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La rose de Versailles tome 2 sur 4

Misato (Traducteur)
EAN : 9782871294795
920 pages
Kana (07/12/2002)
4.34/5   103 notes
Résumé :
Rien ne va plus pour le peuple de France ! Les jeux sont faits : le peuple meurt de faim et l’Etat court à la faillite. La foule gronde et un certain 14 juillet 1789 approche à grand pas. Dans cette période de chaos, André et Oscar parviendront-ils à s’avouer leur amour malgré tout ?
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Aujourd'hui j'ai le grand honneur de vous parler d'un manga qui a changé l'Histoire du Manga, et plus encore…
https://www.youtube.com/watch?v=iR3EPigmdJY
"La Rose de Versailles" / "Lady Oscar" est plus qu'un shojo pionnier et référence, c'est une oeuvre culte qui grâce à son adaptation animée est entrée dans l'éternité ! (je vous dis ça, pourtant je n'aime pas le shojo hein ^^) Et puis osons le dire : avec "Versailles no Bara", Riyoko Ikeda a plus fait pour la promotion et le rayonnement de la culture française dans le monde que tout ce qu'a pu faire en 40 ans le Ministère de la Culture français… Faut-il en rire ou en pleurer ???


Je suis obligé de contextualiser un peu pour expliquer l'ampleur du phénomène…
En 1968 année révolutionnaire s'il en est ^^, le manga Ashita ni Joe met le gouvernement dans l'embarras en lui mettant le nez dans son caca. Pour avoir la paix, les autorités décident de mettre fin aux mangas traitant de sujets sociaux… Pas de bol car les gekidas renaissent aussitôt sous l'étiquette seinen, et Go Nagai qui a des comptes à régler avec le Japon bien-pensant et coincé du cul cartonne avec ses shonens antisociaux. Mais ouf, on peut toujours compter sur les shojos et leurs inoffensives romances à l'eau pour calmer le jeu parmi le lectorat féminin… Oui mais non, Riyoko Ikeda révolutionne le genre et crée un phénomène de société avec sa saga consacrée à la Révolution Française ! Mort de Rire ^^

Riyoko Ikeda appartient au « Groupe de l'An 24 », avec Moto Hagio, Keiko Takemiya, Ryōko Yamagishi, Yumiko Ōshima, Yumiko Igarashi, auxquelles on peut facilement rajouter Chieko Hosokawa et Machiko Satonaka
Ces auteures s'emparent du genre shojo qui à leur époque était encore largement écrit par des hommes (mais n'accablons pas Shotaro Ishinomori qui faire émerger des héroïnes fustigeant le rôle de femme au foyer, de Leiji Mastumoto qui transforme ses sylphides tantôt en déesses tantôt ou en démones, ou Buichi Terasawa qui transforme ses bimbos en détresse en bimbos strong independant women ^^), et lui offrent de nouveaux thèmes et de nouveaux codes tant graphiques que scénaristiques.
Le manga paru en 1971-1972 dans le magazine Margaret raconte initialement l'histoire de la reine du rococo Marie-Antoinette en s'inspirant de la biographie (hagiographie ?) du romancier autrichien Stefan Sweig. le triangle amoureux formé avec Oscar et Fersen reprend tout les codes de l'amour courtois donc on se croirait dans une chanson de geste avec les alter egos d'Arthur, Guenièvre, Lancelot et Hélène. Mais peu à peu l'histoire se recentre sur Oscar qui devient la véritable héroïne du drame. La sixième fille d'un général est élevée en homme pour assurer les obligations d'une vieille famille aristocratique, et on part de "Princesse Saphir" d'Ozamu Tezuka pour mélanger le mystérieux Chevalier d'Eon agent spécial de Louis XV et le Chevalier de Jarjayes fidèle d'entres les fidèles de la dynastie Bourbon. Et puis dès le départ elle fait aussi la part belle à l'héritage de Victor Hugo et Emile Zola avec les soeurs Jeanne et Rosalie, la brune qui n'est qu'ambition et perfidie et la blonde qui n'est qu'altruisme et modestie…
Oui cela reste girly avec des personnages kawaii aux yeux de gobis, des trames étoilées ou enflorées, tout plein d'étranges émois, des sentiments exacerbés, des amours enflammées, des belles gosses et des beaux gosses en veux-tu en voilà, et les connaisseurs de l'anime seront surpris par les partis pris humoristiques rendant hommages aux gimmicks cartoonesques des 1950/1960 (j'avoue que j'ai bien ri aux crêpages de chignon des chipies, aux bouffées délirantes du Cardinal de Rohan ou aux raclées que grand-mère fout à André ^^)… Mais à l'aube du féminisme on nous offre un formidable portait de femme, et à l'aube de la démocratisation on nous offre le formidable portrait d'une aristocrate patriote qui fait le choix de défendre l'avenir de son pays plutôt que son passé. Femme passionnée, Oscar de Jarjayes ira jusqu'au bout de ses convictions tant dans sa vie privée que dans sa vie publique… Puisque chacun et chacune d'entre vous est allé à l'école autant vous dire que ça ne se finit pas bien, mais alors là pas bien du tout ! (et oui, encore un série sponsorisée par les mouchoirs kleenex…) Finalement, seule une poignée de personnages échappent à la guillotine pour participer à la suite intitulée "Eroica" dont bordel de merde on attend toujours la traduction dans la langue de molière !!!

Graphiquement les auteures du « Groupe de l'An 24 » étaient très proches les unes des autres. Reprise d'un style antérieure, émergence d'un style dominant, auteures influencées les unes par les autres, auteures ayant consciemment ou inconsciemment élaboré un style communément… Impossible de trancher, mais ceux qui écrivent « oh, c'est juste repompé sur Candy » me paraissent quand même assez incultes… Toujours est-il que ce style a été déterminant pour tous les grands charadesigners de l'âge d'or de la japanime et ce n'est dans doute pas un hasard si Michi Himeno a été infidèle à Shingo Araki en travaillant en solo sous la direction d'Osamu Dezaki à l'adaptation animée de ce manga culte…
Ce qui distingue l'auteure de ses consoeurs, c'est la manière dont elle modernise énormément ses graphismes en très peu de temps : quand les choses s'animent on passe volontiers du découpage rectiligne au découpage oblique, pour les souligner les moments les plus intenses les innovations se multiplient et quand la passion l'emporte sur la raison les planches pètent la classe de ouf comme chez Shotaro Ishinomori et Go Nagai… J'imagine facilement que l'auteur de "Devilman" lui a rendu la pareille avec son récit court "La Sinistre Reine de Versailles"… ^^
Difficile de savoir pourquoi Riyoko Ikeda est ensuite passée d'un charadesign foncièrement féminin (qui sera repris par la plupart des auteurs des années 1970/1980, à commencer par Masami Kurumada pourtant inconditionnel des shonens virilistes ^^) à un charadesign foncièrement masculin. Les autres oeuvres de l'auteure n'ont pas été éditées en France, mais en cherchant un petit peu on s'aperçoit qu'elle pose les bases du style de Kaori Yuki avant Kaori Yuki ("Angel Sanctuary"), et les bases du style de Fuyumi Soryo avant Fuyumi Soryo ("Cesare").


Chapitre 6 : "Le Feu brûlant de la révolution"


Chapitre 7 : "La Belle promesse d'amour"


Chapitre 8 : "Le Destin qu'on s'est choisi" (ATTENTION SPOILERS !!!)

ça y est, vous pouvez aller chercher une boîte de mouchoirs kleenex ^^

Chapitre 9 : "Auprès de Dieu" (attention spoilers si vous n'avez jamais été à l'école…)
C'est une révolte ? Non, c'est la Révolution !

Vous pouvez aller cherchez une 2e boîte de mouchoirs kleenex ^^

Chapitre 10 : "La Comtesse en noir" (histoire annexe)
L'auteure a choisi que continuer à faire vivre la saga d'Oscar et André par des récits courts se situant entre le début de l'Affaire Masque Noire et le retour de Fersen des Amériques, et ici on transpose les crimes de la monstrueuse hongroise Elisabeth Bathory dans la campagne française…
On se retrouve donc avec un très plaisant récit gothique entre enquête, fantastique et cape et épée, mais il ne faut pas en être surpris car les deux thèmes de prédilection du Groupe de l'An 24 c'est l'Histoire et l'Horreur ! ^^
C'est aussi l'introduction de l'espiègle et potentiellement horripilante nièce d'Oscar dénommée Loulou de la Rolancy, mais j'en reparlerai pour le tome 3

PS: dans cette 2e intégrale, les graphismes évoluent déjà du shojo au josei, et dégagent un esprit sixties/seventies très agréable, limite disco-funk avec Oscar et André très fashion en chemises col pelle à tarte et pantalons patte d'eph (John Travolta aurait débarque de "La Fièvre du samedi soir", je n'aurais guère été surpris ^^)


Challenge Pavés 2016-2017 2/3
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Un 2ème tome tout aussi plaisant que le premier. Bien sûr, comme dans le précédent volet, il y a des aspects un brin cucul la praline mais ça ne vient jamais gâcher le plaisir de lecture. Il faut dire que les personnages sont sacrément bien caractérisés et donc forcément très attachants. En plus je trouve que le côté historique est plutôt bien fichu et l'auteure évite le simplisme dans la peinture des figures historiques. Si elle se range indéniablement du côté du peuple, elle ne fait pas de Louis XVI et de Marie-Antoinette des salauds méprisables. Ikeda donne un aspect vraiment tragique au destin du couple royal sans pour autant oublier leur part de responsabilité.

J'ai beaucoup apprécié également l'histoire courte qui complète le volume. Cette histoire qui s'inspire de la diabolique Comtesse Bathory a une belle allure gothique.

J'ai passé de très bons moments avec ces deux tomes de « La rose de Versailles ». Je suis très déçue que ma bibliothèque ne dispose pas des tomes suivants.

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Fin des aventures de Lady Oscar proprement dites, un troisième opus est disponible mais reprenant des petites histoires avec Loulou la nièce d'Oscar, Loulou qu'on retrouve dans le dernier chapitre de ce tome. Déconnecté de l'histoire principale, ce chapitre détonne avec son côté plutôt comique, on est dans une histoire de "vampires" inspirée d'une comtesse hongroise ayant tué plus de 600 jeunes filles. Loulou petite fille très débrouillarde apparaît plus comme le personnage principal,sauvant tout le monde.
Les quatre premiers chapitres concernent la chute de la monarchie, la prise de conscience et de position en faveur de la révolution d'Oscar. Une lettre anonyme avait dénoncé au roi l'amour entre Marie-Antoinette et Axel de Fersen, les calomnies vont bon train contre la reine. Les dépenses extravagantes de la cour conduisent à la réunion des états généraux, dès cet instant L Histoire est en marche et rien ne pourra plus sauver la reine, malgré les plans d'évasion de Fersen. le travail de recherche est toujours aussi poussé avec les différentes étapes de la révolution jusqu'à la mort de la reine.
A côté se poursuit l'histoire d'Oscar qui s'est détachée du couple royal en quittant la garde royale pour un corps moins prestigieux mais plus proche du peuple. André la suit comme son ombre malgré une cécité devenant de plus en plus permanente. L'amour tragique est à son apogée dans ce dernier tome tant avec Marie-Antoinette très digne dans la mort même si déconnectée de la réalité de son pays qu'avec Oscar qui découvre le véritable amour de sa vie. Femme soldat, élevée sans une once de féminité elle prend en compte ses sentiments à la toute fin. Couple impossible sous l'ancien régime, André et elle bravent les interdits. Épousant les idées d'égalité, elle prend part à la prise de la Bastille.
Une histoire magnifique, très documentée avec des personnages au destin tragique. Une histoire pour découvrir les mangas, un manga pour découvrir l'Histoire de France.
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Suite des aventures de Lady Oscar : après avoir lu le tome 3 qui se composait de nouvelles en marge de l'histoire principale, j'ai terminé le tome 2 de l'intégrale. Une légère déception car je n'ai pas toujours retrouvé le caractère de l'héroïne, normalement forte et sensible, ici elle s'avère très souvent sanglotante. Étonnant et déroutant.
Concernant la période historique, cette seconde partie entre dans le dur, la révolution est en marche. Bizarrement pour un manga, j'ai découvert de nombreux détails sur plusieurs faits historiques pourtant essentiels à notre histoire de France (peut-être les avais-je appris à l'école puis oubliés mais j'ai, en général, une bonne mémoire donc...) en tout cas, ça m'a fait plaisir de mieux comprendre le contexte et j'ai envie de lire une biographie de Marie-Antoinette.
Revenons à mon héroïne d'enfance favorite, la seule et unique Lady Oscar, dont j'attendais chaque semaine avec ferveur le nouvel épisode (oui, oui, un épisode par semaine, sans rediffusion ni visionnage à la demande, c'était ainsi dans mon enfance, oh jeune "millenial" soit conscient de ta chance !), elle est ici moins militaire, elle prend ses propres décisions, amoureuses comme professionnelles, l'obéissance de sa jeunesse n'est plus de mise. Elle reste néanmoins très attachée aux membres de la famille royale ce qui rend sa situation d'autant plus difficile. Je n'en dévoilerai pas davantage. J'ai beaucoup cherché ce manga car je souhaitais vraiment retrouver ce souvenir cher à mon coeur et j'en suis contente malgré de légers bémols.
Merci
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ATTENTION : spoilers/ divulgâchage dans mon post !

Ce deuxième volume couvre la période 1789-1793, du début de la Révolution jusqu'au procès et à la mort de Marie-Antoinette.

La première partie est plutôt centrée sur Oscar: son père soudain la considère désormais comme la future génitrice de l'héritier familial et décide qu'elle doit se marier, un mariage pour lequel elle n'a pas son mot à dire. Oscar connaît deux révélations ensuite: son amour pour André (ils connaîtront une nuit d'amour) et son choix politique de rejoindre la Révolution. Cela donne des pages riches en envolées lyriques, en sentiments exacerbés et déclarations fracassantes dont le graphisme selon les vignettes est soit magnifique soit un peu gâché par des flopées d' onomatopées (clap des sabots; Kyyyyiii; ....). J'ai néanmoins beaucoup apprécié cette première partie.
Malheureusement, André meurt, puis Oscar (dans la prise de la Bastille).
et j'avoue qu'ensuite le manga a pour moi perdu beaucoup en intérêt : la mort d'Oscar semble passer inaperçue auprès de Marie-Antoinette qui devient l'héroïne de la suite et fin de la Rose de Versailles. Je n'ai aucune complaisance pour cette seconde partie : la reine y est caricaturée, la politique est "un peu" massacrée (ok pour la chronologie qui est respectée, mais pour les idées politiques : erreurs de l'autrice ou de traduction, c'est le grand mêli-mêlo entre république, monarchie, monarchie constitutionnelle, démocratie, nation, population, bourgeoisie, prolétariat ...) et SURTOUT le côté drama-guimauve des scènes entre la reine et Fersen, PITIE !!! Bref, je me suis sérieusement ennuyée et j'ai eu hâââââââââââââte de finir !
Viennent ensuite des histoires courtes en guise d'annexe/prolongation, qui introduisent un nouveau personnage : Loulou, la nièce de Oscar !
Sans être très élaborées, et bien que me semblant destinées à un public plus jeune, j'ai beaucoup aimé ces historiettes, bien moins mièvres et dégoulinantes d'amours contrariées que La rose de Versailles. Elles ressemblent plus à des peintures de moeurs et il y a un humour mieux dosé, une vraie intrigue ... des erreurs de traduction cependant ou de maîtrise du français, mais c'est sympa !
en bref : contente d'avoir fini cette longue saga.
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Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
Jean-Jacques Rousseau (1712-1778). Philosophe, né en Suisse. Il eut une vie pauvre et malheureuse. Célèbre pour avoir exhorté les hommes à retourner à l’Etat de nature, il a grandement influence les révolutionnaires comme Robespierre et leur devise « Liberté, Egalité, Fraternité ». Poursuivi par l’Eglise et par la Police, il a fini sa vie dans une errance solitaire. Ses œuvres principales sont : "Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité entre les hommes", "Emile", "Du Contrat socia"l. Il est également l’auteur du premier mélodrame au monde, "Pygmalion", d’un roman "La Nouvelle Héloïse" et des "Confessions", où il avoua avoir abandonné successivement les 5 enfants qu’il avait eus avec sa maîtresse. Son influence sur Tolstoï Goethe et Schiller est importante.
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La construction de la Bastille sur la rive droite de la Seine commença en 1383 et dura 13 années. Bâtie à l’origine pour protéger l’Hôtel Saint-Paul où résidait le roi de l’époque Charles V… Elle fut ensuite utilisée comme prison pour accueillir ceux qui s’étaient opposés à la famille royale et d’autres prisonniers politiques… Elle était devenue la cible de la terreur et de la haine du peuple.
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Jacques Necker (1732-1804). Banquier né en Suisse, on reconnaît très vite ses capacités et, en 1777, il devient le premier roturier accédant au titre de Contrôleur Général des Finances. Il est très populaire. Il a restreint les dépenses de la royauté et a rendu public le déficit faramineux. Haï pour cela par la reine et les nobles, il fut renvoyé.
Sa fille Germaine, a été un moment pressentie comme épouse potentielle de Fersen. Mais elle épousa le meilleur ami de ce dernier, le baron de Staël-Holstein. Elle restera dans l’Histoire de la littérature française sous le nom de Madame de Staël.
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- Majesté !! La prison de la Bastille a été prise par les Parisiens !! Les têtes coupées du Marquis de Launay et du Maire de Paris, Monsieur de Flesselles, sont exhibées dans toute la ville !!
- C’est pour cela que vous me réveillez ? Ce n’est qu’une révolte.
- Non !!! Non sire, c’est une révolution !!
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L’édit de 1781. Ministre de la Guerre, le Maréchal de Ségur a signé l’édit du 22 mai 1781, interdisant toute promotion aux hommes qui ne peuvent justifier de quatre quartiers de noblesse. C’était une manière de garantir à la grande noblesse les plus hauts postes de l’État. En gros, si on n’est pas noble depuis deux générations, toute promotion est interdite !
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Riyoko Ikeda : la visite royale
Auteure de "La Rose de Versailles" (connue en France des trentenaires sous le titre "Lady Oscar"), Riyoko Ikeda, invitée d'honneur du Festival d'Angoulême, a été reçue très officiellement au Château de Versailles pour une visite et un concert privés..
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