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EAN : 9782234086326
208 pages
Stock (30/09/2020)
4.2/5   66 notes
Résumé :
« Qu’allais-tu faire là-bas ? Tes amis te le demandaient souvent : pourquoi encore cette ville ? Pourquoi tout ce temps ? Qu’y a-t-il à New York que tu ne connais pas déjà ? Parfois tu te le demandais aussi. Tu l’avais arpentée en long, en large et en travers, si bien que tu la connaissais mieux que ta ville natale. “Pour écrire” était la réponse qui coupait court à toute question. Mais il y avait quelque chose d’autre de trop difficile à expliquer. »

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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Fiorello La Giardia ça vous dit quelque chose ? Non ? Ce mec dont la photo trône à côté de de celles de Joe di Maggio et Frank Sinatra, dans toutes les pizzerias italo-americaines de New-York..... Voilà si vous voulez aller à la rencontre d'une des villes les plus fascinantes du Monde , à travers son histoire, sa culture ( car New York ce n'est pas les États Unis ), sa géographie, sa population, sa cuisine, sa végétation urbaine et ses écrivains, .Paolo Cognetti , oui cet auteur italien dont vous avez probablement lu et j'espère adoré " Les huit montagnes ", va vous y guider . Et croyez-moi même si vous connaissiez cette ville comme votre poche, vous apprendrez ici néanmoins beaucoup de nouvelles choses intéressantes. Car Paolo y est retourné plusieurs fois et y a vécu pour écrire à différentes périodes pendant dix ans, mais le plus important Paolo est un CURIEUX, et les curieux découvrent toujours des choses épatantes. Vous y croiserez Grâce Paley, Henry James, Edith Warton, J.D.Salinger, Walt Whitman, Truman Capote, Paul Auster, Colson Whitehead,.....mais aussi le clochard qui embrassait les pigeons, des jardins échappés d'Alice au Pays des Merveilles, le mouvement "Green Guerilla " des années 80, le café des écrivains Ozzie's qui ne sert pas d'alcool......
Et dernière tentative pour vous convaincre, une mise en bouche italienne 😁:
"Dans les années 1930, les Juifs venus d'Europe et leurs enfants étaient près de deux millions, les Italiens un million et demi, ce qui faisait également de New York la première ville italienne après Rome,...", Cognetti ne peut pas ne pas sourire aux recettes italo-americaines, (un sacrilège en Italie) proposées dans les restos italiens de la ville, dont celui du quartier où il a ses habitudes , et par ce biais je profite pour vous conseiller un film épatant sur ce sujet, si non déjà vu, The Big Night un film de Stanley Tucci et S.Campbell avec Isabella Rossellini (1996) . Vous y passerez un très bon moment avec une musique sublime !
C'est tout ce que je vous direz, ce livre truffé de références littéraires vaut un voyage au Big Apple, en plus à peu de frais et sans risque vu la situation 😁!


".........New York, c'est juste un autre genre de solitude.........l'important, ce n'est pas le paysage qui t'entoure, mais la vie que tu y mènes. Les recoins du monde que tu observes le plus souvent sont ceux dans lesquels tu te reflètes, les choses qui te marquent sont autant de découvertes que tu fais sur toi."
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"New-York, tu la prends comme elle est mais tu la fais également tienne à ton arrivée : elle était différente avant, aussitôt après elle changera encore, et tout ce que tu écris sur elle vieillit immédiatement, l'encre n'a pas eu le temps de sécher que c'est déjà daté. C'est un instantané de quand tu y étais, ni plus ni moins. (p149)"

Allez viens, je t'emmène .... à New-York, mon New-York voilà ce que nous propose Paolo Cognetti dans ce carnet de voyage , ville qu'il aime et où il se rend régulièrement,  mais au-delà du simple guide touristique il nous raconte et fait découvrir son New-York, celui des écrivains et artistes dont il retrouve les traces dans les différents quartiers où il nous emmène et pour tout les mordus de lecture que nous sommes et en particulier de littérature américaine c'est un voyage de rêve.

"La New-York Public Library, immense temple de la lecture, peut-être la seule véritable cathédrale d'ne ville qui respecte toute les religions mais n'en embrasse aucune. (p114)"

Avec simplicité il vous prend par la main et vous raconte ses rencontres avec Bob, Jimmy, ses amis mais également ses déambulations dans les rues et avenues qu'il traverse évoquant les auteur(e)s marquants : Paul Auster, Betty Smith, Colson Whitehead, Grace Paley, Walt Whitman, F.S. Fitzgerald, Truman Capote, Herman Melville etc.... qui y ont vécu mais également les lieux mythiques, les différentes arrondissements, îles, ponts car New-York est finalement un pays dans la ville avec une multitude d'ambiances, de populations, d'architectures. L'auteur nous dresse le portrait d'une ville qui a imprégné certaines oeuvres, artistes, retrouvant l'ambiance d'un roman, d'un décor avec ses propres sensations ou souvenirs de lecture, nous fournissant à l'occasion des envies de lecture, de découvertes (comme si notre liste n'était pas déjà longue).

Il s'attache à nous imprégner du fait que New-York comporte cinq quartiers comme cinq territoires qui ont évolué au fil du temps : Manhattan, Brooklyn, le Queens, Staten Island et le Bronx mais aussi trois ponts enjambant deux fleuves, comme trois passerelles entre les différents mondes, des immeubles vertigineux et ceux disparus laissant comme des cicatrices dans le paysage et un quadrillage qui permet de ne jamais se perdre et de situer à tout instant le nord (ce serait très utile pour moi).

Il agrémente son récit de quelques dessins que j'ai trouvé très utiles pour contextualiser les lieux, des anecdotes sur de ses précédents voyages, les changements opérés depuis et parfois teintées d'un peu de nostalgie sur le temps qui passe, sur les traces laissées ou évoquées par ses occupants célèbres. J'ai retrouvé les ambiance à la Hooper dans cette ville qui ne dort jamais mais où la solitude peut être grande, où certaines figures anonymes croisées permettent de découvrir aussi un autre visage, son vrai visage le tout avec son écriture très douce avec à la fois de l'enthousiasme, de la poésie et une pointe de mélancolie.

Je ne suis jamais allée à New-York (j'ai de toutes façons un problème avec l'avion) et je n'irai sûrement jamais mais que j'ai aimé cette balade avec un auteur que j'ai découvert et aimé grâce à Les Huit montagnes parce que j'y ai retrouvé les écrivains que j'aime, j'ai pris des notes, ressorti des ouvrages de ma bibliothèque parfois oubliés ou jamais lus parce qu'il m'a poussée à y retrouver les traces de la ville dans leurs romans ou nouvelles et parce qu'il l'a fait avec simplicité et sincérité.

Alors oui, j'ai vu New-York, New-York USA et j'ai beaucoup aimé le voir à travers ses yeux et sa plume et même si comme moi vous n'y êtes jamais allé, je vous le recommande car il réussit à nous immerger dans la ville sans quitter notre salon et par les temps qui courent c'est une prouesse.
Lien : https://mumudanslebocage.wor..
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La clé du toman nous est livrée dans les dernières pages.
« On est un vrai New-Yorkais quand ce qui était là avant devient plus réel et palpable que ce qui est là maintenant. »
Après dix années passées dans la Grosse Pomme, l'auteur fait sienne cette citation de Colson Whitehead (Le Colosse de New-York, une ville en treize parties).
Il nous livre un carnet de voyage épuré de ses ratés et de ses ratures, mais rempli de ses questions, d'amorces de réponses de croquis hyperléchés et de citations rassurantes à propos de la ville fantasme des USA. Celle que nous rêvons de trouver après en avoir rêvée chacun à notre manière, souvent sur les mêmes livres, les mêmes chansons, les mêmes films ou pas.
Tel est l'intérêt de ce carnet de voyage, il nous révèle notre propre vision de New-York en nous exposant celle de Cognetti. Un observateur méticuleux, un super dessinateur et un conteur hypnotique.
Il nous rappelle que New-York est la ville d'un nouveau monde, une nouvelle ville et une ville nouvelle, qu'elle a connu une expansion sans précédent et qu'elle a été une machine à recycler les migrants européens et les migrants du monde entier.
Douze millions d'européens ont transités par la ville en quelques trente années !
« Teutons mafflus aux cheveux coupés ras, des Russes barbus, des Juifs à papillotes et, parmi eux, des paysans slovaques au visage placide, des Arméniens glabres et basanés, des Grecs boutonneux et des Danois aux paupières ridées. » (Henry Roth, L'Or de la terre promise)
Comment me direz-vous des migrants du vieux monde ont-ils pu construire cette ville nouvelle et bâtir ce fantasme vivant dans lequel tout est possible, ou du moins en théorie, dans lequel les cultures et les traditions du monde entier se perpétuent dans des quartiers aux noms évocateurs comme Little Italy ou encore Chinatown.
« Vieux pays, gardez vos fastes d'antan » est-il gravé sur le piédestal de la statue de la Liberté. (dernier vers d'un sonnet d'Emma Lazarus)
Ces mêmes migrants dont les enfants vont vivre le 9/11 avec cette force qui a fait l'admiration du monde entier.
Les références de Cognetti sont les vôtres, sont les nôtres : Last exit pour Brooklyn de Selby, Manhattan Transfer de Dos Pasos, mais aussi Moby Dick de Melville ou surtout Feuilles d'herbe de Walt Whitman, Gatsby le Magnifique de Fitzgerald, Petit Déjeuner chez Tiffany de Capote et encore d'autres moins connus que l'on a soudain envie de connaître.
On croise aussi Lou Reed “Take à walk on the wild side, and the coloured girls go tu tu tu” et Bob Dylan, ce dernier ayant écrit à ses débuts le blues parlé Talkin' New York « A lot of people don't have much food on their table
But they got a lot of forks 'n' knives
And they gotta cut somethin'”
Le propos du carnet de voyage est simple, vous arrivez à New-York avec des images et des rêves et vous découvrez une ville qui vous en donne pour beaucoup plus que vous ne l'imaginiez. Sauf, si bien entendu le rêve vire au cauchemar, mais là, vous exagérez un peu ou vous le faites exprès !
N'oublions pas que New-York a servi de modèle à Gotham City !
Vous vous attendez à voir Harvey Keitel sortir de son bureau de tabac, le Brooklyn Cigar Company mais c'est Mister Bubbles qui vous interpelle et quémande votre mégot avant que vous ne le jetiez à terre.
« Je suis dans un taxi bloqué dans le trafic
Je souris à l'homme tout sourires, il opine du chef courtoisement, nous reconnaissons en nous quelque chose de New-York » (Grace Paley, Fidelity : poems, New-York)
Ah ! le magnifique voyage que nous propose Cognetti ; il aime autant la ville que la montagne.

Lien : https://camalonga.wordpress...
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C𠆞st de cette fenêtre que je les ai vues s�ondrer un certain matin de septembre. Fortes rafales, venant de la mer, soleil éclatant, ciel bleu limpide. L�ondrement des tours hantait les New yorkais quand ils te montraient la vue de Manhattan. C’était identique à ce matin-là. Tous ceux mettaient à raconter ou ils étaient, ce qu’ils avaient fait. Avant, l’âge de l’innocence. Ton lot c𠆞tait l𠆚près. Tu la connaissais mieux que ta ville ntale. Toi aussi tu avais intégré ce tourbillon de passants et de générations. Mieux vaut raconter ses ponts, ses iles, ses automnes, ces clochards qui récitait des poèmes à la sortie des bars de harlem. Ses vers allaient rejoindre les bulles transparentes. Cette façon de réciter de la poésie te paraissait la plus pure qu’il puisse exister. Granville Pauline et sa plage Romer. La vie est dure pour mister Bulbe. Manhattan et Manhattan le film d’ un jazzman endiablé. Que le grand pic de l𠆞mpire State Bulding le bâtiment vide n𠆚 pas été conçu pour faire joli, mais pour arrimer les dirigeables. J’y suis monté ainsi qu au restaurant du twin tower la 1ère tour peut être ( help). La main avec laquelle les rêveurs tentent d𠆞mpoigner le ciel. Je n𠆚i jamais été à Brooklyn. La chaleur, la moiteur. le corbeau the Raven mes souvenir de la bibliothèque de Cherbourg. Gotham. City Batman. Feuilles d’herbe. Un peu historique,, mais j𠆚ime. 15 a 20 mille la semaine. Venise et New York the catch of the Rye Cathy. Je ne me rappelle pas. La cite où l�u partout étincelle. Hawthorne Salem la lettre écarlate cap code. Moby Dick et sa baleine Mellville. L’ode à Lincoln’ je vois pas qui pourrait écrire l’ode à Trump. Mon capitaine, c𠆞n est fini du terrible voyage, mon capitaine. Longue barbe blanche. Bartleby. Chez Georges Talence. Je préférai ne pas. Je repense ou je me mélange avec Poe. le courage de prendre à froid une douche. Les esquiveurs de tram. Les Dodgers. Base ball. le pont de Brooklyn. 2 tours de 90m de hauteur et des centaines de câbles qui les relient. Sur le bac de Brooklyn. W W. Potagers sur le toit des immeubles.
Les ponts du Peter stuyvesant. Mafflus teutons.. vieux pays garde vos fastes d’hier. Emma Lazarus. Sur le bac de Brooklyn de w w. La ou on regarde, il y a ce que nous sommes. Samson n𠆞st plus.
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Je suis arrivée aux Carnets de New-York de Paolo Cognetti par tâtonnement. Dans le moteur de recherche du réseau des médiathèques, j'ai tapé New-York. J'ai déniché cette publication parmi presque 2500 occurrences. C'est un guide littéraire. Chaque chapitre s'ouvre sur un dessin d'une section de la ville. A New-York, le ciel est spécial. Il est un ami intime qui habille la ville américaine d'une lumière qui se fait parfois ténébreuse. Les pérégrinations de Paolo Cognetti est le prétexte à la découverte de sa géographie, de son architecture, de sa population au multiple langues. C'est une ville d'immigration. Elle a été la porte d'entrée des Etats-Unis pour les européens en quête d'une vie meilleure, en fuite devant la folie des hommes. On s'y déplace sur la terre mais aussi sous la terre, dans son métro qui relie le centre, ses quartiers et sa périphérie. le vent souffle, parfois cinglant. L'auteur évoque naturellement les évènements du 11 septembre 2001. Ils sont comme une fracture dans un corps. C'est une rupture, un traumatisme.
Paolo Cognetti aime New-York ce qui est assez singulier lui qui s'est passionné pour la montagne. Sa voix est intime et amoureuse, parfois bruyante.
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critiques presse (2)
Lexpress
30 novembre 2020
Carnets de New York, savoureuse déambulation dans les quartiers et la mémoire de la Grosse Pomme par un adepte italien des hautes cimes.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LeFigaro
24 septembre 2020
L’écrivain italien connaît la mégalopole comme sa poche. Au fil de ses promenades, il guide le lecteur dans les pas des plus grands auteurs américains.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Le port de Brooklyn n'est pas étranger à ma vocation d'écrivain. J'avais dix-sept ans et vouais depuis peu une passion aux Américains maudits : j'avais commencé par Ginsberg et Kerouac, étais passé par Fante, Bukowski, Carver, était remonté jusqu'à Hemingway et Fitzgerald, en procédant par filiations, découvertes et tâtonnement comme le font les lecteurs autodidactes.
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Le quartier* était déjà un repaire d’artistes et de subversifs quand Jack Kerouac et Allen Ginsberg s’y rencontrèrent, en 1944 : l’un, venu de sa province quelques années plus tôt, ancien joueur de football américain, mécanicien, pompiste, cuisinier sur un navire de commerce, réformé à l’armée pour des problèmes psychiatriques, l’autre, fils d’un professeur juif émérite du New Jersey, tous deux étudiants à l’université de Columbia à leurs heures perdues, aspirants poètes et passionnés de jazz. Ils ne tardèrent pas à se trouver d’autres compagnons d’aventures, parmi lesquels un maître sulfureux, William Burroughs, l’héritier scélérat d’une dynastie d’industriels de Saint-Louis, explorateur de substances et de pratiques sexuelles ; un Italo-Américain dénommé Gregory Corso, tout juste sorti de prison, lui qui avait grandi ici même, entre la maison de correction et la rue ; et un vagabond dont ils allaient tous s’éprendre, Neal Cassady, le voleur de voitures et coureur de jupons, carrément né dans une voiture, d’après ce qu’il disait, et qui avait grandi du côté de Denver avec un père alcoolique et sans mère. Tous attirés par New York comme des papillons de nuit parce qu’ils voulaient vivre libres et écrire comme jamais on n’avait'écrit,.....

*Greenwich Village
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Il y a longtemps que j'ai compris qu'à New York, l'authenticité se déplace vite, elle échappe à celui qui lui court après comme le hors-la-loi le plus recherché, elle choisit des endroits improbables pour se manifester, et quand cela vient à se savoir, que tout le monde accourt pour l'admirer, elle n'est déjà plus là.
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La New-York Public Library, immense temple de la lecture, peut-être la seule véritable cathédrale d'ne ville qui respecte toute les religions mais n'en embrasse aucune. (p114)
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New-York, tu la prends comme elle est mais tu la fais également tienne à ton arrivée : elle était différente avant, aussitôt après elle changera encore, et tout ce que tu écris sur elle vieillit immédiatement, l'encre n'a pas eu le temps de sécher que c'est déjà daté. C'est un instantané de quand tu y étais, ni plus ni moins. (p149)
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« Les huit montagnes », de Paolo Cognetti, c'est à lire au Livre de poche.
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