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Michel Arnaud (Traducteur)
EAN : 9782070299263
Gallimard (21/04/1978)
3.85/5   162 notes
Résumé :
À lire certaines pages du Bel Été, les premiers films de Fellini reviennent en mémoire: fins de nuits blêmes, dialogues décousus, visages creusés par une lumière d'aube. Mais les rires s'éteignent vite chez Pavese. En ville comme à la campagne, on étouffe, on cherche vainement son bonheur, sa délivrance au contact des autres, on parle comme on grifferait la pierre des immeubles ou la terre des collines, ces ombres noires, froides et muettes. Jeunes, par petits group... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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Ce que je croyais être un roman de près de 500 pages, intitulé "Le bel été" comme le mentionne le titre du livre et la 4ème de couverture, n'est en fait pas un roman (dont le premier est bel et bien intitulé "Le bel été") mais trois romans. J'ai donc été surprise àla fin du premier roman de voir un autre titre apparaître et cela a donc donné un autre point vue à l'histoire que je venais de lire puisque la fin avait sonné alors que j'en attendais la suite avec de l'action ou des événements à venir.

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Nous sommes en Italie et la première histoire raconte la vie de Ginia, jeune fille de 16/17 ans, qui vit seule avec Severino son frère. Elle va se mettre à fréquenter Amelia, plus âgée qu'elle, qui lui fera découvrir sa vie de modèle pour peintres ainsi que ses amis Guido et Rodrigues qui mènent une vie de bohème et qui peignent.Ginia veut grandir, devenir une femme mais son jeune âge et sa pudeur vont être mis à mal pardes jeunes gens plus matures qu'elle et qui envisagent les relations de façon moins candides qu'elle.

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Dans le deuxième roman l'auteur narre la vie de trois étudiants (en médecine et en droit) que sont Pieretto, Oreste et le narrateur. A l'instar des personnages du premier roman qui passaient leur vie à errer la nuit, à aller dans des bars, à mener une vie de patachon, ces trois étudiants sont du même acabit jusqu'au jour où ils font la connaissance de Poli, qui lui est fortuné. Suite à un accident et à la convalescence de Poli, les trois jeunes gens vont aller chez Oreste, dans un village de la campagne italienne, éloigné de Turin. le narrateur et Pieretto vont faire la connaissance de la famille d'Oreste, famille de paysans italiens. de temps en temps, ils s'octroient des moments d'escapade chez Poli et son épouse Gabriella dont ils ignoraient jusqu'à présent l'existence.
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Le troisième roman nous emmène à Turin où l'on va faire la connaissance de Clélia, la narratrice, qui est couturière. Originaire de Rome, elle se rend à Turin afin de superviser l'ouverture d'une boutique de confection. Là encore, comme dans les deux premiers récits, il est question de rencontres, de connaissances, de beaucoup de sorties et d'une certaine manière d'une vie de bohème où chacun, chacune, boit, sort danser, se balade en voiture le nez au vent, s'essaye au théâtre, avec toutefois en trame de fond la tentative de suicide de Rosetta, une jeune femme du groupe.

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Mon avis :

Après le premier roman j'ai été très déçue. Je trouvais cela plat ; une histoire sans but, qui ne cherchait pas à révéler grand-chose, à poser des questions. J'avais l'impression d'avoir lu le début d'un roman mais ni son déroulement ni sa fin. le second m'a d'avantage enchantée car je me suis très bien imaginée dans la campagne italienne, vivant de bons vins, de bonne nourriture, allant me tremper les pieds dans les rivières dès que la chaleur devenait insupportable. le troisième m'a ramenée vers la ville, avec une jeune fille tourmentée et je n'ai pas trop apprécié cette lecture où les personnages ont l'air d'abeilles qui butinent, tergiversent, se croisent sans cesse et ont des amitiés et des amours très fluctuentes.
Des points communs aux trois : le mal-être de certains personnages, la vie de bohème à un moment donné de sa vie, les amours des uns et des autres.
Très partagée d'autant plus que j'ai aimé le style de l'auteur et que la lecture reste très agréable mais j'ai trouvé que les histoires restaient superficielles et le contenu des romans me semblait être trop anecdotique.
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Je ne connaissais Pavese que de réputation, sans avoir la moindre idée des thèmes de ses livres. J'ai tenté l'aventure avec ce livre trouvé sur une brocante, sans résumé, sans quatrième de couverture ; difficile d'avoir moins d'a priori ! le « roman » s'est d'ailleurs transformé à ma grande surprise en recueil de trois nouvelles au tiers de la lecture.

L'auteur y décrit les bouleversements dans la société italienne du milieu du siècle dernier, et notamment sur le changement important de la place des femmes. Ses personnages sont tiraillés entre ces deux mondes, tradition et modernité : dans le premier récit, une jeune fille découvre le monde de la sexualité avec des amis bien plus, voire bien trop délurés pour elle ; dans le second, des jeunes issus de la campagne se retrouvent confrontés à leurs homologues de la ville, leurs fêtes et leurs goûts pour la cocaïne et l'alcool ; et le dernier met en scène une femme qui a créé sa propre entreprise, et passe son temps à se justifier, qu'on le lui demande ou non, sur ses choix de vie.

J'ai eu assez de mal à me sentir concerné par ces nouvelles. Déjà, je n'ai pas trouvé d'indications claires sur l'époque que nous conte l'auteur : avant, après guerre ? Et ensuite, je ne connais pas suffisamment cette époque pour savoir quand Pavese appuyait là où ça fait mal : j'imagine par exemple que l'évocation des amours entre femmes devait secouer plus d'un coeur dans les familles de gens biens, mais comme il ne décrit que les sentiments de ses héros, et pas les éventuels jugements ou condamnations du reste de la population, on reste dans le flou sur tous ces sujets. Et à force d'évoluer dans un monde dont on ne connaît pas vraiment les règles, on se désintéresse rapidement de ses protagonistes.
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C'est l'histoire du passage fugace de l'enfance à l'adolescence. L'histoire d'une jeune orpheline de dix-huit ans, vivant seule avec son frère, qui se débat avec le sentiment de liberté qui semble accompagner la vie d'adulte et qui lutte contre ses craintes adolescentes. Sa timidité, son innocence, son ingénuité et sa peur immense d'être seule.
Terrifiée par l'idée d'être laissée de côté, attirée par les attitudes posées de ses amis adultes, Ginia ferme les yeux sur ses craintes et se force à embrasser la vie de bohème d'un cercle d'artistes, au coeur des nuits romaines d'un été trop chaud.
Elle va suivre à corps perdu son amie Amelia dont elle jalouse l'assurance, pour succomber au charme ténébreux d'un peintre égoïste. Ginia trouve enfin ce qu'elle cherchait, un véritable bel été, chaud et léger, insouciant et intense, qui lui offre une vie d'ascenseurs émotionnels, des battements de coeurs, de cris et des larmes, la vie de liberté et d'émancipation dont rêvait la petite couturière orpheline…
Un bel été, une chaleur enivrante, une vie de bohème et une liberté vertigineuse vont faire basculer Ginia vers le désenchantement abrupte et concret de la vie d'adulte, car l'été ne dure jamais.
A la lueur du jour, les artistes apparaissent égoïstes et vaniteux, l'amour semble n'avoir jamais existé chez Guido et Ginia, petite couturière tout juste adulte, retourne préparer les pâtes de son frère en regrettant l'insouciance de ses seize ans, l'innocence de son enfance, les rêves d'avant l'été… jusqu'au prochain printemps.
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Cesare Pavese, né en 1908 à Santo Stefano Belbo et mort en 1950 à Turin, est un écrivain et poète italien. Après avoir étudié la littérature anglaise à Turin et écrit une thèse sur le poète américain Walt Whitman en 1930, il traduit en italien des oeuvres d'Herman Melville, John Dos Passos, William Faulkner, Daniel Defoe, James Joyce ou encore Charles Dickens. Il s'inscrit de 1932 à 1935 au Parti national fasciste, sous la pression selon lui des membres de sa famille. En conformité avec le régime, il est choisi en 1934 comme directeur de la revue Culture éditée par Einaudi et tribune de ses amis antifascistes, ce qui lui vaut d'être arrêté l'année suivante. Exclu du parti, il est exilé en Calabre pour huit mois. Après la Seconde Guerre mondiale, Cesare Pavese adhère au Parti communiste italien, s'établit finalement à Turin et continue de travailler pour les éditions Einaudi. Il ne cesse d'écrire durant ces années. Pavese se suicide le 27 août 1950 dans une chambre d'hôtel à Turin, laissant sur sa table un dernier texte, La mort viendra et elle aura tes yeux, qui se termine par « Assez de mots. Un acte ! ».
Le Bel été, qui vient d'être réédité chez L'Imaginaire, et justement sous-titré Trois romans, est un recueil de trois textes, le Bel été écrit en 1940, le Diable sur la colline en 1948 et Entre femmes seules en 1949, date de parution de cet ouvrage.
Le Bel été, le premier texte, c'est celui de Ginia une jeune fille de seize ans qui par l'intermédiaire de son amie plus délurée Amélia va faire connaissance avec le milieu des artistes peintres qui cherchent des modèles. La plus jeune perdra son innocence dans les bras de Guido et la seconde se fera soigner pour sa syphilis. Avec le Diable sur la colline, ce sont les garçons qui sont à l'honneur. Trois adolescents vont se lier avec Poli, un jeune homme plus âgé qu'eux, conduisant une voiture, se droguant, connaissant les femmes et d'un milieu plus aisé, il les entraine dans des aventures et des excès dont ils finiront par se lasser. Enfin, Entre femmes seules, c'est une tranche de la vie de Clelia qui revient à Turin dix-sept ans après son départ, pour surveiller les travaux de construction d'une boutique de mode, pour le compte de ses patrons romains. Il y sera question d'époque du carnaval, de jeunes gens voulant monter une pièce et d'un suicide.
Tout ceci est assez bien écrit, dans un style alerte et vif mais, désolé, je me suis légèrement ennuyé avec élégance tout du long. Ca papote beaucoup, ce n'est même que cela, des discussions sans fin et guère intéressantes, comme on en a quand on est jeune. On peut trouver du charme à ces émois et troubles, pudiquement évoqués. Parfois des réminiscences de films italiens en Noir&Blanc des années 50 ou 60 ont allumé quelques lumignons dans ma conscience, une voiture klaxon à deux tons chargée de jeunes hommes cigarette au bec filant sur une route, des jeunes filles bras dessus, bras dessous, bavardant en jetant des regards en coin quand elles croisent des garçons…
« Trois romans urbains, trois romans de découverte de la ville et de la société, trois romans d'enthousiasme juvénile et de passion déçue » en disait son auteur. Certes, certes…
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Turin, un été d'avant-guerre. Ginia, 16 ans, orpheline qui vit seule avec son frère ouvrier de nuit, cherche à se distraire après ses heures à l'atelier de couture où elle travaille. Elle est fascinée par Amelia, 20 ans, qui prétend servir de modèle à des peintres. Elle va se retrouver dans ces studios d'artistes plus ou moins désargentés, et comme un papillon attiré par la flamme, céder à la tentation de s'offrir à Guido, un jeune peintre dont elle est tombée amoureuse. Malgré l'ombre portée par la maladie vénérienne d'Amélia, elle continue à fréquenter ce milieu, tout en sachant n'avoir été qu'un jeu pour Guido.

La première saison de la découverte du sexe, de la fascination trouble exercée par des jeunes adultes plus mûrs que l'héroïne, de l'amour qui n'ose pas dire son nom, de la nudité dont on a honte, de l'éveil des sens et de la culpabilité. Les hésitations, les doutes, les émotions à fleur de peau, et la sensation d'être trop jeune, de ne pas bien comprendre le jeu ni les manières blasées des aînés. Tout est dit simplement, en quelques notations et dialogues écrits dans la langue de tous les jours, mais lourds de sentiments contrastés et de fascination/répulsion devant le vertige de la vie adulte.
Lu en V.O.
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Cette année-là, il faisait si chaud qu'il fallait sortir tous les soirs, et Ginia avait l'impression de n'avoir jamais compris avant ce qu'était l'été, tant c'était agréable de sortir toutes les nuits pour se promener sous les arbres des avenues. Parfois, elle pensait que cet été ne finirait jamais, et elle se disait en même temps qu'il fallait se dépêcher d'en jouir parce qu'avec le changement de saison quelque chose devait nécessairement arriver.
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Mais plus elle y pensait, plus elle savait qu’elle retournerait là-haut. C’était à cause de cela, qu’elle se désespérait : parce qu’elle savait qu’elle avait fait une chose ridicule qu’une femme de son âge ne devait plus faire. Elle espérait seulement que Guido était fâché contre elle et qu’il n’essaierait plus de l’embrasser. Elle se serait volontiers battue parce que, lorsque Guido lui avait crié quelque chose dans l’escalier, elle n’avait pas écouté pour savoir s’il lui disait de revenir. Toute la soirée, dans l’obscurité du cinéma, elle pensa douloureusement, que, quoi qu’elle décidât maintenant, elle retournerait chez lui. Elle savait que cette envie de le revoir, de lui demander pardon et de lui dire qu’elle avait été stupide allait lui faire perdre la tête.
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"Sei una maleducata, una strega, vatti a nascondere. Torna in fabbrica ! - Allora Rosa rideva e faceva ridere gli altri, ma Ginia, continuando a ballare, pensava che era proprio la fabbrica che riduceva così una ragazza."

"Tu es une mal élevée, une sorcière, va te cacher ! Retourne à l'usine ! - Alors Rosa riait et faisait rire les autres, mais Ginia, tout en continuant à danser, pensait que c'était justement l'usine qui réduisait à ça une fille."
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Guido la serra alors contre son bras. "Toi, tu n'es pas l'été. Tu ne sais pas ce que c'est que de faire un tableau. Il faudrait que je devienne amoureux de toi, pour devenir intelligent. Et alors je perdrais du temps. IL faut que tu saches qu'un homme ne travaille que s'il a des amis qui le comprennent.

- Tu n'as jamais été amoureux ? dit Ginia sans le regarder.

- De vous autres ? Je n'ai pas le temps."

Quand ils furent las de marcher, ils allèrent dans un café jouer les amoureux, et Guido alluma une cigarette et écouta ce qu''elle lui disait, en regardant les gens qui entraient et qui sortaient. Puis, pour lui faire plaisir, il dessina son profil au crayon sur le marbre; "Tu sais, lui di Ginia, je suis contente que tu n'aies jamais été amoureux.

- Si ça te fait plaisir..." dit Guido.
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On ne peut pas aimer un autre plus que soi-même. Celui qui n'est pas capable de se sauver tout seul, personne ne peut le sauver.
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Vidéo de Cesare Pavese
« […] Jour après jour, Saba - de son vrai nom Umberto Poli (1883-1957) - compose le “livre d'heures“ d'un poète en situation de frontière, il scrute cette âme et ce coeurs singuliers qui, par leur tendresse autant que leur perversité, par la profondeur de leur angoisse, estiment pouvoir parler une langue exemplaire. […] […] Au secret du coeur, dans une nuit pétrie d'angoisse mais consolée par la valeur que le poète attribue à son tourment, cette poésie est une étreinte : à fleur de peau, de voix, une fois encore sentir la présence de l'autre, porteur d'une joie qu'on n'espérait plus. […] Jamais Saba n'avait été aussi proche de son modèle de toujours, Leopardi (1798-1837) ; jamais poèmes n'avaient avoué semblable dette à l'égard de l'Infini. le Triestin rejoint l'auteur des Canti dans une sorte d'intime immensité. […] […] Comme le souligne Elsa Morante (1912-1985), Saba est plutôt l'un des rares poètes qui, au prix d'une tension infinie, ait élevé la complexité du destin moderne à hauteur d'un chant limpide. Mais limpidité n'est pas édulcoration, et permet au lecteur de percevoir deux immensités : le dédale poétique, l'infinie compassion. » (Bernard Simeone, L'étreinte.)
« […] La première édition du Canzoniere, qui regroupe tous ses poèmes, est fort mal accueillie par la critique en 1921. […] Le Canzoniere est un des premiers livres que publie Einaudi après la guerre […] L'important prix Vareggio de poésie, obtenu en 1946, la haute reconnaissance du prix Etna-Taormina ou du prix de l'Accademia dei Lincei, ne peuvent toutefois tirer le poète d'une profonde solitude, à la fois voulue et subie : il songe au suicide, s'adonne à la drogue. En 1953, il commence la rédaction d'Ernesto, son unique roman, qui ne paraîtra, inachevé, qu'en 1975. […] »
0:00 - Titre 0:06 - Trieste 1:29 - le faubourg 5:27 - Lieu cher 5:57 - Une nuit 6:32 - Variations sur la rose 7:15 - Épigraphe 7:30 - Générique
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Référence bibliographique : Umberto Saba, du Canzoniere, choix traduit par Philippe et Bernard Simeone, Paris, Orphée/La Différence, 1992.
Image d'illustration : https://itinerari.comune.trieste.it/en/the-trieste-of-umberto-saba/
Bande sonore originale : Maarten Schellekens - Hesitation Hesitation by Maarten Schellekens is licensed under a Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International License.
Site : https://freemusicarchive.org/music/maarten-schellekens/soft-piano-and-guitar/hesitation/
#UmbertoSaba #Canzoniere #PoésieItalienne
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