin, qui, le jour J, présidera la fête à ses côtés, même si, pendant ce temps, la terre est en train d'exploser.
Est-il étonnant que notre commissaire, dans un état semi-comateux, flotte entre rêve et réalité ? Ces quarante-huit heures vont être terriblement éprouvantes pour lui qui n'a pu bénéficier que d'un sommeil réduit.Aussi ne saurons-nous pas s'il est dans le fantasme ou la réalité, lorsque, par exemple, il croit compter sept tombes au lieu de six dans le cimetière des cholériques, au grand effroi de le Ber et de Madame Coquil qui y voient un sombre présage.
A cette étrange atmosphère de contes et légendes, Jean-Luc Bannalec a mêlé de graves problèmes bien réels et d'actualité : le réchauffement climatique : « Prenez le cabillaud, ce poisson si apprécié : la température a tellement augmenté que les poissons doivent se déplacer toujours plus loin vers le nord pour y déposer leurs oeufs, car ils pondent dans les eaux froides. Mais ils n'y trouvent pas assez de nourriture, si bien qu'ils meurent aussitôt après l'éclosion. ». La surpêche ou celle d'espèces protégées, l'utilisation de filets qui emprisonnent et noient les dauphins, la contrebande, notamment de cigarettes.
L'auteur ne manque pas de nous instruire en nous racontant des épisodes historiques, tels la création de la première conserverie (Connétable), encouragée par Napoléon Ier, ou des anecdotes surprenantes comme celles des dauphins qui se droguent en « avalant le poison d'un poisson-lune. Ils se le passaient comme si c'était un joint. »
Bien sûr, il nous régale aussi de nombreuses légendes : celle du roi Gradlon et de sa fille Dahut, celle de Merlin et Arthur, où le roi blessé est sauvé par « Velléda, la druidesse (…) [qui] le fit revenir à la vie sans que même Merlin sût comment. », celle de la tombe de Tristan et Iseut, et, partout, le monde magique d'Ys, la cité engloutie.
Pour se tenir éveillé, Dupin a, plus que jamais, besoin de café fort, et on apprend que les autochtones utilisent divers noms pour ce breuvage : « un vrai café de nonne (…) en parlant d'une lavasse. le café fort, lui, s'appelait le torré. Pour désigner un café vraiment imbuvable, les Bretons avaient des expressions plus corsées : pisse de bardot ou Kafe sac'h, qu'on pouvait traduire par "jus de chaussette" »
Au fil de cette enquête, Dupin sillonne en tous sens la cité de Douarnenez, où on a découvert le premier corps. Il nous en décrit la criée avec des accents à la Zola, dans « Le ventre de Paris » : « D'énormes lottes aux gueules grandes ouvertes semblant sortir de la nuit des temps, des maquereaux scintillant dans la lumière, des homards bleus prêts au combat, des calamars gris foncé entremêlés, d'innombrables langoustines, toutes sortes de poissons plats, de magnifiques bars (…) des rougets succulents, des araignées de mer géantes, des crabes énormes au regard sombre. »
Est-il utile de préciser que j'ai adoré cette cinquième aventure ?
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
p. 415 : Le ragoût se prépare dans un gros faitout. Coupez le homard partiellement décortiqué en petits morceaux. Ajoutez des oignons rosés de Roscoff, du céleri, des graines de fenouil, des moules fumées, faites revenir le tout dans de l'huile de noix chaude, puis mouillez avec de l'eau-de-vie de cidre et trois ou quatre verres de vin blanc. Accompagnez-le de pomme de terre Amandine, qui sont uniques, d'une cuillerée de crème fraîche, de piment d'Espelette ; ajoutez du gros sel et, en guise de bouquet final, un bon morceau de beurre salé. puis faites mijoter à feu doux.
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p. 117 : Le silence particulier qui régnait sur l'île frappait également le visiteur. La rumeur que l'on entendait partout n'existait pas ici : pas de voiture, de camion-poubelle, de train ni de machine. L'Atlantique semblait absorber doucement les quelques sons existants qui, une fois disparue, amplifiaient le silence. Beaucoup de choses étaient différentes, cela sautait aux yeux dès qu'on mettait le pied sur l'île, mais il fallait du temps avant de comprendre ce qui rendait ce monde si singulier.
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De mauvaises langues ont même affirmé que les insulaires s'étaient opposés à la construction du premier phare sous prétexte qu'il aurait empêché les naufrages. Car on n'obtenait du vin que quand les bateaux échoués en transportaient...
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Le plus bizarre n'était pas que Morin soit dans les parages de la scène de crime- les médias avaient déjà diffusé l'information- mais qu'il l'attende devant sa voiture, au milieu de nulle part. C'était une démonstration de son pouvoir.
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p. 220 : - Les jeunes gens ne comprennent pas encore comment marche le monde. Ils sont nécessairement naïfs. Je l'étais moi aussi. Le monde est compliqué. La vie est compliquée. Mais eux croient que tout est simple....
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Vidéo de Jean-Luc Bannalec
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