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Un ouvrage incontournable pour les amateurs de poesie et les autres ce livre est un classique et vaut mille fois le detour un vrai bon recueil à devorer !
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Un ouvrage incontournable pour les amateurs de poesie et les autres ce livre est un classique et vaut mille fois le detour un vrai bon recueil à devorer !
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Une anthologie assez éclectique, où l'on trouve quelques belles pages, certaines montrant d'ailleurs que la littérature arabe, notamment la poésie, a toujours été diverse, n'en déplaise aux censeurs d'hier et d'aujourd'hui !
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Je l'ai lu, une anthologie, très riche, très profond dans la recherche, est une référence incontournable pour ceux qui veulent mieux comprendre la poésie arabe depuis l'origine des temps. En le lisant on découvre que certain auteur arabe, on inspiré bon nombre d'auteur français, c'est le cas du passage dans le poème, ''mabanou madjnoun laila'' dont on retrouve un semblant d'inspiration dans le fou d'Elsa d'Aragon, ou encore certains poème qui me font croire que Baudelaire et tant d'autres poètes on côtoyé la poésie arabe . Qu'il m'en soit pardonné une telle vision. Lien : http://mabelhad.iggybook.com |
![]() | coco4649 31 juillet 2019
Le voyage Extrait 4 Et avant de nous mettre en route, nous immolerons des agneaux, l’un pour ’Achtaroûte, l’autre pour Adonis, et le troisième pour Baal. Puis nous larguerons les amarres et le jeune vaisseau sur la calme mer commencera son voyage : Alléluia ! Alléluia ! et bientôt disparaîtront à nos yeux les montagnes et les ports, notre protection, et les demeures aux mains pleines de fleurs : Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Oui, que commence le voyage ! //Yousouf Al-Khal (1917- 1990) //Traduit de l’arabe par René Rizqallah Khawam + Lire la suite |
![]() | coco4649 29 août 2019
La voix des collines s’enroue… La voix des collines s’enroue au fond de votre gorge : la nuit doit avoir blessé son écho. Les champs piqués d’amandiers sont devenus des sanglots dont la tristesse vous paraît comme allégée par l’habitude du malheur. Les fiers épis du maïs brillent dans vos yeux où s’irise une larme vierge qui pleure sur l’oubli des jours. //Mahmoud Darwich (1941 - 2008) + Lire la suite |
![]() | coco4649 29 août 2019
Racontez-moi mon pays… Racontez-moi mon pays, ce pays qui semble un rêve où se perd, où se noie l’horizon de ma vie. Parlez-moi des vignes accueillantes sans fin offertes au regard, de la terre généreuse fouaillée par les labours et d’où le vert toujours ressurgira ... Le soleil danse de joie quand vient l’heure de s’étendre sur elle et les oiseaux à sa vue accordent soudain leur chant. Parlez-moi des nids au creux humide de l’arbre, malmenés par la saison qui souvent les disperse aux quatre vents... du bruissement des mûriers dans la cour de la maison, du parfum enfin des mille et un aromates, ornements des hautes pentes de nos vivantes collines. Racontez-moi ! Car mon cœur est une aire vide. Ecoutez-le soupirer, se languir de la caresse des épis ! Remplissez ce lieu absent d’histoires de mon pays : de ces histoires qui recèlent plus d’or encore que les chansons. Réveillez mon souvenir ! Et sachez qu’après un siècle, je ne me trouverai toujours pas rassasié par les rappels instants de la mémoire. //Mahmoud Darwich (1941 - 2008) + Lire la suite |
![]() | coco4649 31 juillet 2019
Le voyage Extrait 3 C’est ici que nous embarquerons à bord de navires portant cargaison de verre soufflé, de bois de pin, de tissus de soie, lourds des vins de nos pays, de leurs fruits. Nous crions : Ô navires, ô passerelle, larguez tout après nous avoir accueillis et conduisez-nous à la rencontre de l’Autre ! de celui qui nous apportera ce qui plus que tout nous importe et qui de nous pourra prendre mille douceurs... Ô toi roulier, vois : nous sommes venus vers toi, seuls, laissant derrière nous nos compagnons, là-bas, dans les sables ; car ils ont préféré la demeure, le repos sous la miséricorde de la coutume, des provisions sagement amassées mais sujettes à l’épuisement, de l’ennui... alors que nous, nous avons choisi le voyage ! Les gardiens nous ont fait savoir dans nos montagnes qu’il y a là-bas des îles que submerge la pluie, que submergent les pâles nuées, dans une odeur d’ondée et de lavande, des îles qui ne connaissent pas l’ennui ! C’est à elles, à un monde de couleurs inaperçues que rêvent les grandes âmes au cours de leur jeune âge... //Yousouf Al-Khal (1917- 1990) //Traduit de l’arabe par René Rizqallah Khawam + Lire la suite |
![]() | picaflor 18 octobre 2011
Celui qui a vécu sans ivresse en ce monde, certes, il n'a pas vécu ! Celui qui ne meurt pas de cette ivresse a manqué de courage en ce monde où il a passé. (Omar Ibn Al-Farid) |
Dans quelle ville Verlaine tira-t-il sur Rimbaud, le blessant légèrement au poignet ?