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EAN : 9782363081179
700 pages
Arléa (25/08/2016)
4.31/5   143 notes
Résumé :
Un hasard professionnel met entre les mains d’Elisabeth Bathori, une historienne de la photographie, les lettres et l’album d’Alban de Willecot. Ce lieutenant, mort au front en 1917, a été l’ami d’un des plus grands poètes de son temps, Anatole Massis, et a entretenu avec lui une abondante correspondance.

D’abord aiguillonnée par l’espoir de retrouver les réponses de Massis, Élisabeth, qui reprend le travail après de longs mois de deuil, se prend peu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (43) Voir plus Ajouter une critique
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Ce pavé de 740 pages, superbement écrites, romance la destinée de sept familles durant un siècle (1914-2014).

Alix de Chalendar (1924-2014) lègue aux archives nationales la correspondance que son oncle, le lieutenant Alban de Willecot (1887-1917), adressait durant la première guerre mondiale au poète Anatole Massis et choisit une historienne comme exécutrice testamentaire, écartant ainsi son petit fils Alexandre Aparof, joueur impénitent. Blanche, la mère d'Alix, épouse de Maximilien de Barge, décédé en 1925 des séquelles de la guerre, gère de main de maitre leurs vignobles durant les deux guerres mondiales. Alix de Barges rencontre à Londres en 1942 son futur mari.

Anatole Massis, handicapé d'un bras, est employé durant le conflit par la censure militaire pour surveiller le courrier posté par les soldats à leurs proches. Anatole est marié à Jeanne de Royères, petite fille de l'académicien Louis Limoges, mentor d'Anatole. Mère de leurs 3 enfants, Jeanne décède peu après la naissance du dernier en 1916. Un petit fils d'Anatole confie à sa petite fille Ariane Brugg leurs archives familiales (courriers et albums photos).

Diane Nicolaï, née vers 1897, a été remarquée par Alban de Willecot, qui évoque leurs fiançailles dans une lettre à Anatole Massis. C'est un jeune fille cultivée, intelligente, séduisante, qui maitrise le grec et le russe, passe son bac malgré l'opposition de son père, et rêve devenir une nouvelle Marie Curie. La famille Nicolaï, ruinée par la guerre, est harcelée par les créanciers, et Diane, une semaine après la mort au champ d'honneur d'Alban, est mariée, contre son gré, le 25 janvier 1917 à Etienne Durieux qui comble les dettes des Nicolaï.

Victor Durieux nait de cette union en octobre de la même année. Diane meurt d'un accident de chasse et Etienne Durieux se remarie avec Hortense Stiegler dont il a deux enfants, Basile et Sybille.

Elisabeth Bathori, l'exécutrice testamentaire d'Alix de Chalendar, se met en quête des lettres qu'Anatole envoyait à Alban et qui semblent disparues, quoique certaines apparaissent sur le marché, à Bruxelles, aussitôt raflées par une université américaine où sévit une sulfureuse biographe de Massis. Elisabeth se remet difficilement de la perte de son compagnon. Plonger dans les archives d'Alban et Anatole est pour elle une réelle thérapie. Elle enquête pour identifier les détenteurs qu'elle localise au Portugal ou en Suisse.

Violetta Mahler, petite fille de Basile Durieux, poursuit les recherches que sa maman, Suzanna née en aout 1938, et réfugiée au Portugal en 1940 grâce au consul bordelais Aristides de Sousa Mendes, a mené pour connaitre le sort de ses grands parents Paul Lipchitz, déporté, et Tamara Zilberg disparue vers 1942.

Gérald Lecouvreur, dans les Côtes-d'Armor, sa bat pour réhabiliter son grand-père, fusillé en janvier 1917.

Les lettres et les photos, progressivement retrouvées par Elisabeth Bathori, dévoilent les liens tissés entre les héros et les salauds des 42 cartes de ce jeu des 7 familles, remémorent les tragédies des deux guerres mondiales et rappellent le rôle aussi essentiel que méconnu des femmes durant ces conflits. Elles montrent l'évolution de l'état d'esprit des poilus épuisés par les mois et découragés par l'inanité des sacrifices consentis. Elles révèlent les délations de l'occupation.

Le personnage de Tamara Zilberg rend hommage à Tamara Isserlis, morte à Auschwitz en 1942, évoquée dans « Dora Bruder » de Patrick Modiano, « Jours de Guerre » de Berthe Auroy et le Journal d'Hélène Bert.

« Pour un nom dont on se souviendra, pour une Tamara Isserlis rescapée de l'oubli, combien d'autres, perdus à jamais ?
Ce livre est né du désir de tresser des histoires de disparus, avalés par la guerre, le temps, le silence. de raconter le devenir de leurs traces, qui éclairent, mais aussi dévorent les vivants. »

Magnifique livre qui donne envie de lire les autres titres d'Hélène Gestern.

PS : la résistance dans l'Ain est l'objet de la Douceur
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Voilà un livre que je ne pensais pas être "pour moi".La couverture ne m'attirait pas:des soldats face à des appareils photos,en noir et blanc,bof.Une quatrième de couverture sympa mais sans plus et puis,surtout,quel pavé, près de 800 pages d'une écriture très fine.Bref,je passe mon chemin.
Pour mon anniversaire,ce livre figure dans les cadeaux offerts par ma fille!!!!.Aucune concession,il rejoint les "copains" en attente.
Finalement,je me souviens des droits du lecteur énoncés par Pennac,on a le droit d'arrêter si on n'aime pas.
Et puis je me souviens de ce que je disais à mes élèves à savoir qu'un "gros livre " peut s'avérer plus passionnant qu'un "petit maigrichon"!!!!
Enfin,c'est un cadeau,et de ma fille qui a toujours eu si bon goût ....
C'est parti.Dès, les premières pages,le charme opère :quelle belle écriture, aérienne,des phrases pleines de jolis mots qui dansent avec magie pour éclater en phrases somptueuses,un vocabulaire soigné sans être pompeux assurément, cette auteure a un profond respect pour son lecteur et sait manier la langue française avec art.C'est vraiment beau,plein de poésie .
Et ce roman,c'est un mélange de pelotes de laine .Il faut tirer les brins qui depassent pour faire jaillir les histoires,Il y a Elisabeth,une historienne qui affronte difficilement l'épreuve d'un deuil cruel et qui se lance à fond dans la recherche d'une correspondance adressée à un poilu en 1914....En tirant lentement sur les fils,on se retrouve pendant la Première guerre,pendant la seconde ou encore aujourd'hui,à Paris,au Portugal,sur le front ,en Suisse,ou à Jaligny.Les personnages virevoltent,Elisabeth,Samuel,De Willecot,Diane,Victor,Violeta,Massis et tant d'autres.La pelote ne se dévoile que peu à peu mais on ne se perd pas dans ses méandres tant l'auteure maitrise son sujet et sait où elle va.Oui,ça semble parfois compliqué mais c'est tellement bien fait qu'une main experte vous ramène toujours sur le bon chemin.C'est un beau livre qui se dévore.Elisabeth nous emmène dans ses quêtes, tournée vers des vérités parfois difficiles à énoncer et surtout à entendre. Personnellement,j'ai été aussi très anxieux par rapport à sa propre recherche...Suis je rassuré, je ne le dirai pas,mais ce que je peux dire ,par contre,c'est que j'ai été séduit....
Alors non,ce livre n'est pas un pavé, sa couverture n'est pas moche,oui ,ma fille a toujours très bon goût, oui,j'avais raison de rassurer mes élèves, oui,je vous conseille vivement la lecture de. cet ouvrage.
732 pages lues en 4 jours...Il doit bien y avoir quelque chose de fort,non?
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Un véritable bonheur de lecture ce pavé de 700 pages. C'est la première fois que je lis un roman d'Hélène Gestern et c'est une très belle découverte. Extrêmement bien écrit, bien documenté tout en étant accessible à tous. Je pense que c'est un de mes coup de coeur de l'année 2020.
Elisabeth Bathori, une historienne de la photographie va mener une enquête sur un héros de la Grande Guerre. A l'aide d'une correspondance incomplète, de clichés clandestins et d'un journal intime codé par une toute jeune fille, voilà les éléments à dépouiller et à interpréter de la guerre de 1914-1918. Elisabeth, dans sa vie, sort d'un veuvage difficile. Cette quête de vérité va l'emmener aux quatre coins de la France ainsi qu'au Portugal, en Espagne et en Suisse.
L'autrice à mis deux ans et demi pour écrire ce roman dense, prolifique, multiple. Elle y mettra tout son coeur pour faire ressortir la vérité dans ce travail de mémoire collective.
Moi qui n'aime pas trop les récits historiques, j'ai plongé dedans très facilement. Hélène Gestern à l'art de nous prendre par la main pour nous raconter son récit. Une bien belle rencontre avec ce livre que je conseille vivement.
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Même si on m'avait caché la couverture de L'odeur de la forêt, j'aurais rapidement deviné qu'il s'agissait d'un roman écrit par la talentueuse Hélène Gestern, c'est déjà vous dire tout le plaisir que j'ai pris à la lecture de son dernier roman.
J'avais déjà beaucoup apprécié Portrait d'Après Blessures et Eux sur la photo et j'ai retrouvé son écriture classique et élégante, la place centrale de la photo et des liens épistolaires dans ses intrigues captivantes. Ses récits sont subtils, intimistes sans jamais être impudiques, et aborde avec douceur et lucidité la complexité des liens amoureux, le poids écrasant ou libérateur du passé sur les êtres.
Hélène Gestern a mis deux ans pour mettre un point final à L'odeur de la forêt, si riche en rebondissements. C'est une intrigue à tiroirs prenante, avec de bouleversants portraits de personnages broyés par la guerre et la longue narration de leurs descentes aux enfers, avec leurs parts d'ombres et de lumière, de bravoures et de lâchetés.
Deux (en)quêtes se chevauchent, activement menées par Elisabeth Bathori, une historienne de la photographie qui se retrouve en possession des lettres et de l'album d'Alban de Willecot, un jeune lieutenant, mort au front en 1917, l'ami d'un des plus grands poètes de son temps, Anatole Massis, avec lequel il a entretenu une abondante correspondance.
Élisabeth, particulièrement attachante, émerge douloureusement d'une longue période de deuil en se lançant dans de longues investigations, les petites histoires se mêlent à la grande... Les petits mensonges qui sauvent les apparences s'entremêlent aux mensonges d'état, toute vérité n'est pas bonne à entendre ou à voir.
Les chapitres sont courts, entrecoupés de lettres, de cartes postales ou d'extraits d'un mystérieux journal intime retrouvé au Portugal, le récit se déroule sur un siècle.
C'est une réussite totale, j'ai mis du temps à me plonger dans une autre lecture après avoir terminé L'odeur de la forêt tant j'étais imprégnée par ce roman richement documenté et fort en émotions.
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Après avoir beaucoup aimé " L'eau qui dort" et" Eux sur la photo", il me tardait de poursuivre ma découverte de l'univers d'Hélène Gestern. Ce livre -ci pourrait rebuter, avec plus de sept cents pages, et on s'attendrait à des longueurs. Eh bien, pas du tout! Mon plaisir n'a jamais faibli.

Lettres, photos, et secrets ( leimotiv de l'auteure) sont au coeur du roman. Mais ce serait bien réducteur de le résumer ainsi! Comme dans d'autres livres aussi , passé et présent s'entrecroisent . Trois époques : la première guerre mondiale, la seconde dans le milieu de la Résistance, et la période contemporaine, en France et à Lisbonne notamment.

Je n'ai pas envie d'en dire plus. Par contre j'aimerais communiquer mon enthousiasme de lectrice, mes émotions au fil des pages...

Alors j'évoquerai juste l'un des personnages, autour duquel gravitent tous les autres: Alban, le poète des étoiles plongé dans l'horreur des tranchées, le jeune homme ravagé dans son corps et son âme, qui ne trouve la force de continuer qu'à travers les lettres qu'il envoie à son ami, poète connu, ou les photos qu'il prend avec un autre soldat, au coeur de l'enfer.

Alban, qui fascinera la narratrice, historienne spécialisée dans les cartes postales anciennes, meurtrie d'une autre façon, elle aussi...

La langue de l'auteure est toujours subtile, riche, ses personnages nous touchent, surtout par leurs faiblesses, si humaines. La difficulté de faire son deuil, les injustices de la guerre comme les exécutions pour l 'exemple, la volonté de ne pas oublier tous ces morts broyés par des ordres militaires contradictoires et vains, la femme si enfermée dans la société du début du 20ème siècle, le poids des non-dits familiaux, tous ces thèmes très forts sont abordés avec justesse.

Mon seul regret, c'est que les textes ( inventés ?) de Massis, le poète imaginé par l'auteure, ne m'ont pas vraiment plu, hermétiques et artificiels... Mais je garde l'image de la rebelle Diane, de Tamara, au destin tragique, et d"Elisabeth, à la recherche d'elle-même, en puisant dans le secret des âmes...
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critiques presse (1)
Culturebox
13 décembre 2017
Dans une maison de village dont elle a hérité, une historienne de la photographie découvre une correspondance et des photos de la guerre de 14-18, qui vont l'entraîner dans les méandres de l'histoire. Un chef d'oeuvre, et une très belle construction romanesque.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Citations et extraits (84) Voir plus Ajouter une citation
(…) après ma thèse, ce n'est pas par hasard que j’avais opté pour la carte postale. J'aimais sa quiétude, son vernis d'embourgeoisement, sa rassurante banalité. Je crois que je cherchais surtout à me prémunir contre l’émotion charriée par ces empreintes de lumière, ce mélange sidérant de vie et de mort, de certitude et d'illusion, qu'est toute photographie.

Cet art vertigineux de prouver et d'absoudre tout à la fois le temps provoque en moi autant de fascination que d'affolement, et ce depuis le jour où Marraine m’a mis mon premier Polaroïd entre les mains. Je me rappelle encore le moment où j'ai vu apparaître, à la surface de l’image, le vert des arbres et le reflet sable du pelage de Lallie, notre chienne, un golden retriever à l'affection exubérante avec laquelle je jouais quelques secondes plus tôt.
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Pour les vacances, Irene n’a jamais tenu parole. Et quand un accident de voiture l'a emportée, à l'âge de trente-six ans, laissant mon père incrédule et son second mari anéanti, mon frère et moi n’avions toujours pas mis les pieds dans sa maison romaine.

Malgré tout, je suis certaine qu'elle était sincère quand elle nous faisait ses promesses, et qu'elle aurait aimé avoir le temps de mieux nous connaître. Il n’y avait aucune méchanceté, aucune sécheresse de cœur chez ma mère. Juste l'égoïsme des grands artistes, et un oubli total de ce qui n’était pas la musique.

Et il se trouve que nous, ses enfants, nous n’étions pas la musique.
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J'avais entre les mains le fruit d'une amitié et d’une indignation, résultat patient d'une succession de ruses qui avaient abouti à sa réalisation au milieu de mille périls, dont la mort de l'opérateur n était pas le moins imminent. Sa révélation arrivait trop tard, mais elle demeurait, fragment de siècle épinglé avec acharnement, combinaison parfaite de mots et d'images, comme le corps et la pointe d'une flèche jointoyés, destinés à se ficher dans les mémoires, quand de guerre il ne serait plus question, et que l'on tenterait d'étouffer la vérité sur ces quatre années qui auraient ravagé un continent, fait payer le prix du sang à ses colonies, et laissé autant de cicatrices dans les histoires des uns et des autres que les obus avaient creusé de cratères sur les collines de l'Est.
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Blanche avait continué à vivre ici à l'issue de la guerre, comme j’avais continué à vivre à Paris : là sans y être. Mais elle avait déserté, de plus en plus souvent, ce lieu réceptacle de trop de larmes, d'attentes et de chagrin, au profit d'un autre, dont elle avait fabriqué la réplique inoffensive. Et cette petite maison au bout d'un chemin arboré, non loin du cours paisible d'une rivière, vierge de la guerre et du deuil, lui permettait d y trouver, sinon l'oubli, du moins une forme de repos de la mémoire.

La même que j'étais venue y chercher, presque cent ans plus tard, pour des raisons qui n étaient, au fond, pas si différentes des siennes.
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— Tu veux toujours être pianiste ?

Son fils ferma les paupières un instant, les rouvrit. Ses yeux verts, ceux de sa mère, étaient d'une pureté polaire. Mais à cet instant, on y lisait une haine si limpide, un mépris si incommensurable pour la brute qui lui faisait face que l’homme en fut un instant désarçonné. Sans ciller, le jeune garçon articula distinctement :

- Oui, Père, c’est ce que je veux.

L’homme n’hésita pas. Dans le silence de la bibliothèque, le cuir dur du talon de sa botte s’abattit sur le dos de la main gauche de son fils.

Une fois, deux fois, trois fois, jusqu à ce qu’il entendît les os craquer.
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Vidéo de Hélène Gestern
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