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EAN : 9782070143047
224 pages
Gallimard (10/10/2013)
3.37/5   19 notes
Résumé :
Chaque année, à l'automne, un salon du célèbre restaurant Drouant se transforme en une véritable chambre d'écho de la vie littéraire française lors de l'attribution du prix Goncourt. Précédé de rumeurs, entouré de secrets, suscitant immanquablement convoitises et polémiques, le Goncourt est un de ces rendez-vous dont les Français ne sauraient se passer. À l'occasion d une série d émissions radiophoniques pour France Culture, Pierre Assouline a mené l'enquête.
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Que lire après Du côté de chez Drouant : Cent dix ans de vie littéraire chez les GoncourtVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Quel feu d'artifice ! Quand l'élégance épouse l'érudition, et l'humour se joint à l'urbanité, l'on écrit, d'une plume légère, virevoltante, un petit joyau dont chaque face éclaire la littérature du vingtième siècle de cette joyeuse lumière qui révèle sans éblouir, caressant chaque livre de sa bienveillante attention.

Pierre Assouline ne plaide ni l'infaillibilité du Goncourt, ni son élévation au-dessus des tentations. Il s'agit d'hommes et de ( trop peu) de femmes, eux-même auteurs confirmés, des passionnés qui se battent au nom de leurs convictions. Ils subissent toutes sortes de pressions, y sont plus ou moins sensibles, se chamaillent, se réconcilient, sont rarement applaudis, souvent critiqués par ceux qui n'en sont pas, se tolèrent, démissionnent, élisent des successeurs...et déjeunent ensemble tous les mois. Quelle famille !

Quelle famille que celle des "Goncourt", donc, et quel héritage à assumer pour un jeune membre du jury ! Mais surtout, quelle consécration pour l'auteur qui se voit décerner ce prix, joker qui garantit pratiquement des ventes en excès des cent mille exemplaires, pouvant aller jusqu'au million et au-delà. Certains l'ont reçu très jeune, presque trop, et ne s'en sont pas remis. D'autres l'ont attendu trop longtemps, ont toujours et encore été inclus dans la liste, pour en être encore et toujours éliminés, en attendant leur revanche après quatre, cinq ou dix ans. Et puis, il y a tous ceux qui ont frissonné, mais qui ne l'ont jamais eu. Assister au repas n'est pas manger ...

L'histoire est traversée aussi par ceux qui, justement, ont voulu être du jury, et qui n'en ont pas été. Ou alors qui en ont été, mais pas pour longtemps ... imaginez Napoléon, sur l'île d'Elbe, avec neuf autres Corses illustres ! Allez hop! ... Par le prochain bateau ! Et puis, les scènes de ménage: ceux qui ne veulent pas être à table avec tel autre. Qui ne veulent même pas être sous le même toit. Les votes par correspondance. Les promesses solennelles. Les votes qui se succèdent. Les revirements. Même, parfois, un espion que l'on découvre dans un placard, ou des micros cachés !

C'est toute cette histoire truculente, savoureuse, épicée à souhait, que vous dégusterez en parcourant ce livre. Une histoire littéraire en vignettes annuelles, oui, mais surtout l'histoire d'un amour. Celui des Lettres.
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Qu'apporte ce livre conçu après une série d'émissions qui furent diffusées en 2013 sur France Culture?

Le style utilisé est destiné au micro et provoque une lecture moins agréable.

Une petite société de dix membres, reflet de la société avec ses inimitiés, ses favoris, ses querelles, ses manipulations se raconte avec des anecdotes depuis la création en 1903 jusqu'en 2010 (avant l'entrée de Pierre Assouline en 2011 - tenu alors à la discrétion).

Défile chaque auteur primé depuis le début, certains demeurent, d'autres sont tombés dans les limbes, d'autres encore ont reçu la récompense et mis ainsi plus ou moins d'accord les oppositions des jurés.
Certains ne s'en remirent jamais ou demeurèrent l'écrivain d'un seul livre.

Les pressions existantes, les rivalités éditeurs et/ou auteurs (même certains, parmi les plus célèbres, n'en sortent pas grandis) pleuvent à l'envi. (Une exception admirable : l'éditeur des Éditions de Minuit).

La presse qui tournicote et éparpille rumeurs et coups d'éclat au grand dam de certains mais alimente ainsi la vente assurée du livre.

Petites provocations et « gamineries », faits plus choquants, propos fielleux, bref … rien d'étonnant, une société dans la société.
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L'Académie Française a ses fauteuils, l'Académie Goncourt ses couverts. Au nombre de 10, ils ont trouvé domicile fixe chez Drouant depuis 1914, onze ans après la création de l'association selon les dernières volontés d'Edmond de Goncourt. Coopté en 2012, Pierre Assouline est locataire du dixième couvert où il a succédé à Françoise Mallet-Joris l'une des encore trop rares femmes admises (ou même primées) dans ce temple de la littérature. Avec ce livre, il revisite "Cent dix ans de vie littéraire chez les Goncourt" qui sont autant de rivalités, luttes de pouvoir ou d'égo, manigances et discussions passionnées.

Mais que serait la vie littéraire sans le prix Goncourt ? Aussi décrié que convoité, il est l'objet de toutes les attentions y compris de la part de ceux qui font tout pour faire croire qu'ils ne s'y intéressent pas. Politique pour les uns, marketing pour les autres... Une seule chose néanmoins rassemble tout le monde : le tirage assuré et les bénéfices associés. Pas sûr qu'Edmond de Goncourt ait imaginé tout ce bruit autour du prix en couchant ses directives sur le papier pour la postérité : "... que ce prix soit donné à la jeunesse, à l'originalité du talent, aux tentatives nouvelles et hardies de la pensée et de la forme."
En passant en revue chacune des 110 éditions du prix depuis sa création, Pierre Assouline pointe avec une certaine tendresse et une belle ironie, les passions et les contradictions qui jalonnent les parcours des jurés, des auteurs et bien sûr des éditeurs. Ce qui permet de s'apercevoir que parmi les 110 lauréats, assez peu sont restés dans les mémoires même si leur moment de gloire fut bien réel. Beaucoup de carrières ont été écrasées par ce prix avant même d'avoir débuté. Amusant parallèle qu'ose l'auteur avec les exploits sportifs qui semblent rester dans les mémoires des passionnés tandis que les lauréats de prix littéraires ne font qu'occuper l'espace un court instant. Comment ne pas sourire également en découvrant qu'il faut attendre 2008 (plus de cent ans donc) pour que les statuts de l'association interdisent à un membre du jury d'exercer une fonction de conseil éditorial...

Ces déjeuners du mardi chez Drouant ont fait l'objet de tous les fantasmes, on a même tenté d'en espionner les conversations en cachant des micros dans les placards ou devant les fenêtres mais d'après Pierre Assouline, rien de bien révolutionnaire que ces réunions de gens de lettres parlant "boutique" entre deux plats.

C'est une promenade bien savoureuse à laquelle nous invite l'auteur, riche d'anecdotes et d'enseignements sur la vie littéraire et plus particulièrement la rentrée littéraire. Celle là même dont le coup d'envoi est prévu dans quelques jours (le 21 août) et avec elle les premières listes de goncourables (oui, le mot est entré dans le Petit Robert cette année), lancées par les journalistes alimentés tout l'été par les plans de communication des éditeurs. "Faut-il faire ou refléter l'opinion ?" voilà la question posée, selon l'auteur, aussi bien aux journalistes qu'aux jurés de chez Drouant. Et elle risque de continuer longtemps à animer les débats, quelles que soient les tables autour desquelles les discussions auront lieu.

Une lecture qui dédramatise un peu tout ça et redonne une apparence plus ludique à toutes ces opérations ; un jeu qui n'ôte rien au plaisir de découvrir chaque année les piles de nouveautés sur les tables des libraires, ni à celui de lire les résultats de l'encre qu'elles font couler... Vive la rentrée littéraire !
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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J'adorerais assister à une délibération du jury Goncourt. C'est un rêve impossible mais pas tout à fait désormais puisque j'ai l'impression d'y être entrée grâce à la petite porte entrouverte par l'un des jurés, le plus généreux en la circonstance, Pierre Assouline.
J'ai trouvé son livre très intéressant. Il raconte année par année les coulisses de chaque élection, de la première en 1903, ( prix à John-Antoine Nau) à celle de 2012 (prix à Jérôme Ferrari). L'auteur est lui même juré à présent, au dixième couvert.
S' alimentant dans la presse de chaque époque, ainsi que dans les journaux des auteurs et les archives de l'Académie, il m'a donné envie de lire tous ces anciens livres dont je n'ai fait qu'entendre parler, jamais lus encore, même si j'en ai quelques-uns dans ma Pal. Je retiendrai bien des anecdotes qui m'ont fait sourire.

1919 La rivalité entre Roland Dorgelès, 34 ans, engagé volontaire, cinquante mois de campagne : un curriculum idéal. Son livre «Les croix de bois» a connu un succès immédiat et Marcel Proust pour A l'ombre des jeunes filles en fleurs qui déclenche les sarcasmes de la presse de gauche contre un auteur mondain et ennuyeux. (…) La postérité aurait encore moins absous les autres goncourables de 1919, t'Serstevens, Èdouard Schneider, Alexandre Arnoux, Francis Carco,Caument et Cé, Asès, et Josipovici, Tisserand, Pierre Grasset, Grandvilliers, Léon Werth, Jean Giraudoux d'avoir volé son Goncourt à Marcel proust qui n'avait plus que trois ans à vivre.

1924 On parle de Maurice Genevoix, d'Henry de Montherlant,de Philippe Soupault, d'Emmanuel Bove, de Joseph Delteil, mais c'est Thierry Sandre qui l'emporte avec «Le chèvrefeuille». Oh misère, quand on songe et quand on sait, avec le lâche privilège du recul, bien sûr, que c'est le seul du lot dont il ne restera rien.

1944 On parle beaucoup des Amitiés particulières de Roger Peyrefitte. Mais le Goncourt de la Libération ne peut décemment échapper à l'air du temps. Elsa Triolet est la première femme à le remporter. le premier accroc coûte deux cents francs n'est pas un roman mais un recueil de nouvelles (…) «Les Goncourt ont fait coup triple : la dame Triolet est russe, juive et communiste. C'est un prix cousu de fil rouge.» écrit alors Pierre Léautaud.

1945 le Monde annonce l'élection de Colette et la mort d'Hitler mais c'est Jean_Louis Bory, 26 ans, jeune professeur du lycée Henri IV qui l'emporte pour «Mon village à l'heure allemande»

Un livre très plaisant.
Lien : http://liratouva2.blogspot.f..
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Il est assez étonnant de pouvoir glisser à travers l'histoire du prix Goncourt, et surtout, de l'histoire de la littérature au XXème siècle. Amusant de constater que les intrigues entre éditeurs, et conflits entre auteurs animent la vie de l'Académie Goncourt presque autant que l'histoire d'un roman.
Evidemment dans un ouvrage qui retrace année par année les prix et débats concernant leur destinataires, il est malaisé de conserver un rythme égal, et conséquemment, de stimuler l'intérêt du lecteur de façon continue.
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critiques presse (2)
Lexpress
05 novembre 2013
Son propos ? Narrer, année après année, depuis le 21 décembre 1903, l'élection de 110 lauréats du prix Goncourt, alternant les courtes entrées (millésimes sans relief ou/et sans escarmouche) et les longs récits, savoureux à souhait.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Culturebox
15 octobre 2013
En 2014, cela fera un siècle que le Goncourt sacre chez Drouant le lauréat du plus convoité des prix littéraires, au fil d'une histoire riche en coups de théâtre et coups de tête racontée par Pierre Assouline dans un livre passionnant.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
L'Académie Goncourt, Louis Aragon veut en être. Eu égard à son oeuvre et à son prestige, son élection paraît acquise. Mais cela ne lui suffit pas. Il pose une condition : l'unanimité ou rien. D'ailleurs, il appelle chacun des jurés pour les prévenir: si tu ne me donnes pas ta voix, je me retire. Nul n'ose l'affronter... Ce sera donc une élection de maréchal.
Dés les premiers mois, le causeur éblouit et rafle la mise tant il est brillant. Éclipsés, les autres écoutent ou fulminent. Sa domination ne tarde pas à agacer alors qu'il n'est là que depuis moins d'un an.
(...)
Aragon peut pleinement faire aboutir sa campagne en faveur du roman de Francois Nourissier "Le Maître de Maison" qui rencontre déjà un joli succès. Ce qui est paradoxal car il a tout du roman bourgeois...mais l'amitié a des raisons que la raison ne connaît pas. Plusieurs l'ont mauvaise. D'autant qu'il a été vraiment à la manoeuvre en coulisses.... Il faut dire que sa manigance, assez maladroite, suscite méfiance et repliement autour de la table. Impérieux, il le supporte d'autant moins qu'il n'a pas l'habitude de voir son autorité contestée... "Si vous ne me suivez pas, je démissionne" menace Aragon. Périllieux, ce genre de chantage. On risque de ne pas être retenu par la manche...Le 18 novembre, Aragon écrit au secrétaire général pour dire sa colère...il lui fait également part de sa démission après la proclamation du lauréat quel qu'il soit car il ne veut pas être associé à " la sorte de cannibalisme qui règne entre certains de nos collègues." Il sera resté moins d'un an.

(pp.110-112-113)
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1947 : Une fois n'est pas coutume, les Goncourt font un détour par l'étude de leur notaire avant d'aller déjeuner. C'est pour l'affaire Guitry. Le dramaturge ayant bénéficié d'un non-lieu du jury d'épuration, il est disculpé et donc réintégrable de droit dans la compagnie qui l'avait marginalisé, sinon suspendu, dans le doute. Mais Guitry ne l'entend pas de cette oreille. Il préfère déjeuner au même moment juste en face avec René Benjamin, à la Fontaine-Gaillon. Considérés comme morts depuis trois ans en raison de leurs ennuis avec les tribunaux de l'épuration, bien qu'ils aient été blanchis, Guitry et Benjamin lancent un "Goncourt hors Goncourt", par eux généreusement décerné à Kléber Haedens pour "Salut au Kentucky", lequel portera donc la bande " Prix Jules de Goncourt" et même une bande rouge avec "Le Prix Goncourt" en gros caractères, et en plus petit " de Sacha Guitry et René Benjamin" . Les Dix leur font un procès, ainsi qu'à leur éditeur Robert Laffont. Ils sont condamnés à 700.000 francs de dommages et intérêts pour contrefaçon, peine confirmée en appel.

Quelques mois plus tard, René Benjamin meurt. Guitry démissionne et modifie son testament : les Goncourt voient passer sous leur nez une donation magnifique. Tant pis !

(pp.69-70)
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Jean Paulhan, l'éminence grise de Gallimard, écrit le 8 août à André Billy : "Mon cher ami, après tout, si je suis entré dans les Lettres vous en êtes responsable. Et à qui d'autre qu'à vous pourrais-je demander ce conseil, j'aimerais bien devenir votre collègue à l'académie Goncourt. Si c'est là un souhait absurde ou irréalisable, dites-le-moi carrément je vous prie...Jean Paulhan."
Et un mois après, le même au même : "Cher ami, mettons que je ne vous ai rien dit. Après tout les objections de vos collègues ne sont pas sans fondement : l'âge, l'appartenance à la NRF et le reste. Je retire ma candidature à l'académie Goncourt. N'en parlons plus...mais merci pour votre invitation à Barbizon...Jean Paulhan. "
Raymond Queneau, son collègue de bureau chez Gallimard, aura été le plus farouche opposant à cette candidature.Et bien entendu, par la suite, Paulhan niera avoir jamais songé à intégrer ce cénacle.D'ailleurs il finira à l'Académie française.

(pp.96-97)
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Six jurés sur dix sont alors publiés par cette même maison. De quoi alimenter les potins de la commère. Un journaliste d'Aux Écoutes s'étant vanté d'avoir caché un magnétophone dans le salon des Goncourt au premier étage, on l'y a cherché, en vain. Peu avant la fin des délibérations, Philippe Hériat, ayant eu un pressentiment, se dirige vers le placard et l'ouvre. Du haut de sa puissante stature, il attrape le petit Alain Ayache par le col et le traîne devant la compagnie: " voilà l'espion, je vous le livre !" Il est vrai qu'il tient une liasse de notes en main,ainsi qu'un magnétophone et un récepteur le reliant au micro par lui installé dans le lustre...Le reporter indiscret avoue s'être introduit en faisant sauter les plombs du restaurant et en profitant de la panique.

(p.97-98)
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Dans un récit autobiographique intitulé "Le Prix d'un Goncourt" (1987), il décrira par le menu tous les malheurs qu'ont entraînés la plus prestigieuse dse récompenses littéraires et le succès de son roman vendu à près de deux millions d'exemplaires. Ce qui, par parenthèse, sauve son éditeur Jean-Jacques Pauvert de la faillité, du moins cette fois. Cela dit, on ne saura jamais, et pour cause, si le poids du prix accablant un auteur débutant le stérilise véritablement car on ignorera toujours s'il avait autre chose à écrire d'aussi fort. Jean-Louis Bory, qui connut une semblable épreuve longtemps avant Jean Carrière, l'a reconnu : " Ce n'est pas le tout d'avoir le prix Goncourt, le tout c'est de se le faire pardonner, et je vous assure que c'est assez coton."

(p.124)
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Vidéo de Pierre Assouline
Une rencontre avec L Ecole Biblique de Jérusalem au présent et au futur
- Accueil par Alain Rémy, président de l'Association des Amis de l'École - Introduction par le nouveau directeur de l'Ecole, fr. Olivier Poquillon suivie d'une conférence à trois voix par des enseignants-chercheurs de l'École, « Les Écritures à l'École biblique et archéologique française de Jérusalem en 2023 » : les Écritures au pays de la lettre même (fr. ukasz Popko), au pays d'un renouveau juif polymorphe (fr. Olivier Catel), au pays d'une réception interconfessionnelle et interculturelle (fr. Olivier-Thomas Venard ).
- Échanges avec le public
- Capsules - « La Bible en ses Traditions aux Bernardins », témoignage sur l'usage de la base de données par le P. Jacques Ollier, enseignant-chercheur au Collège des Bernardins. - À la découverte de Bibleart, application culturelle de la Bible en ses Traditions, avec l'équipe de Prixm
- Pause : possibilité de visiter le stand de l'Association des Amis pour y découvrir ses activités, les propositions de l'École et ses dernières publications ainsi que le stand École biblique des éditions Peeters.
- Table Ronde "Sous l'invocation de saint Jérôme : traduire les Écritures en 2023, entre Jérusalem et Paris". Échange entre Pierre Assouline, de l'Académie Goncourt, pour la littérature, le professeur Olivier Munnich (professeur émérite à l'Université Paris – Sorbonne) pour la philologie et l'histoire et Olivier-Thomas Venard pour l'exégèse et la théologie.
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