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EAN : 9782818006009
288 pages
P.O.L. (01/08/2011)
2.56/5   154 notes
Résumé :
Faut-il prendre au sérieux les menaces d’enlèvement qu’un groupuscule islamiste fait peser sur Britney Spears ? Les services français (les meilleurs du monde) pensent que oui.
Certes, l’agent qu’ils enverront à Los Angeles pour suivre cette affaire présente quelques handicaps – il ne sait pas conduire, fume dans les lieux publics, ignore presque tout du show-business et manifeste une tendance à la neurasthénie –, mais il fera de son mieux pour les surmonter, c... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (47) Voir plus Ajouter une critique
2,56

sur 154 notes
Alors... brossons un plan détaillé de Los Angeles assorti d'une description complète de son réseau de transports en commun. Ajoutons par-ci par-là quelques articles éculés de Voici (ou Gala, c'est comme tu le sens) relatant la destinée ébouriffante de Britney Spears, Lindsay Lohan ou Kathy Perry. Lions le tout de phrases délibérément interminables... On obtient là une bizarrerie littéraire malencontreusement dotée d'un pouvoir neuroleptique à vous abrutir un mammouth hyperactif en période de reproduction.

L'écriture pourtant est intéressante et non dépourvue d'un humour potable qui pointe parfois son nez fripon mais j'avoue que rarement un livre me sera tombé des mains à ce point. Pour ma part, je n'en ai donc pas retiré grand-chose – ayant invariablement oublié chaque jour la moitié de ce que j'avais réussi à parcourir la veille – mais il est certain que cette histoire devrait combler de… ravissement l'insomniaque chronique en quête de sédatifs non répertoriés.


Lien : http://minimalyks.tumblr.com/
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C'est donc un roman, Jean Rolin écrit peu de fiction, dont le titre est bien sûr un clin d'oeil à Marguerite Duras.
Un roman,en ce sens qu'il y a une intrigue complètement rocambolesque , un agent secret étant chargé d'enquêter sur une éventuelle tentative d'enlèvement de Britney Spears par un groupuscule islamiste ..
"A quiconque mettrait en doute a priori la vraisemblance des menaces d'enlèvement ou d'assassinat pesant sur la chanteuse , j'objecterai qu'il n'est guère plus absurde - et plutôt plus facile- de s'en prendre à Britney Spears qu'aux tours du World Trade Center, et que la valeur symbolique de la première, aux yeux du public américain, est à peine moindre que celle des secondes."

Cet agent secret, on sait d'emblée que rien ne s'est passé comme il le voulait car dès le début on le découvre dans un coin paumé du Pamir, où sa mission suivante consiste à relever les numéros d'immatriculation des véhicules traversant la frontière vers la Chine. Travail passionnant également . Il cohabite au Pamir avec un ex agent du KGB , auquel il va raconter ses récentes aventures américaines .

Ca, c'est la part de fiction , mais , Jean Rolin s'en est donc expliqué, le reste est vrai et il a vécu tout ce qu'il raconte.
Cet auteur part toujours d'un lieu donné, très topographié, et là, il s'agit de la ville de Los Angeles. Qu'il a parcouru de long et en large, en bus le plus souvent, mais aussi à pied, et ça, il faut le faire quand on connait Los Angeles!
Cela lui a permis de parler de cette ville peut-être d'une autre façon , et quant à tout ce qui concerne le showbizz, on y vient , c'est du côté des paparazzis qu'il se situe. D'où la savoureuse histoire de ces deux brésiliens tout à fait réels qui depuis 6 ans, traquent les moindres faits et gestes de Britney sans s'intéresser le moins du monde à ce qu'elle est d'ailleurs. C'est un boulot, c'est tout. Mais ayant quand même une certaine affection pour elle ( réciproque), la ramasser bourrée dans les endroits les plus variés et la ramener at home, ça crée des liens!

Britney, donc..
"La première fois que j'ai entendu parler de Britney Spears , c'était en 2003, pendant les semaines qui précédèrent l'invasion de l'Irak par les Américains et leurs alliés. Je me trouvais alors à Ramallah , en Palestine, où j'étais l'hôte d'une famille chrétienne; les Israéliens, de nouveau, ayant imposé un couvre-feu, nous passions beaucoup de temps devant la télévision à commenter des nouvelles angoissantes en grignotant compulsivement des pistaches. le chef de famille possédait une petite entreprise de fabrication de crucifix en bois d'olivier, et de mise en bouteille d'eau du Jourdain - celle-ci supposée avoir été puisée sur les lieux mêmes du baptême du Christ- , et ses affaires, comme beaucoup d'autres, étaient en train de péricliter par suite du couvre-feu. Un jour où nous regardions, sur al Jazeera, un agité quelconque en train de pronostiquer le succès imminent des armes de Saddam Hussein, mon hôte dut se lever , et quitter le salon, pour répondre à un appel téléphonique provenant d'un évêque allemand qui s'inquiétait du retard pris par une livraison d'eau bénite. Sa fille aînée, âgée d'une dizaine d'années, profita de sa disparition pour zapper- les prêches d'al Jazeera l'emmerdaient autant que moi- et sélectionner une chaîne diffusant des programmes pour ados..."

Et c'est ainsi que Jean Rolin a fait connaissance de Britney Spears. Ce long extrait qui va en dégoûter bon nombre, j'en ai bien conscience , pour tenter de montrer deux choses:
-le style, l'écriture en longues phrases , pleines de digressions et de détails qui peuvent rebuter, mais que personnellement j'aime beaucoup.
- et surtout l'ironie constante tout au long du roman. Jamais méchante, c'est juste des constatations, un récit, mais raconté tel qu'il le raconte, c'est souvent très drôle. Et moi, un livre qui me fait rire, c'est gagné d'avance, c'est tellement rare.
Une dernière phrase ? On se retrouve au Tadjikistan:
"Les privilégiés, et parmi eux les caïds de ce trafic que la police et l'armée sont supposées combattre dans la vallée de Racht, paradent au volant de gros 4/4 aux vitres fumées: les mêmes qu'à Hollywood , tant l'ostentation de la richesse , quelle que soit l'origine de celle-ci, ne dispose que d'un répertoire limité."

J'ai beaucoup aimé, et je vais continuer à lire ce Jean Rolin , il m'amuse beaucoup et c'est un excellent observateur du détail.



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Loufoque, cette histoire l'est totalement.

Par son scénario tout d'abord. On dirait un jeu d'atelier d'écriture : imaginez un personnage d'espion des services secrets français, d'âge un peu mûr, ne sachant pas conduire, et plongez dans le milieu très « people » de Los Angeles.

Rajoutez-y des personnages secondaires truculents : « Fuck » (ça ne s'invente pas, ce sont ces initiales) un paparazzi rompu aux techniques d'observation des people, « Shotemur » le responsable du KGB à Murghab, là où dans son exil punitif au Tadjikistan, notre héros sera chargé de relever les numéros d'immatriculation des voitures franchissant la frontière avec la Chine, ou encore le colonel « Otchakov », patron des services secrets qui ne s'exprime en code qu'avec des citations littéraires.

Et imaginez qu'un projet islamiste soit fomenté contre la star musicale Britney Spears consistant à l'enlever aux yeux de la foule : après tout pourquoi pas ? : « Il n'est pas plus absurde – et plutôt plus facile – de s'en prendre à Britney Spears qu'aux tours du World Trade Center, et que la valeur symbolique de la première, aux yeux du public américain, est à peine moindre que celles des secondes ».
Le tout, sous la plume de Jean Rolin, est du plus haut comique, cocasse, déjanté.
Notre héros, sorte de Dujardin dans son personnage de OSS 117 qui ne connaît rien aux lois des star people, va revenir bredouille de cette mission. Même si nous le retrouvons au fil des pages, l'esprit plutôt détourné de sa mission initiale, lorsqu'il porte un intérêt croissant, et purement sentimental, pour Lindsay Lohan, autre navrante héroïne pour tabloïds. Mais qu'importe.
Voilà la littérature qui s'éprend d'un monde jusqu'ici étanche : le monde des peoples, des paparazzis et de tous ceux qui gravitent autour : gardes du corps, hôtels et boutiques de luxe, fans en tous genres.

Mais c'est peut-être la ville de Los Angeles qui est le personnage principal du roman. Des descriptions minutieuses de la cité vue d'un piéton – chose rarissime dans une ville où chaque foyer a en moyenne entre deux et trois véhicules à sa disposition - une ville à la fois fascinante et repoussante, qui voit se côtoyer le grand luxe et la grande pauvreté.

Les amateurs de littérature auront évidemment vu le clin d'oeil à Marguerite Duras dans le titre. Beaucoup d'humour donc chez Jean Rolin, mais le « ravissement » n'est-il pas aussi cette fascination béate qui prend dans ses filets de nombreux fans attirés par les starlettes blondes et trashs comme les insectes autour d'un lampadaire ? Comment expliquer sinon que Lady Gaga et Britney Spears fassent la course en tête pour le nombre de « suiveurs » sur leur compte Twitter (5 millions de suiveurs pour Britney Spears) ? Et que font toutes ces vidéos sur des sites très visités, comme « Hollyscoop » ou « Hollywoodgossip », dans lesquelles on voit par exemple : « une séance de pose à laquelle Lindsay Lohan s'est prêtée récemment dans le studio du photographe Tyler Shields » ? Qui les regarde ? N'est-ce pas une critique des réseaux sociaux et de leurs effets pervers, de la question de la médiatisation à outrance ? Et que faisons-nous de nos vies dans une société envahie par l'hyperconsommation ?

Et si derrière cette histoire loufoque, se cachait une autre histoire dans laquelle Jean Rolin se moquerait du vide de nos vies et de notre manière de les remplir d'inepties ? le lecteur fera son choix, mais sans oublier que, de toute façon, ce « ravissement » là recèle certainement d'une bonne dose d'humour
Lien : https://www.biblioblog.fr/po..
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« le ravissement de Britney Spears »,
Jean Rolin canonise les starlettes entre satire et effroi

C'est d'abord son titre mystérieux, pouvant aussi bien évoquer Marguerite Duras avec « le ravissement de Lol V. Stein » que « le ravissement De Saint Paul », épisode de la seconde lettre aux corinthiens, qui frappe l'esprit dans les trente-trois ( !) chapitres de prédication du dernier roman de Jean Rolin.
L'auteur de « l'Organisation » joue avec habileté des sens du mot « ravissement » - entre rapt, admiration et extase - pour nous livrer une vision stupéfiante de la ville de Los Angeles, cette Babylone et Jérusalem moderne.
L'intrigue, un agent secret français ne sachant pas conduire missionné à Los Angeles pour déjouer une obscure menace d'enlèvement par des islamistes sur Britney Spears, est prétexte à la vision faussement mélancolique et totalement jubilatoire (à moins que ce ne soit l'inverse), par les vitres d'autobus, d'un monde ayant pour seule ambition de faire parti du panthéon hollywoodien, sinon télévisuel ; vision où la description de simples itinéraires en autobus devient poésie.
Sublimant les procédés de Bret Easton Ellis, Jean Rolin fait du name-dropping une nouvelle « Légende dorée » dans laquelle la désincarnation serait divine au point qu'un simple tatouage prouverait la foi absolue, et surtout où les quartiers pauvres seraient survolés par les autoroutes de la cité tentaculaire bien protégée. Toutefois, même si le réel paraît lointain, l'humanité affleure encore quand ces dieux ressemblent à leurs fidèles en se gavant de junk-food ou quand le bout d'une piste d'aéroport dévoile un paradis perdu qui abrite de pauvres écureuils.
Mais le roman frise surtout le génie dans le récit que fait le narrateur de sa mission, une fois celle-ci compromise, à un chef de la sécurité des frontières du Tadjikistan, pays où il se trouve désormais relégué. Car la confrontation entre le compte-rendu des émotions factices des starlettes et la menace terroriste bien réelle à laquelle le militaire fait face au quotidien, si elle ne manque pas de sel (« il n'y a que [ces] histoires qui arrivent à [le] faire dormir »), fait surtout frissonner.
Et l'on ne sait si l'épilogue ouvre sur une guerre imminente ou sur la violence comme seul divertissement possible dans le réel incarné.
A la fois vain et essentiel.
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La Cité des Anges californienne serait-elle un enfer (sexe, gloire et cocaïne), où l'argent coulant à flot, certains groupes terroristes pourraient,le cas échéant kidnapper une ravissante ravie de la crèche hollywoodienne style Britney Spears moyennant rançon?
Voilà le lieu, le thème et l'héroïne choisis par Jean Rolin pour camper le décor de son nouveau roman le ravissement de Britney Spears.
Son anti-héros, agent secret français, dépêché sur les lieux par le "colonel Otchakov", occupe la chambre de Jim Morison dans un motel et se déplace en bus (car sans permis) alors que Britney a été hospitalisée quelques mois auparavant au Cedars Sinai, en neur-psychiatrie puis mise sous tutelle paternelle.
C'est surtout; plus que le fantasme fait femme et l'anticonformisme choc de Britney (la sans culotte au garde du corps prévenant) and co (genre la pieuse Katy Perry au Jésus tatoué sur le poignet, Lady Gaga au rosaire avalé dans un clip blasphématoire, Lindsay Lohan complice mise à pied de l'époque éclatée); le paparrazisme agressif (lancé par Fuck qui a fait fortune) qui donne aux lecteurs la star en pâture, les blogs déstabilisants qui dévoilent sa vie privée, internet qui la fait naitre d'un père bon à rien porté sur la bouteille,les groupies illuminées et l'industrie ("Enfer et damnation"!) qui tourne autour de telles idoles qu'a voulu étudier d'une loupe ironiqueJean Rolin car des menaces d'attentat peuvent "la mettre à genoux" (l'industrie pas Britney bien sûr!).
"Le monde dans lequel nous vivons n'est pas le meilleur possible".
Triste constat!
Un livre farfelu et distrayant.
Jean Rolin, reporter et écrivain qui a reçu le prix Médicis 1996 pour L'organisation et le prix Albert Londres pour le journalisme en 1998, est allé enquêter sur place "avec une précision quasi anthropologique" (dixit Culture-Match) pour écrire vrai et se mettre dans la peau du personnage de l'agent secret mélancolique (qui va flasher, petit rajout perso, sur Wendy, une pseudo-Britney :Voilà l'un des avantages de l'écriture!!!).
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critiques presse (5)
LesEchos
13 septembre 2011
On se baladera avec autant de plaisir le nez en l'air à travers la ville décrite de façon méticuleuse par un Jean Rolin frôlant la monomanie. […] On rira beaucoup, surtout.
Lire la critique sur le site : LesEchos
LeSoir
05 septembre 2011
Comme dans la plupart de ses ouvrages, des récits plus que des fictions, le narrateur officie à la première personne. Il conjugue comme Rolin une subtile nonchalance avec l'art de regarder dans les coins, là où l'œil ne va que s'il se méfie des images de façade.
Lire la critique sur le site : LeSoir
LeMonde
02 septembre 2011
L'humour et la mélancolie, le premier puisant nombre de ses traits dans la seconde, confèrent à ce roman une tonalité très étrange.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LaLibreBelgique
02 septembre 2011
A travers la chanteuse, Jean Rolin parle de Los Angeles. […] Écrivain voyageur, il nous fait sentir cette ville.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Telerama
18 août 2011
A partir d'une plongée dans le show-business, Rolin confirme son talent à saisir notre époque.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
A l’intérieur même de la rame, je relevai celle-ci [inscription], qui témoignait d’une confiance limitée dans le bon sens de la clientèle hispanique : « Por favor, no descarge su pistola al aire este Año nuevo » (S’il vous plait, ne déchargez pas votre pistolet en l’air à l’occasion du Nouvel An).
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Quoi qu'il en soit , et sans m'exposer, du moins je l'espère, à des poursuites pour manquement de mon devoir de réserve, je peux tout de même révéler que dans la définition que m'en avait donné le colonel Otchakov, ma mission consistait à prévenir une tentative d'assassinat de Britney Spears, ou d'enlèvement de celle-ci, par un groupuscule islamiste : avertis de ce projet, par des voies que je continue d'ignorer, avant les services américains, les nôtres ambitionnaient de retirer de cette circonstance de grands avantages de prestige, en soustrayant in extremis, fut-ce au prix d'un enlèvement - mais pour la bonne cause -, la chanteuse à ses ravisseurs (ou à ses assassins), et en la faisant réapparaitre, au moment où l'inquiétude du public et des autorités aurait atteint son apogée, en un point du territoire français qui vraisemblablement, afin de ne pas l'avoir trop longtemps sur les bras, et de ne pas risquer de l'abimer en la trimballant çà et là, aurait été choisi quelque part dans le Antilles, en évitant si possible la Guadeloupe en raison du climat politique et social prévalant sur cette île.
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Lindsay Lohan back to blonde ! » ( Lindsay Lohan de nouveau blonde !). Le titre faisait la une du site de l’agence X17, le 26 mai, cependant que sur celui du Sun, un quotidien britannique coutumier des informations douteuses, on apprenait que Britney Spears avait formé le projet de se faire cryogéniser en vue d’une résurrection à une date indéterminée. (Auparavant, elle aurait envisagé de faire convertir ses cendres en diamant, mais une opération de ce genre, pour flatteuse qu’elle soit, ne vous permet pas de revenir d’entre les morts.)
La nouvelle concernant Lindsay était accompagnée d’images la montrant telle qu’on ne l’avait pas vue, en effet, depuis longtemps, radieuse et blonde, vêtue d’un jean élimé et d’une veste rouge tellement délavée, quant à elle, et déchirée, qu’elle semblait rescapée d’un naufrage (telle que Lindsay aurait pu la soustraire, sur la plage de Vénice, parmi les objets disparates échappés de la coque du Feral, le bateau rejeté par la mer de l’attorney Kirschbaum, dont le même jour on apprenait que le corps avait été retrouvé à la dérive, porteur d’un gilet de sauvetage désormais inutile, à quatre milles au large de Long Beach), le visage en partie recouvert par des lunettes noires, se frayant un chemin à grand-peine, avec le concours de deux gardes du corps, au milieu d’une foule de paparazzis véritablement déchaînés, au sortir d’un salon de coiffure que dans un premier temps l’agence X17 avait faussement identifié – une fois n’est pas coutume – comme le Byron, alors qu’il s’agissait manifestement, ainsi qu’on pouvait le vérifier aussitôt sur le site de TMZ, du salon d’Andy Lecompte, sur Almont.
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… les Tadjiks sont assez enclins à vociférer, pour le plus léger désaccord, sans que ces éclats de voix tirent à conséquence ou témoignent nécessairement de positions inconciliables.
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« Il n’y a que tes histoires qui parviennent à me faire dormir », me confie-t-il, à titre d’encouragement, même si je ne suis pas sûr de devoir prendre cela comme un compliment.
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